16 novembre 2014

Badinons... Rions!

- Hôtel "trucmuche" bonjour... 
- Bonjour madame, je souhaiterais savoir si vous avez des chambres de disponibles...
- Pour quelle date madame?
- Aujourd'hui.
- Pour une nuit?
- Heuu... En fait, c'est juste pour quelques heures dans la journée... Faites-vous...Heuuu?
- Ah! Heuuu... Vous louerez la chambre pour la nuit, mais je vous fait un tarif... Vous arrivez à quelle heure?
- Dans... Mmm, Nous sommes juste à côté... Dans 5 min.

[Nous partageons un rire gênés...]

- Ok, alors qu'est-ce qu'il me reste... Mmmm... Heuuu.... Alors, alors... C'est pour une personne?

  O_o

Je ne savais qu'il m'était possible de réserver une chambre entre midi et deux pour une petite branlette solitaire!!




29 août 2014

L'inattendu...

Il s'est approché de moi, nu, la bite bien dressée, ses yeux dans les miens, sans un mot, il dégrafa mon chemisier, sorti mes seins qu'il caressa aussitôt avec sa langue, je sentais doucement ma chatte se contracter, sa langue sur mes seins attisait ce début de plaisir, je posais ma main sur sa nuque, le caressant lentement...
Mes seins entre ses mains, il les prenait tour à tour en pleine bouche...Excitant. Mon souffle grandissait... Puis en se faufilant dans le creux de mon cou, une de ses mains sur ma jambe se glissait sous ma jupe, il remonta ma cuisse pour atteindre mes fesses, qu'il malaxa grossièrement...Jupe relevée, dos contre mur, sa bite raide se glissa entre mes jambes, j'enserrais mes cuisses sur elle, j'appuyais ma chatte sur elle, j'étais bien humide... Il me pénétra à travers le fin tissu de ma culotte, puis il ressorti, ma culotte était bien trempée... Ses doigts prirent le relais, il tira ma culotte sur le côté, se fraya un passage entre mes lèvres intimes et s'introduit dans ma chatte, il me branla quelques instants, je sentais mes secrétions se couler le long de ses doigts, nos bouches accolées, il continuait à caresser ma chatte vigoureusement puis, retira ses doigts qu'il enfoui dans ma bouche, rapprochant ses lèvres des miennes, nous léchions tous deux...
L'odeur qui s'en dégageait associée au goût porté à nos lèvres nous excita un peu plus, c'est alors qu'il remonta ma jupe, retira ma culotte, corps contre mur, jambes relevées, il me baisa... Profondément.


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28 août 2014

Badinons... Aimons.

Les vacances! Il y a du bon dans les vacances... Cet été, un petit coin de France à fait mon bonheur, j'ai retrouvé de douce sensation d'antan! J'ai eu un coup de foudre!
C'est un peu compliqué à comprendre pour l'éternelle amoureuse que je suis... Mais Dieu que ce fut bon de me sentir foudroyée au détour d'une allée de marché, de poser mes yeux sur un homme et de sentir mon cœur bondir! Un saulnier... Mon beau saulnier... 
Et pourtant rien ne présageait que j'allais ressentir ce doux frissons alors que j'étais concentré sur son présentoir à choisir le sel qui accompagnerai le mieux mes petits plats, je l'entendais discuter avec d'autres clients de son travail, de ses choix d'épices, de son île... Puis, j'ai levé enfin les yeux pour lui tendre mes choix et là.... Boum. Il était simplement magnifique. Que c'est bon de se sentir frêle... Je me suis souvenue que j'aimais cette sensation, ce tout premier frisson qui nous invite à entrer dans la séduction... Mais, discrète que je suis... Oui,oui, je suis discrète... Plus, lorsque mon cœur s’emballe, j'avoue tout de même, alors qu'il argumentait sur ces produits, une petite seconde, je nous ai vu nus sur son bateau, la mer agitée, nos corps emmêlés. Plus, il parlait, plus je émerveillais, il en a déduit que j'étais sublimée par son sel, il m'en a offert quelques uns (j'étais partie pour prendre tout le stock!)...

Le sentiment amoureux est une drogue des plus agréable et merveilleuse qui puisse être, aussi  le lendemain, parce qu'il m'avait laissé entendre qu'il serait présent une nouvelle fois sur le marché, je me suis installée sur la terrasse d'un café avec vue sur mon beau saulnier pour m'amouracher un peu plus... Les pieds nus, cheveux longs et barbe de trois/quatre jours, un mélange qui habituellement ne me séduit pas, mais pas du tout! Je déteste la barbe... Et là j'étais rêveuse. Je suis repassée devant lui, nous avons discuté de quelques banalités puis... Je suis rentrée de mes vacances heureuse et légère.
Non, je ne l'ai pas baisé. Mais bordel, que c'est bon de repenser à lui et d'avoir ce petit sourire niais. J'aime l'idée de l'aimer ainsi mon beau saulnier. Qui sait peut-être qu'un jour je le croiserai à nouveau sur son île, et je lui dirais... "Quel heureux hasard!" ^^  Ou peut- être je lui dirai... "Je vous aime..."
Je t'aime... 
L'état amoureux...Un état qui nous fait grand bien. Et qui fait peur à la fois, personnellement je suis assez à l'aise avec ce sentiment, je pourrai baiser avec un parfait inconnu et lui susurrer un "je t'aime" au moment de mon orgasme... Oui, à cet instant là, cœur explosant sous ma poitrine, chatte frémissante, il est l'homme que j'aime, que je serre fort dans mes bras... Un "je t'aime" sans aucune arrière pensée, un "je t'aime" parce que oui, je l'aime en cet instant... Ce "Je t'aime" n'est pas un engagement a lier nos vies par quelconque mariage ou je ne sais quoi... Certainement à lier nos sexes encore et encore, et encore, peut-être pas.  
Je me suis souvenue de Solange et de sa vidéo. Une vidéo qui m'avait fort plaisir, parce que ce petit bout de jeune femme exprimait tout simplement des choses que je n'avais réussi à expliquer à bons nombres de gens, comme à ce jeune homme à l'allure insipide qui se sentait mal aimé et qui au détour d'une de nos conversations j'avais laissé échapper, un fort attachement pour lui, il le vécu comme si un grand malheur allait s'abattre sur lui. ^^ Plus tard, je compris qu'aimer était synonyme pour lui, d'amour éternel, que le moment ponctuel ne pouvait exister. Aujourd'hui lorsqu'il m'écrit et que je ne suis pas d'humeur*, je bredouille quelques mots et signe... Je t'aime. Effet garanti, il se refermera telle une huitre durant quelques jours...Je suis vilaine, je sais, et pourtant, oui, sous son allure de pauvre malheureux, je l'aime bien mon harcelé. 
Je suis rentrée des vacances reposée et légère.

Si seulement, je pouvais être audacieuse et écrire à mon beau saulnier pour lui dire 
Ô combien, l'espace d'une matinée, je l'ai aimé.
 Je l'aime mon saulnier!


*Ne chercher pas...^^

3 août 2014

Chut...Ne Le Dis à Personne...

Dans la chaleur humide du Hammam, je me suis caressée en pensant à toi...

Nue, mes fesses posées sur ma serviette j'ai relevé et écarté grandement mes jambes sur le banc... Ma chatte découverte et ouverte, je me suis caressée, d'abord les grandes lèvres, puis les petites, j'ai glissé un doigt dans ma chatte, c'était doux... Je t'ai imaginé à mes pieds, léchant ma chatte avec gourmandise, je t'ai senti la claquer, je l'ai claqué... Ce fut bon.
Mon corps ruisselant, ma chatte trempée, grandement ouverte... J'ai glissé deux doigts au plus profond de moi... Je l'ai masturbée avec force...

Face à la porte d'entrée, j'ai eu des envies perverses lorsque j’apercevais des ombres d'hommes et femmes rejoignant la piscine... J'eus envie que l'un d'eux ouvre et me surprenne gémissant de plaisir. J'ai jouis très fort... 
Puis, j'ai continué, je me suis mise à quatre pattes, fesses à l'air, je t'ai vu me baisant telle une salope, j'étais ta salope... J'ai senti tes mains sur mes fesses, ta bite en moi... Je t'ai senti frottant tes reins entre mes fesses...

Un moment tu as sorti ton sexe et seul ton gland chatouillait mes lèvres....Ton gland frottant ma chatte délicatement jusqu'à ce que tu jouisses en l'arrosant... Puis, je t'ai vu l'embrasser délicieusement... J'ai plaqué mes fesses plus fort sur ton visage...
J'ai jouis une nouvelle fois...
J'ai aimé la salope que j'étais ce matin.

28 juillet 2014

James Joyce.

Il est huit heures du matin, je traîne dans mon lit... Nue sous mes draps, je me décide enfin à suivre ce lien qu'il m'avait adressé depuis plusieurs jours, la lettre, je l'avais lu, assez rapidement, et là, j'allais l'écouter. Écouteurs enfouis dans mes oreilles, je me laisse aller...
DÉROUTANTE. Point d'excitation, je suis sublimée...Transportée.
  

 

"...Sois ma putain, ma maîtresse, autant qu’il te plaira
 (ma petite maîtresse branleuse ! ma petite putain à baiser !)
 tu es toujours ma splendide fleur sauvage des haies,
 ma fleur bleu-nuit inondée de pluie." James J.

3 juillet 2014

Demons


27 mai 2014

Le Dur Supplice Des Amants Perdus...

La nuit dernière j'ai rêvé de toi...
Je nous ai vus marchant main dans la main sur une petite route de compagne... Tout était si léger, si agréable... J'étais bien, tu semblais l'être aussi... Je te regarde souriant, la petite écharpe que je porte à mon cou s'envole à mesure que le vent se lève... Tu me trouves légère, aérienne... Aussi pour m'envoler un peu plus...Je la retire et la fais voler... Une seconde, rien qu'une seconde tu as lâché ma main pour aller la récupérer... Je ris de te voir courir après, elle ne cesse de se poser et de s'envoler. Puis, le temps s'assombrit, et petit à petit ta silhouette disparaît dans une brume profonde. Mon cœur se pince... J'ai froid. 
Le hasard de la nuit fait qu' à cet instant précis, mon époux m'enveloppe dans ses bras, apaisée, je me rendors.
Amis infidèles, que nous reste-t-il de nous amours interdits? Que nous reste-t-ils, de nos corps mêlés, transpirants, tendres, fougueux? De nos souffles, de nos baisers, de nos messages brûlants? De nos rires, de nos colères, de nos larmes? Que nous reste-t-ils de tous ces beaux moments que nous partageons avec cet autre inconnu de tous? 
Que me restera-t-il de mes amours interdits? 
Mes souvenirs certainement... Faut-il encore que cela ne fasse parti d'un phénomène de réminiscence... Dans un cadre professionnel, j'ai été amené à rencontrer un couple de personnes âgées, très âgées. L'époux gardé en observation, toute la matinée n'a eu de cesse que de réclamer Éliane...Sa femme. Nous avions beau faire, il voulait absolument qu'elle soit là, il ne comprenait pas pourquoi elle l'avait "abandonné"... Elle, sa douce et belle Éliane. Je le rassurais en lui disant qu'elle ne tarderait pas à arriver... Grand bien font les choses, à peine que je terminais ma phrase que son épouse était sur le pas de la chambre... "Je vous l'avais dis, votre femme est là"... Sourire aux lèvres je m'adressais à l'épouse, "il n'a cessé de vous réclamer... Toute la matinée il voulait absolument que nous appelions sa douce et belle Éliane..." Elle sourit et me dit. "Éliane était sa maîtresse"... J'étais confuse... Mais confuse à un point que nul ne peut imaginer... D'un geste bienveillant elle posa sa main sur la mienne pour me rassurer. "Ne vous en faites pas"...
"Oh, mon Dieu! Oh, mon Dieu!" Avais-je répété plusieurs fois. Il va de soi ma réalité avait prit le dessus, je ne pouvais m'empêcher de faire le parallèle avec ma vie. Effroyable! 
 Que me restera-t-il de mes amours interdits? Ce méli-mélo? Ou d'autres souvenirs des plus agréables... Comme la douceur de ses mains... Le frisson de cette bulle suspendue*... Cette sensation de bien être profond de  la place d'Agier... ... Où peut-être que j'en jouerais.. Je raconterais à l'un de mes petits-enfants avoir aperçu en Gruyères non loin de "La charrière des morts" des antilopes*,  je l'imagine éclater de rire pensant que sa mamie devient gâteuse, et pourtant sa grand-mère aura en elle tellement de beaux souvenirs. Ce qui est certain, c'est que je dirais à l'une de mes petites-filles (si j'ai la chance d'en avoir)... Que si jamais, elle avait un amant, elle pourrait m'en faire des confidences. Je n'en dirais mot à personne... Oh! Que non! Je voudrais qu'elle ait au moins cette possibilité raconter son histoire à un proche. Oui, je serais une mamie sans morale. ^^
Alors que me restera-t-il des  mes amours interdits?
Dirais-je aux autres que je suis tantôt tigresse tantôt soyeuse et lisse comme le papier Vélin... Ou serais-je simplement Véllia pour souligner la complexité qui m'habite. 
Que nous reste-t-il vraiment de ces amours là?
Nothing. 

Ou peut-être que si... Le souvenir des orgasmes s'inscrit dans la chair.




*Le vide m'arrache le cœur.
*Bah! Pourquoi pas?! :)

25 mai 2014

Éthérée.

J'ai envie de sexe.

Vous l'aurez lu maintes fois. Et oui, bien des fois j'ai envie de sexe.
De sexe pur et dur. J'ai envie de me retrouver face un homme qui aurait autant envie de sexe. Qu'il explore mon corps, que j'explore le sien. J'ai envie que la pièce qui nous accueillera se remplisse de l'odeur de nos sexes trempés. 
J'ai envie de sexe comme on pourrait avoir envie de prendre un bon café, de m'installer sur une terrasse et de me voir servir. J'ai envie de sexe aussi simplement. J'ai tellement envie de sexe, d'un sexe délicieux que j'opterai que ce soit une autre femme qui me recommande à un homme. Un bon amant. Son meilleur amant. Celui là même qui lui offre d'orgasmes inimaginables. Je fantasme de ce jour où une superbe femme malicieuse me dira... 

"Appelle-le de ma part, il est époustouflant, il te fera chavirer. Va, tu m'en diras des nouvelles".

J'ai envie de baiser avec cet homme qui aime le sexe des femmes. Cet homme qui aime le sentir, le goûter, l'explorer. J'ai envie qu'il me baise, qu'il me sodomise avec douceur.

J'ai envie de sexe. 

Alors, gentille dame... À qui me confies-tu?

9 mai 2014

L'Odeur De Ton Con...

Souvenez-vous ici lorsque je vous faisais part de mon immense regret de ne pouvoir appartenir à la tribu des Goranes... Oui, ces nomades dont les femmes avaient le bénéfice d'accoucher en toute intimité seule dans leur case...
Ça y est! ALLEUIA!! J'ai trouvé une tribu qui me sied.
C'est la tribu  des Noubas du sud du Soudan.
Les femmes de cette tribu ont un sens bien particulier de la séduction et qui me convient complètement...
Au cours d'une danse rituelle, pour choisir et séduire leur futur compagnon, les femmes de cette tribu vêtues uniquement d'une ceinture tressée s'adonnent à une danse sensuelle devant ces messieurs, puis lorsqu'un homme est susceptible de leur plaire, elle se place face à lui, lève une jambe qu'elle pose délicatement sur l'épaule de ce dernier, ainsi il se retrouve face à sa chatte son doux sexe féminin et doit sentir son odeur intime. Et si ce dernier est conquis par son parfum très intime. Le couple est formé.
Il parait que les messieurs peuvent aussi goûter... 
Je comprends mieux pourquoi, un homme qui hume ma chatte est un homme que je chéris. 
En y réfléchissant, je me dis, que je dois être une Noubanienne bannit de leur société... Car en ayant de tel fantasme, j'ai du bien souvent lever la jambe... Pire, j'exigeais que ces messieurs goûtent, et avant même qu'ils eussent le temps de me dire si l'odeur de mon con leur était enivrant. Je jouissais.

Peu importe! Je vous quitte, je vais chez les Noubas. 

2 mai 2014

Une rencontre...

J'ai pour habitude de ne me contenter que de la bande annonce d'un film pour aller le voir. Les critiques, je ne les lis que plus tard lorsque j'apporte la mienne. 
J'aimerais pouvoir vous parler de ce film... Pouvoir vous dire pourquoi j'ai aimé ce film, mais le risque est que je casse la beauté qui entoure cette rencontre.

Une rencontre inattendue, une de celle qui vous déboussole, qui perturbe vos certitudes, vos principes... Qui vous rend légère, vous sentir belle et heureuse.

Une de ces rencontres que l'on souhaite éternelle. 


20 avril 2014

Joyeuses Pâques!


11 avril 2014

Entre Les Deux...




J'hésite... 

Le regard gourmand plongé dans le mien, me décrivant le plaisir à venir, il me demandait de choisir... Mes yeux rivés sur sa bouche, je regardais sa bouche, s'ouvrir, s'arrondir, se pincer et se fermer au gré des mots qu'il prononçait... Il reprit... 
"J'aimerais plonger ma tête entre tes jambes, poser mes lèvres sur ta chatte, goûter à ta chatte humide... Sentir ton parfum, passer ma langue dans tous les coins et recoins de ton sexe... J'aimerais te sentir offerte, fragile, gourmande... J'aimerais sentir ta chatte se gonfler et sentir ta cyprine se répandre sur ma langue... Viens, rapproche-toi..." 
Ses mains sous la table du café où nous étions installés glissaient entre mes cuisses, je gesticulais, gardant mes yeux sur sa bouche, je m'excitais que cette même bouche qui me titillait allait pouvoir frôler mon sexe... Décalant mes fesses en avant pour rencontrer ses doigts, je remontais légèrement ma robe. Indécente j'étais... Ses doigts fouillaient ma culotte, un doigt s’enfouit en moi... Il le retirait et le porta à sa bouche... Cette même bouche que je ne quitte toujours pas... Indécent il est.  
"Qu'aimerais-tu? Que je suce ta chatte humide? Ou préfères-tu sentir ce jouet vibrer lentement entre tes lèvres intimes, appuyant fortement sur ton clitoris... Aimerais-tu que son rythme suive celui de ton souffle, qu'il augmente à mesure que ton souffle grandit. J'aimerais te voir te tordre de plaisir, hurler de plaisir, j'aimerais que tu jouisses impuissantes sous ces impulsions."
Je sentais mon désir augmenter, je saisi sa main pour la replacer entre mes jambes, je voulais qu'il fasse le constat de mon sexe trempé. 
"Non... Que veux-tu?"
Je glissais ma main entre mes jambes, j'appuyais sur mon sexe, glissais délicatement un doigt au plus profond de moi... Les yeux toujours rivés sur sa bouche... Je regardais ses lèvres se pincer. Il avait envie de moi. Mes fesses tournaient autour de mon doigt, le plaisir était bon... Je baisais mon doigt. 
Ce que je veux? Me baiser. Je vais jouir, là, sous tes yeux.

17 mars 2014

Tais-toi et Baise-moi.

Le désir peut prendre des allures de déraison. Mon désir est irraisonnable, il est autiste, il s’emmure et refuse tout murmure de ma raison. Il est pur, fort... Il me tord le ventre, il mouille ma culotte. Il me rend heureux. J'aime avoir du désir...Si un jour j'en venais à éprouver du désir pour vous... Sachez en prendre soin, car mon désir est intarissable, il ne triche pas, il est fleur de peau, face à ma raison il ne vacille pas. Mon désir me trouble, m'émerveille et me fait peur... Il me rend dingue.

                                       .... 

J'avais une telle colère, que lorsqu'il a proposé que nous nous retrouvions pour discuter, je n'ai pu lui dire non, je rêvais de lui jeter ma colère en face... De lui dire combien je le trouvais détestable.

Je l'ai trainé au col rue de la pompe... Les Dieux étant avec moi, nous avons obtenu la chambre la moins accueillante. La 10.  Montés les escaliers par quatre. Et là, je l'ai fait asseoir au bord du lit, je me suis suspendue sur le meuble face au lit, mes jambes posées sur une chaise... Je l'ai regardé quelques minutes... Les quelques minutes avant que je ne lui déverse ma colère... Puis, les mots se sont emmêlés dans ma tête. Ma colère était bien présente, il n'y avait de doute, et dans le même temps, j'avais ce désir contradictoire à le vouloir en moi...Mon corps paraissait déconnecté de ma tête... J'avais envie de lui.

J'avais envie qu'il me prenne. Qu'il me plaque contre mur, qu'il arrache mes vêtements, qu'il étouffe mes mots  par ses baisers et qu'il pilonne ma chatte.

J'étais là, face à lui ne sachant plus quoi lui dire. Mon regard était rempli de désir. Peut-être avais-je besoin qu'il me baise pour retrouver la sérénité ou était-ce une envie de ma  part de le baiser avec colère. Il connait ce moment là... Il connaît ce moment où ma raison et mon désir entre dans un duel des plus indécents... Il s'est relevé, a retiré cette chaise qui nous séparait, s'est frayé un passage entre mes jambes, j'étais frêle... Il me fallait arrêter la scène qui allait se jouer... J'ai trouvé la force de lui dire... "Donne moi ton porte-feuille..." "Pourquoi?" "Vite... Ton porte-feuille"... Je l'ai ouvert, tiré un billet par hasard... Posé sur la table de chevet et je lui ai dit "Vas-y... Tu peux me prendre..."

Ma colère, je la voulais sauve. Ce billet ouvrait une parenthèse.
Il relevait ma jupe, je dégrafais son pantalon, j'enfonçais sa bite en moi. Sa bite dans ma chatte, mes fesses se décollent du meuble... Je mouille tellement que de nos va-et-vient, je sens mes sécrétions se répandre sur le meuble... Il joint mes jambes, les pose sur une de ses épaules. Sa bite s'emprisonne entre mes lèvres intimes, nos frottements sont plus intenses... Je me frotte, me tortille, j'aime lorsqu'il est prit ainsi, que les lèvres de ma chatte semble lécher son sexe, que sa bite flirte avec mon col... Il me baise délicatement, il frotte encore... C'en est trop... Je lui dis que je vais jouir... Il se retire, me descend, me tourne, dos à lui... Je sens sa bite raide contre mes fesses, son souffle sous ma nuque... Déplaçant mes cheveux, il baise mon cou... Ses mains se glissent sous ma robe... Ses caresses sur mes cuisses se rapprochent peu à peu  de mon sexe... Une de ses mains se plaque fortement sur la voute de mon pubis.. Ses doigts glissent à nouveau dans ma culotte. J'étais humide. Bien trop humide... 
Je le sens s'accroupir derrière mon dos, il écarte mes jambes, sa tête sous ma jupe, sa langue parcoure mes fesses et mon sexe... Il sait que j'en raffole.. Que ses caresses me font fondre, que l'instant d'après, je vais le supplier pour qu'il me baise. Je sentais mon souffle grandir, mon envie grandir... J'avais une énorme envie de sentir à nouveau sa bite en moi, mais, pour cette fois, je me voulais mutique. Il n'entendra pas mon désir...
Se relevant, Il me traina sur le lit, toujours à mon dos, me plaqua face au lit, il remonta ma croupe, une main caressant ma chatte... Tira ma culotte sur le côté, il me prit.


14 mars 2014

D'Humeur...

Il ne fait pas bon de tomber dans mes bras. Vraiment pas...
Si vous avez des doutes... Laissez-vous tenter.

9 mars 2014

Pieds et Mains Liés...

"Ne me regarde pas ainsi, je vais jouir"... 
Non pas pour ses yeux pénétrants, mais parce que j'entrevois toutes les vilaines choses qu'il s'apprête à me faire vivre, le sillon de son sourire semble bien le confirmer, son visage s'illumine. Je m'excite.
Cette fois, j'ai une grande envie de prendre le dessus... Pieds et poings  liés et je vais le baiser, je vais pouvoir lire dans ses yeux cette envie irrépressible d'empoigner mes fesses, de saisir mes hanches, de baiser ma bouche, mes seins... De parcourir mon corps. Je vais suivre la montée de son excitation... Je vais profiter de son corps offert... Ma bouche se posera sur chaque parcelle de son corps... Je vais me saisir de sa bite et la conduire à mon rythme. Je vais bringuebaler mes hanches, contracter ma chatte autour d'elle. Puis je lui offrirai une vue imprenable sur mes fesses, il pourra presque impuissant assister aux allées et venues de ma chatte sur son sexe.  
Je vais lui faire vivre le même supplice enivrant qu'il me sert lorsqu'il me prend.

26 février 2014

Chuuut...

23 février 2014

Pensée Du Dimanche Soir...

Si pour une journée, il m'est donné l'occasion d'être un homme... Ce jour, je le passerais avec une femme.  
J'aimerais lui faire l'amour, rien que pour ressentir le plaisir de voir une femme s’abandonner dans mes bras, mais aussi pour découvrir le plaisir de la pénétration. J'aimerai connaître les sensations d'une bite qui s’enfouit dans une chatte. 
J'aimerai à mon tour pousser ce petit souffle que l'homme émet à mon oreille lorsqu'il me pénètre. J'aimerais connaître l'émotion qui le traverse lorsqu'il me sent frêle dans ses bras.
Prendre du plaisir, donner du plaisir sont deux notions bien différentes, dernièrement, une amie m'a posé une question des plus simples "Comment donnes-tu du plaisir à un homme?"... Si la question paraît très simple, j'ai tout de même été incapable de répondre. Je ne pense savoir comment exactement donner du plaisir à un homme. Ce qui peut paraître assez contradictoire vu le nombre de texte que j'écris, vu le nombre de texte dans lequel je dis mon désir de faire l'amour à un homme... Et pourtant, ce que je décris ne tient qu'à mon propre plaisir... Lorsque je passe ma langue sur le corps d'un homme, mon but premier n'est sans doute de lui donner du plaisir, non, mais d'en prendre. Je prends du plaisir ainsi. Je suce... Et je m'excite. Je ne suce pas pour lui, je suce parce que sentir sa bite frémir, grandir entre mes lèvres m'excite. J'embrasse, je caresse avec gourmandise et tendresse, parce que c'est mon plaisir. En un mot, je baise égoïstement.
Alors comment donne t-on du plaisir à un homme? 
Je ne sais pas. Tout ce que je sais et dont je suis certaine, mon homme aime me voir et m'entendre prendre du plaisir. C'est peut-être ça, donner du plaisir à un homme... En prendre, jouir simplement dans ses bras.
Jouir pour le plaisir de son partenaire. 

20 février 2014

(La Parenthèse...)

Je ne sais ce qui m'arrive actuellement, j'ai envie de sexe tout le temps. Ce qui n'est pas pour déplaire mon époux. Je le baise quasi quotidiennement... Par deux, trois fois je l'ai réveillé en pleine nuit pour recommencer. Et au petit matin j'en voulais encore. Au début nous pensions que c'était ma grande période fertile, sauf que cela dure depuis plusieurs semaines... Je veux bien ovuler, mais depuis trois semaines... C'est un peu long. 
Je transpire le sexe. Je vois le sexe partout.
Une nuit, il devait être 2h du matin...Alors que je venais de jouir, que je sentais se déverser entre mes jambes le liquide tiède de mon homme, j'ai couru sous la douche pour me rafraîchir. Nue, je me suis dirigée dans la cuisine en gardant tout éteins, j'ai ouvert mon réfrigérateur, et je me suis plantée là une bonne minute, n'arrivant pas à me décider sur ce que je pouvais "grignoter" ou boire. Puis... Je me suis sentie observée. Vous connaissez sans doute ce sentiment qui vous faire comprendre que quelque chose ne va pas... Ma cuisine avec sa grande baie vitrée fait face à un autre immeuble... L'appartement qui plonge directement sur le mien est celui de "l'homme en noir". Lorsqu'il fait jour, mes rideaux en dentelles cachent tout, mais le soir, ma cuisine devient une grande vitrine... De ce sentiment envahissant, je me retourne face à cet appartement, une seconde j'ai un doute, l'appartement est plongé dans le noir complet. Mais j'ai l'impression d'apercevoir comme un mouvement sur le balcon, comme une ombre... Je suis nue, frigo ouvert, face au balcon. Et oui, "l'homme en noir" est bien là, je distingue l'incandescence de sa cigarette. Je referme mon réfrigérateur rapidement et je me fige. Je suis à mon tour plongée dans l'obscurité totale... Est-ce lui? Ou son épouse? M'observait-elle? La silhouette se déplace... Je m'avance et me colle à ma baie... La silhouette entre dans le séjour, puis... Lumière. "L'homme en noir" de dos, il est nu. "Le salaud" me dis-je. Il m'a vu. Sa revanche, vu le nombre de fois où l'air de rien je l'avais observé. 
Il fait mine de chercher je ne sais quoi vers son bureau, puis se retourne face à ma cuisine. Il bande. Surprise, je le regarde à peine quelques millisecondes et je m'enfuis. De mon hall d'entrée, je guette, non pas lui, mais la lumière de son salon. Je veux savoir combien de temps il restera planté là. Comme pour avoir la certitude, qu'il sait que je l'observe. Moins d'une minute. Leur appartement tombe dans l'obscurité. Je suis toute retournée, pas excitée... Mais mon cœur bat très fort. Comme si j'avais pris peur. Dans mon lit, mon cœur continu à battre très fort.
Le lendemain, sortie d'école, "l'homme en noir" patiente, je ralenti mes pas, habituellement entre nous ce sont des simples bonjours, rien de plus, il a un fils, j'ai un fille qui sont dans la même classe. Aujourd'hui, je n'ai pas envie de le croiser, je fais mine de plonger toute mon attention sur l'affiche de l'expo "Brassaï". La photo en noir et blanc c'est mon plaisir. Sur mon portable, je note les dates, et là, je l'entends... "Bonjour..." - Bonjour... "Brassaï..." Le sujet lancé, je m'étale, je lui confie mon envie de m'y rendre... Il me répond que lui également... Puis... "Si vous voulez, nous pourrions y aller ensemble..." Une fraction de seconde... Rien qu'une fraction, je nous ai vu à l'expo, moi, une jambe relevée par lui qui littéralement me baise entre toutes les photos à me couper le souffle. Ma chatte palpite instantanément. Je le revois nu dans son salon, cette fois, mon cœur ne s'affole plus... Mais mon corps frissonne. Le désir me surprend. Je le regarde, hésite un instant au final je lui dit -Non. Nos enfants nous interpelle. Cette envie m'accompagne chez moi... 
Vous qui semblez me connaître à force de me lire... Qu'ai-je fait?
Je rêve de sexe rapide et complètement indécent. Je me vois baiser un homme alors qu'il ne s'y attends pas, lui sur une chaise, je relève ma robe m'assieds sur ses genoux, me tortille dans tous les sens pour dégrafer son pantalon et là, je sors un sexe dur que nous nous empressons de glisser dans ma chatte en dégageons ma culotte sur le côté. Lorsque sa bite me pénètre c'est mon corps entier qui frissonne... Je l'embrasse à avaler sa bouche entière, j'ai les mains enveloppant son visage, je le baise avec amour, désir et gourmandise... Le plaisir que je prends est si fort... Mon entrejambe est inondé. Je jouis en me faisant mal au ventre.

Quelques heures et c'est reparti. Cette fois c'est un homme qui m'offre un cunni du feu de Dieu. J'aime lorsque qu'un homme me lèche avec gourmandise. J'aime lorsqu'il n'a aucune retenue, qu'il prend plaisir à passer sa langue dans tous les recoins de ma chatte. Je me vois debout lui offrant mon sexe qu'Il accueille telle une offrande. Mes fesses entres ses mains, ma chatte plaquée sur sa bouche, mes mains sur sa tête, j'ondule. Je jouis.

J'ai envie de sexe. J'ai envie d'être prise les jambes sur les épaules de mon partenaire et qu'il pilonne ma chatte profondément... Je rêve de ses va-et-vient profonds, forts... J'ai envie qu'il me baise telle une bête, qu'il s'éclate entre mes jambes... Qu'il fasse monter mon plaisir... Que je puisse hurler son prénom, que je le supplie de continuer... Puis qu'il se retire et jouisse sur mon sexe... J'ai envie de voir se répandre son foutre sur ma chatte, jusqu'à la dernière goutte... Puis son gland l'étalera sur mon sexe entier, de l'introduire que quelques millimètres en moi... Et pour me faire jouir à mon tour... J'aimerai qu'il.... 
Dites... À force de me lire. Vous devriez connaître la suite. Qu'aimerais-je qu'il fasse?
Je me tords de désir. Cette envie de sexe ne me quitte plus. Je pense que cela tient à lui... J'ai envie de lui. Tellement envie de lui, qu'aucune partie de jambe en l'air ne semble me combler. Son corps, ses baisers me manquent. Il faut que je me perde à nouveau dans ses bras.
Il faut que Gaspard me baise à nouveau. 

18 février 2014

GASPARD

Tiens parlons-en.
Gaspard est né de mon imaginaire un soir où je n'allais pas fort bien, si certain noie leur chagrin dans un verre, le mien il se perd à coup d'orgasmes, j'aime réinventer mon monde. Jouir, jouir et jouir. À mesure que je lui donnais forme, je me laissais séduire par lui. Gaspard est la somme de plusieurs hommes, il peut être attentionné, délicat, fort, fragile, fébrile, dominant, jaloux,  romantique ou sadique... Gaspard cultive le plaisir, mon plaisir, il sait ô combien me donner du plaisir peut me réconforter, me combler, me motiver, me rendre heureuse... Il sait que j'aime ces moments où l'on se perd dans les bras de l'autre, où la vie semble suspendue aux souffles entremêlés. 
Gaspard respecte mes non-dits, ce qu'il aime plus que tout c'est d'être mon compagnon de jeu. Il aime être celui vers qui mon esprit coquin s’évade. Il aime mes envies de débauches, il aime mon côté pur et catin. 
Ce soir là, j'ai aimé le voir prendre corps, j'ai aimé faire sa rencontre, j'ai aimé jouir encore et encore... Pour que mes mots aient du sens, lorsque j'écris... Je m'excite. Et Gaspard à su m'emporter très loin. Ce soir là, j'ai retrouvé la capacité d'écrire, de me laisser aller à travers les mots. De fantasmer à nouveau.

Gaspard représentera l'homme, l'homme en général... Gaspard accompagnera dorénavant tous mes plaisirs, en lui vous pourrez peut-être vous reconnaître...

Cependant Gaspard gardera ses caractères de base, il restera mon bel Apollon, parce que tous les hommes que je désire sont à mes yeux  magnifiques. Il gardera son phallus débordant... Parce qu'entre mes jambes, tous les phallus sont débordants.  

Gaspard est mon homme, mon amant, ma muse.


12 février 2014

Je Vais Bien, Ne T'en Fais Pas...



"Lili aussi simplement qu'un baiser, 
nous trouverons une réponse,
 Renvoie toutes tes peurs dans l'ombre 
Ne deviens pas un fantôme sans couleur 
car tu es le plus beau tableau que la vie n'a jamais fait..."

9 février 2014

S'offrir...(4)

J'ai toujours cette inertie cérébrale, je peine à remettre mes idées en ordre, je peine à retrouver les dates, les périodes... Tout est confus. C'est tout moi, lorsque les choses vont mal, ma mémoire s'active à tout supprimer. Aussi surprenant que cela puisse être, j'arrive même à oublier des prénoms ou des moments intenses partagés... C'est ainsi que mon corps, mon âme se protège.
À peine je l'ai quitté que je ne me souviens plus du prénom de cette belle brune rencontrée au Bizz'Art.

J'aime ce sentiment de légèreté que m'apporte mes orgasmes. Cette libération d'ocytocine devient une drogue dure, si dure... Qu'elle me manque déjà.

Je longe les quais, rallume mon téléphone... Des mails. Gaspard. Il veut savoir si je viens... Ce que je fais, où je suis. Je m'agace. Puis, je me dis pourquoi pas. Pourquoi pas finir ma soirée avec lui. Je lui adresse un mail, je lui explique rapidement que je n'ai pas de voiture et que je souhaiterai le voir. Heureux hasard ou acte prémédité de sa part, il est sur Paris. Il me rejoint assez rapidement, me voilà dans sa voiture silencieuse. Il ne dit rien non plus, il à l'air agacé, il a ce petit tic nerveux qui fait que l'on pianote sur le volant. Il ne me regarde pas. -Tu sais, ce n'était pas une obligation... "Quoi donc?" -De venir... Silence.

Nous arrivons, descendons, montons. Une fois la porte fermée, en se dirigeant vers sa chambre tandis que je reste plantée en plein milieu, il me lance sans même poser les yeux sur moi "Déshabille-toi" -Pardon? "J'ai dit, déshabille-toi"... Je souris, je me dis qu'il souhaite que je retire mon manteau, avant qu'il ne rajoute "Entièrement. C'est un ordre..." , je suis stupéfaite, mais l'idée m'excite, j'exécute.

Je suis maintenant nue en plein milieu de son appartement. Il avance vers moi, me prend par la main, me conduit dans sa chambre, puis m'allonge sur son lit. Je suis fixe, il s'allonge à mes côtés, lui est resté habillé... Je me sens mal. Ses mains effleurent mon corps dans toute sa longueur, il pose un baiser de temps en temps... "Ta peau est si délicate..." "Où étais-tu? Avec qui?" le climat devient lourd... Je me sens jugée. Il écarte mes jambes. Un doigt effleure ma chatte, l'écarte... "Tu es trempée!" "Pourquoi? Avec qui étais-tu?" Je n'aime pas ce ton, l'allure que prend la situation ne m'inspire pas, j’essaie de me relever. Il me plaque. "T'ai-je ordonné de te relever?" Il me retourne vivement, claque mes fesses... Je pousse un cri. -Arrête! Il claque à nouveau. Encore.

Des larmes coulent. Il me retourne... "Qu'as-tu fait?" -Rien "Rien?" -Aucun homme ne m'a baisé. "C'est ce que tu souhaitais?" Il me retourne sur le dos, relève mes jambes... "Je vais te donner ce que tu cherches..." Il dégrafe son pantalon sort son sexe lourd, qu'il plante dans ma chatte... Je pousse un hurlement. Une de ses mains se pose sur ma gorge "Tais-toi!" . Mes jambes sont en l'air, sa bite enfouie en moi, tout en continuant à forcer sur ma gorge, il pilonne ma chatte. Je pleure. "Pleure, oui, pleure... Tu m'excites." Son souffle grandit, il pilonne encore plus fort... Sa bouche se pose sur mes yeux, maintenant c'est son corps habillé, lourd qui m’enveloppe, il me baise fort. Entre la douleur, la colère et mes larmes... Je sens le plaisir naitre en moi... Je m'excite, ma chatte frissonne. Il cogne, je l'enserre... Je l'accompagne. Il cogne. C'est bon. Puis se retire "Mets-toi à quatre pattes!" m'ordonne t-il, je m'exécute. Mes fesses lui sont offertes, il écarte un peu mes jambes, il me fesse... C'est douloureux, il me fesse encore. C'est bon. Je gémis. À chacun de ses coups, la pièce fait écho du claquement de ses mains sur mes fesses, la douleur devient plaisir... J'aimerais qu'il continue. Qu'il claque ma chatte. Il claque ma chatte. Puis, se rapproche, je sens sa bite raide contre mes fesses, il me prends en levrette. Il cogne fort, agrippe mes cheveux, il tire... Il baise, baise... Fort. Encore. Je le sens monter... Il va venir. Ma chatte douloureuse, se gonfle de désir, de plaisir... C'est douloureux et bon. Je pleure, je jouis. Il s'écrase sur moi... "Tu m'appartiens..."
Il jouit. 

6 février 2014

S'offrir...(3)

À demain... À demain... Pourquoi à demain? Pense t-il que je reviendrais? Je refuse d'aller le voir. Pas que l'envie n'y soit pas, non, parce qu'il a compris que j'en avais besoin. J'aimerais jouir continuellement. Jouir pour oublier.
Et pourtant, je peine à percevoir mes émotions... J'ai envie d'hurler, mais aucun son ne sort de ma bouche. Ce soir, je me dis qu'un peu de musique ne pourrait que raviver mes émotions. J'irais au Bizz'Art. Un peu comme si j'allais me ressourcer.

Alors pour ce soir, j'ai envie de garder mon regard triste. D'être triste. Il n'y a aucun mal à l'être. Je ne maquille que ma bouche, j'aime cette bouche. Elle sourit bien des fois, lorsqu'elle rit, elle s'ouvre entièrement. J'aime rire à gorge déployée. Elle est belle ma bouche, pulpeuse. Je porte un rouge-lèvres rouge, un rouge mat. Il me fait une bouche gourmande. J'enfile une robe rétro que j'avais déniché dans une boutique "vintage" du 10ème, une vraie caverne d’Ali Baba. Des puces vendues à prix d'or. J'ai payé, payé parce que ce look d'autrefois me sied. Et puis qui sait, la femme à qui elle appartenait, elle aussi à sans doute été triste un jour. Je souris. Mon côté animiste, m'a toujours amusée. 
Pas de voiture pour ce soir, difficile de se garer dans le coin. Je saute dans un bus. Mon regard se perd à travers la vitre, je ne sais trop ce que je regarde... Toutes ses lumières, ces voitures... La vie. 
C'est assez bizarre d'arriver dans ce lieu seule. Automatiquement, les regards se portent vers moi. Je m'en fiche. Je me dirige vers le bar. Une voix grave raisonne, la musique est belle.
-Un verre d'eau s'il vous plait. 
-Pardon?
-Une bouteille d'eau pétillante s'il vous plait...
Il me sert et je lui demande à nouveau, un verre d'eau "plate". Je n'aime pas l'eau gazeuse. Il sourit, il ne saisi pas bien mais me sert tout de même. Je suis là, assise au bar avec mes deux verres d'eau. En d'autre temps, j'aurais ri. Mais l'envie n'y est pas. 
Une jeune femme à la peau laiteuse qui fait de la soul, me fait sourire. C'est beau, le contraste le plaît. Un homme se rapproche, je le fusille du regard, il ne se dégonfle pas.
"Je peux vous offrir un verre?" -Vous noterez que j'en ai deux. Il sourit. Je fusille. "Puis-je vous tenir compagnie?" -Non. 
Je repars transportée par la voix de cette jeune femme. Les minutes passent, elle enchaîne...C'est beau. L'émotion me gagne. Je fonds en larmes. Une main se pose sur mon épaule, c'est celle d'une jeune femme... "Venez..." Je la suis par mimétisme.

Nous voilà dans les toilettes dames. Je pleure à chaude larme. Elle me caresse l'épaule silencieusement. Je sèche mes yeux. Je croise son regard à travers la glace. Elle sourit. Elle est belle. Elle a cette superbe bouche pulpeuse. De longs cheveux frisés et de grands yeux. Je souris, m'excuse... Elle fait comprendre que non. "Vous savez, avec votre air triste, mon chéri, vous trouve jolie." Enfin, je ris. Elle rit. 
Je me retourne et ses yeux rieurs me troublent... Je m'approche d'elle, elle me caresse la joue... "Vous souhaitez en parler?"... Je pleure à nouveau. "C'est un homme? J'en suis sûre, vous pensez qu'il le mérite?" Je baisse la tête... Elle lève mon menton... "Regardez-moi... Pourquoi-vous ternir les yeux?"  Ma tête ainsi relevée, je n'ose croiser son regard, mes yeux se posent sur sa bouche... Une belle bouche, je ne l'entends plus, je ne vois que ses lèvres, s'ouvrir, s'arrondir, se pincer et se fermer... Une belle bouche, une de celle qui vous donne envie d'y mordre. Je me rapproche... Je l'embrasse. Un instant de surprise, puis elle répond à mon baiser. Elle enveloppe mon visage entre ses mains, elle m'embrasse. La douceur de nos deux bouches est agréable... Nos langues se mêlent. J'aime l'embrasser. Ses mains se portent à ma nuque, elle  me caresse... Me plaque contre les murs des toilettes.  Nos caresses deviennent indécentes... Je caresse ses seins, elle caresse les miennes... Mon corps entier se rempli de ses caresses.

Puis elle me traine dans une des cabines, nous refermons la porte. Nous palpons nos seins, nos fesses... J'écarte mes jambes pour qu'elle glisse sa main. Elle caresse ma chatte... Quitte ma bouche, embrasse mes seins... Puis... Puis s’accroupit et sa tête s’enfouit sous ma robe. Ses lèvres pulpeuses posées sur ma chatte est un délice à me couper le souffle, je me branle avec sa bouche. J'écarte un peu plus les jambes, je frotte, je tourne, j'écarte un peu plus... Elle maintient mes fesses avec ses mains, elle embrasse ma chatte, lèche, suce... Que c'est bon. Mon corps entier frissonne. Cette belle inconnue sait me donner du plaisir. Je jouis. Elle ne bouge plus. Je caresse sa tête. Elle se relève. Essuie sa bouche. Je l'embrasse à nouveau. Nous quittons cette petite pièce exiguë.
Nous voilà face au miroir, je peine à la regarder, je me lave les mains. Elle se lave les mains, me demande de rejoindre leur table. J’acquiesce. Elle sort. 
Je quitte les toilettes, les vestiaires, je récupère mon manteau.

Je disparais.

5 février 2014

S'offrir...(2)

J'ai renvoyé un mail à Gaspard. Cette fois-ci, il était court... Très court. 
"Puis-je te voir?"
En guise de réponse, il me renvoie son adresse. Je maquille à nouveau ces yeux tristes qui ne semble me quitter... Ce soir pour le faire bander, je porte du nacré. Fleur d'Afrique d'Aubade. Prétentieuse je suis. Ma peine me rend de plus en plus arrogante. J'aime cette arrogance, elle feint de me retenir debout.
Je me gare, descends. Me décoiffe en me dirigeant vers l'immeuble, cette fois-ci un coup de chance, une jeune femme sort de l’immeuble, je me faufile sans même lui porter un regard. Je n'ai envie de ne croiser aucun regard. Je reprend les escaliers, réajuste mes bas, mon porte-jarretelles. J'arrive sur le pallier face à sa porte, je retire cette longue écharpe que je porte à ma cou, je bande mes yeux. Quelques coups à sa porte. Il m'ouvre. 
Il rit... "A quoi joues-tu?" -J'ai honte. Mes mains, le tapote pour vérifier que c'est bien lui... Son visage, son corps... Il rit toujours. Il me rapproche contre lui et tente de me retirer ce bandeau d'occasion. -Non, j'ai envie de toi. Prends-moi. Gardons mes yeux fermés et prends moi. Je l'embrasse, je sens ses mains parcourir mon corps rapidement, mes vêtements sont retirés à la va vite. Il caresse mes seins, les embrasse. "Mmmm, tu es excitante... Tu veux que je te baise? C'est ça? C'est ce que tu veux?" J'en suis toute excitée de l'entendre parler... - Oui, baise-moi. Je suis à toi. 
Il dégrafe son pantalon, face à moi, il tente de me pénétrer debout... Nous échouons... Il me traine un peu partout dans son appartement, je me retrouve dos contre mur... Oui, cette fois-ci, je peux relever mes jambes, me suspendre à sa taille. Son sexe se rapproche de ma chatte, il tire ma culotte sur le côté, il frotte son gland sur ma chatte humide, lubrifie sa bite. Il me pénètre lentement. Très lentement. Gaspard à une bite énorme. Elle pourrait être douloureuse s'il ne s'y prend pas délicatement, lentement son gland me pénètre, il continue à s'enfoncer. Je contracte, mes ongles se plantent dans son dos. Il s'arrête. "Chut... Détends-toi" me murmure t-il... Je relâche. Les va-et-vient débutent. Je sens ma chatte se dilater, sa bite se lubrifier... C'est bon. Il avale ma bouche, mes seins, il cogne sec. Fort. Il me baise. 
Mes ongles se plantent à nouveau dans son dos, cette fois-ci, c'est ma chatte qui se contracte de plaisir, je lui dis que je vais jouir... Il cogne encore plus fermement, ses mains sur mes fesses, il les empoignent. Je tiens à l'équilibre. Je jouis. Il grogne. Il jouit.
On reste accrochés ainsi quelques secondes... Les quelques secondes où son foutre se déverse en moi. Son cœur bat fort, très fort. Il est à bout de souffle, à bout de force. Il me redescend, je quitte sa bite, qui elle reste toujours dressée et luisante. Des rires gênés. Nous, nous dirigeons vers sa salle de bain. Silencieusement chacun se nettoie, je suis dans la baignoire, sa bite dans le lavabo. Je ressors, rassemble mes affaires, il allume une cigarette. Je lui fais signe, que non. Je n'aime pas l'odeur du tabac. Je m'approche, l'embrasse. 
- Merci.
"Attends, je te raccompagne."
- Non, ça ira. Merci.
Je l'embrasse de nouveau. Je me retourne... Il me lance. "A demain".
Je ne me retourne pas.

4 février 2014

S'offrir...(1)

A l'époque où nous n'étions que de jeunes adolescentes, lorsqu'une peine de cœur me surprenait, mon premier réflexe était de vomir. Allez savoir pourquoi... Peu importe le lieu où je pouvais être, c'était plus fort que ma raison. Je vomissais. Puis, je filais de longues heures sous la douche. Je me lavais encore et encore...

Cette scène avait le don de mettre ma sœur aîné en colère, un jour alors que je rendais mon repas en tentant de lui dire que l'amour de ma vie m'avait trompé, elle me  lança "si seulement tu arrêtais de te prendre pour le centre du monde, tu arrêterais de dégueuler et tu ferais sans doute comme tout le monde! Pleure!!" Était-ce ça mon problème? Étais-je si fière? Refusais-je seulement de pleurer?

Est-il que des années plus tard, lorsque les choses me paraissaient insupportables, je vomissais. D'ailleurs, la première fois où j'ai mis un coup de canif à mon contrat de mariage. J'ai eu cette montée horrible au point de vouloir dégueuler sur moi-même. Je me souviens avoir quitté mon partenaire plus vite que la lumière puis avoir passé des heures sous la douche. 

La nuit dernière j'étais en colère, très en colère... J'ai vomis. J'ai vomis à avoir mal au ventre, j'avais la tête dans le lavabo, je laissais couler l'eau et lorsque j'ai relevé la tête. Le reflet que me renvoyait le miroir de moi-même m'a écœuré encore plus. J'ai vomis à nouveau. Puis, je me suis dit... Merde! Pourquoi?! Il faut que les choses changent. Je me suis redressée, j'ai préparé un bain. La douche il en était hors de question, il me fallait rompre ce satané rituel.

Dans mon bain je me suis repassée tout un tas d'activités que je pouvais faire... Cinéma, théâtre, shopping ou encore une ballade dans les rues de Paris... J'avais envie de me détendre.

C'est à ce moment que l'idée m'est venu. Mon adresse mail de secours... Et là, j'avais sous les yeux, un trop plein de mails de personnes avec qui j'avais plus au moins discutés. Des personnes qui m'avaient laissé très clairement comprendre que c'était "open", quand je voulais où je voulais...

Pierre avait une belle tête... Il était drôle, sympa. Mais je n'avais aucune photo de lui nu. Oui, à cet instant, le nu avait toute son importance... Je passais. Louis... Lyon. Non. Fred, bien trop bavard. Gaspard... Oui Gaspard. Il était assez ambigüe. La première fois où je rentrais en contact avec lui, c'était par le biais de son phallus proéminent qui tournait sur twitter. Alors que toutes les femmes paraissaient choquées, moi, je trouvais son phallus terriblement excitant. Je l'ai complimenté. Un compliment qui à mon grand regret avait fait disparaître l'ensemble de ses photos, il m'avait cependant glissé un message privé. J'étais ravie.

Certains soirs, il m'adressait une vidéo. J'adorais. J'adorais l'entendre venir. Il y a quand même quelque chose de fascinant lorsqu'on un homme se branle. Quelque chose de terriblement excitant, et Gaspard savait comment m'exciter, comment m'amener à mon tour à me caresser.  Un jour, j'ai fini par voir sa tête. Gaspard est un bel homme. Avec une belle gueule, c'est assez déstabilisant lorsqu'on réalise que dans le fond, il n'avait pas grand besoin de mettre son anatomie comme un point fort. C'est vraiment un bel homme avec une belle situation. Sans doute pas très futé. Mais à quel titre devrais-je le condamner? N'avais-je pas montré mon sein?...

Ce soir c'est décidé je vais saisir l'opportunité qu'il m'avait offert. Je lui adresse un mail.

"Bonsoir Gaspard, je mentirais, si je commence par m'excuser en prétextant que j'étais fort débordée pour n'avoir répondu à ton dernier mail. Je n'en ressentais simplement pas le besoin. Et pourtant ce soir, dans la panoplie de mail que j'ai reçu, ce sont les tiens qui me donne envie de te rencontrer. J'ai envie de m'aérer l'esprit, de me détendre, de jouir. Penses-tu qu'il te soit possible de me faire l'amour? Silencieusement sans que je n'ai à te dire les raisons de mon mal être? Si l'envie n'y est pas, je comprendrais. Merci de me répondre assez rapidement. Vellini".

Presque instantanément, il me répondait, j'avais son adresse, un code d'entrée. Puis une demande "sois sexe". Je refusais de chipoter sur ce message qui semblait dire que ma seule venue n'était pas suffisante. Il fallait que j'attise son désir. En un mot que je réussisse à le faire bander.

Je choisi une guêpière, rouge, sans culotte... Des bas accrochés... Je me maquillais, je pris un temps fou à faire les yeux. Je ne voulais pas d'un regard triste. Je le voulais gourmand, sexy. Une bouche plus naturel. Je sautais dans ma voiture. Une banlieue parisienne... Meudon la forêt.

Sur mon trajet, j'eus quelques frayeurs lorsque je senti que ma voiture peinait à monter cette pente qui menait à son domicile... Je suis une piètre conductrice.

Je suis devant son immeuble, ni inquiète, ni excitée. Décidée simplement. J'aurais pu solliciter les services d'un putain, c'eût été pareil. Je m'annonce via son interphone, j'accède à la seconde porte, pianote le second code. Je choisi de prendre l'escalier, il est au premier. Je ne veux croiser personne, ne sourire à personne. J'en profite aussi pour me décoiffer... J'ajuste simplement ma frange. Il paraît que les cheveux en pétard c'est sexe! Lorsque j'ouvre la porte des escaliers, il m'attend sur le palier... Il paraît surpris... "Ah oui! Tu es belle!"... Était-il inquiet? Je ne lui en veux pas... Il n'avait aucune idée de ma tête. Le voilà rassuré... J'en suis pas plus flattée. Je n'ai que faire des compliments.

Il m'aide à quitter mon manteau, en profite pour poser un baiser à l'arrière de mon cou... C'est agréable. Enfin, je réalise l'excitation de la situation. Des petits papillons naissent au bas de mon ventre. Il est beau. Vraiment beau. Il me propose un verre. J'accepte un verre d'eau. Quand il revient verre et bouteille d'eau à la main. Je suis debout face à lui en petite tenue. J'ai lâché quelques mèches de mes cheveux sur mes épaules, réajuster mes seins, ma guêpière me met bien en valeur. Il rit. "Oh! Tu es vraiment très belle" cette fois-ci je prends le compliment. Je m'avance vers lui, je débarrasse ses mains... Il les pose sur moi, avec mes talons je fais presque sa taille. Il enfoui sa tête entre mes seins. "Que ta peau est douce! Tu es belle... Que tu es belle" je sens son sexe grandir. Mes mains caressent sa nuque... Nous nous embrassons.

Il m'embrasse délicatement, ses mains me caressent lentement... Je le traine vers le canapé que j'avais repéré, je le bascule... Il s'assoit, je suis à califourchon sur ses genoux. Sa bite est dressée sous son pantalon entre mes jambes. Je commence par balloter mes hanches sur ce sexe. Il m'embrasse toujours aussi délicatement. Je me sens presque précieuse. Ses mains n'osent pas descendre sur mes hanches encore moins sur mes fesses... C'est moi qui vais les poser... "J'ai envie de toi, tu es bandante. Tu m'excites"... Je lui murmure que je suis à lui... Entièrement à lui. Il se relève tant bien que mal, je me retrouve les bras accrochés à son cou, les jambes à sa taille. Portée, il m'emmène dans sa chambre.

Posée sur son lit... Il glisse lentement entre mes jambes, sa bouche rencontre ma chatte nue. C'est explosive... Il me suce. Il ne me lèche pas mais prend entièrement ma chatte, mes lèvres et mon clitoris.. Ils sont happés dans sa bouche, il me suce. Que c'est bon! De temps en temps sa langue me pénètre. Je sens son désir, puis je ne sais comment, je sens son doigt glisser dans ma chatte et mon clitoris sucé par sa bouche. Je n'avais connu de telle pratique. C'est bon... J'hurle, je me tortille... Il me replace. Il y va encore. Je sens que je vais jouir... Je plaque sa tête entre mes jambes... Je jouis. Je sens très nettement un liquide s'échappe de ma chatte. Ai-je une éjaculation d'homme? Ses cheveux sont tirés... Il lèche. Me boit presque. J'ai ces spasmes qui n'apparaissent que rarement... Ces spasmes qui signent un plaisir au paroxysme. Je n'ai pas un orgasme... J'ai une somme de microorgasmes qui peuvent paraître interminable. Je le libère et lui demande de m'aider à arrêter cela. Il faut qu'il comprime pas chatte fortement avec sa main. Je tremble entre ses bras. Je bafouille un "c'est normale.." Je ne veux pas qu'il prenne peur. Il faudra qu'ensuite je lui explique qu'il peut être fière de ne pas m'avoir offert un orgasme mais une multitudes d'orgasmes... Il comprime encore et encore alors que je continue de jouir et que je m'accroche à sa bouche. Enfin. Je m'apaise. Je suis blottie contre lui. Satisfaite et légèrement honteuse d'avoir jouis si vite et aussi intensément. Il me parle... Je n'entends pas fort bien... Je me dégage quelque peu... "Tu es encore plus belle lorsque tu jouis..." Je souris. Je l'embrasse.

Je me réajuste, certes j'ai pris mon pied... C'est à lui aussi de jouir.. Je glisse ma main dans son pantalon... Enfin, j'ai en main ce sexe que j'avais tant fantasmé... Je le caresse... Lentement je quitte sa bouche, longe son torse et je sors sa bite que j'embrasse avant de la faire disparaître dans ma bouche... J'entends son souffle que j'avais tant de fois entendu... Sa main se pose sur ma tête... Je suce... Je le sens vibrer. Il apprécie... Je m'applique. Je lèche ses testicules, je tourne autour de son gland, ma langue lèche son méat... Je l'avale à nouveau. Je l'entends gémir plus fort.

Puis, brusquement il m'arrête. Se redresse. Se rhabille. Je ne comprends pas. Il sort de la chambre, je l'interpelle... Me laisse entendre qu'il revient... J'entends un verre d'eau se remplir... Il boit. Son verre toujours à la main. Il se place à la porte... "Désolée... Je ne peux pas te faire ça... Pas ce soir. Je ne pourrais pas être fière de moi." Je ne saisi pas.... Pourquoi? J'en ai envie. "Non, tu as jouis. C'est bien. Ne te laisse pas aller, je ne pense pas que ça soit le bon jour... Un autre jour si tu veux..."

Et là... J'ai reconnu cette sensation presque familière... Quittant son lit immédiatement... J'ai vomis à ses pieds. Il m'a laissé faire. M'a relevé, conduit dans sa salle de bain. J'ai pris une douche. Il s'est nettoyé à nettoyé la pièce et lorsque je suis revenue. Il fumait sur son balcon. "Est-ce moi?" Non. "Veux-tu en parler?" Non. "Je te raccompagne?" Non. Je rassemble mes affaires... Le remercie, l'embrasse à nouveau. Puis me dirigeant vers la porte. Il me lance. "J'aimerais, te revoir".
Je suis partie. Je ne me suis pas retournée. Dans mon garage, j'ai écarté mes jambes, glissé une main sur ma chatte... Et je me suis caressée en pensant à cet homme. Il est beau.

Terriblement beau.

3 février 2014

...


21 janvier 2014

Lorsque Je Pense à Toi...

Lorsque je pense à toi, je n'ai qu'une envie... Celle de te baiser. Je me vois sans cesse te baisant, je ne saurais te dire pourquoi, mais cette envie est comme ancrée en moi...

La première fois où mon regard s'est posé sur toi, où le tien semblait si hésitant, si réservé, je te baisais déjà. J'ai eu envie de te baiser dès les premières secondes.  
J'ai envie de te baiser. Non pas que tu me baises, que tu me fasses l'amour, que tu me prennes. Non, j'ai envie de disposer de ton corps... De disposer de ta gourmandise. De ta bite. Que ton corps me soit livré. 
Je me vois, t'accueillir, te déshabiller... Découvrir ton corps glabre et doux... Baiser ta bouche et commencer à te baiser. J'aime la douceur de ta peau, la finesse de ta bouche, la délicatesse de tes mains. J'aime tes silences. Ta timidité. J'ai envie de te prendre. 
Lorsque je ferme les yeux et que je glisse une main dans ma culotte, je pense à ton sexe tendu et bien raide. J'aime tes érections spontanées, j'aime ta gourmandise. Je me dis que je pourrais te baiser de longues heures durant et tu continuerais à bander.

J'ai envie de te baiser. J'ai envie de t'allonger... Et de jouer de ta bite. De la sucer à t'en couper le souffle, puis de glisser un doigt entre tes fesses, de caresser ta prostate... J'ai envie sentir ton foutre monter, comme quand tu me l'annonces. 
Quand je pense à toi... J'ai envie de te baiser.

Tu en deviens une obsession. J'aimerais me placer au dessus de ton sexe, écarter ma chatte, saisir ton gland... Ton gland qui me paraît si énorme et le laisser glisser en moi. Je poserais ma lourde poitrine sur toi, je sais que tu aimes cette lourdeur contre toi, et seules mes fesses se lèveront au rythme de mon plaisir pour chevaucher ta bite. Que tu sois là, bandant et impassible. Que ton corps m'appartienne le temps d'une demie-journée, que je te baise et que je jouisse comme bon me semble. 
Ma chatte trempée rêve de se contracter autour de ta bite, de laisser s'écouler ma cyprine sur toute sa longueur... D'enserrer ta bite avec mes lèvres intimes, de me branler avec. J'ai envie de la sentir au plus profond de moi.

J'ai envie de te baiser. 
Offre-toi à moi. Laisse-moi te désirer... Te Baiser.


15 janvier 2014

Jamais le premier soir...

Oui, je l'ai fait! J'y suis allée*!

Et je me suis amusée comme une folle. Je me suis vue déprimée la tête dans les bouquins de développement personnel... Des réflexions à foison, ce sentiment de renaissance, de bonheur... Superficiellement heureuse. Superficiellement... Car la faille n'est jamais trop loin. Cette faille qui vous fait comprendre que quoi qu'il arrive vous restez vous. Une amoureuse! Une amoureuse qui veut y croire. Qui accepte d'être transportée même si tous les signaux sont là. L'amour vous y croyez. J'ai adoré la rencontre de Julie et Ange. Le truc improbable où évidemment le mensonge semble si énorme mais on s'en fou!! On y va! On y crois. Ce film est comme un condensé de petits moments de la vie qui sur le coup sont dramatiques et par la suite on se plaît à en rire
Melissa Drigeard, a réussit à mettre en scène et rendre si léger nos tracas. J'ai A-DO-RÉ. Rire de soi-même  vaut le coup. D'ailleurs, j'ai mieux saisi pourquoi j'ai cette hantise de ne plus me souvenir de la tête des hommes que j'ai aimé. Ça la fout mal, lorsque cela arrive.



Dans ma lancée ce soir ça sera "A coup sûr."   

                        


         Puis "l'amour est un crime parfait", à priori excellent!
Beaucoup de profondeur.
                   

                        

                     
* Et puis zut! Le cinéma c'est aussi dans la légèreté (bien souvent pour moi). C'est délicieux.

6 janvier 2014

Une Nouvelle Année...Un Nouveau cycle.

2013 c'est fini. 
Une pointe de nostalgie. 
L'année écoulée aura été pour moi la fin d'une tranche de vie, d'un cycle. Une tranche de vie qui aura débuté il y a presque dix ans. L'élément centrale de cette tranche de vie aura été James. Aussi curieux que cela puisse être, cet homme n'aura pas simplement été un amant. Il a été la rencontre qui est arrivée au meilleur moment de ma vie. Aujourd'hui, la jeune femme est un peu la somme de cette rencontre. Je ne sais comment, ni pourquoi, il a fait renaître en moi ce sentiment de liberté. Avec lui, je me sentie libre. J'étais entourée de deux hommes, complètement différent l'un de l'autre, et je me sentais libre. Libre de voyager, d'écrire, d'aimer, de réinventer ma vie, ma famille, mon avenir...Un goût de liberté extraordinaire.
J'ai aimé ce regard gourmand, tendre, remplit de désirs mais aussi de bienveillance qu'il n' a de cesse porté sur moi. Les gens se plaisent à dire que les plus belles années sont à venir, moi, mes plus belles années sont celles où il a formé ce duo avec mon époux m'apportant un réel équilibre. Cette tranche de vie aura le bénéfice d'avoir fait de moi, la "femme" que je fantasmais. Loin d'être parfaite, mais celle qui tend à être en accord avec ce qu'elle pense et ce qu'elle vit.
Il m'a suivi partout dans mes désirs...Confier à l'autre la profondeur de son esprit tortueux, celui des fantasmes qui vous met à nu est une tâche bien difficile... Et pourtant, il a réussit à me mettre en confiance. 
Il m'a guidé dans la découverte d'autres plaisirs... Des petits pas pour l'homme, mes des grands pas pour moi. Je ne sais ce que je lui ai apporté exactement, je ne sais pas...De nombreux orgasmes sans doute... Mais il reste l'une de mes plus belle rencontre de ces dix dernières années. Et si je n'ai jamais su lui dire,  j'aimerais lui dire ici... Merci, merci bel amant, merci d'avoir été là toutes ces années. Merci d'avoir été cet homme exceptionnel. Merci, merci de m'avoir tant aimé.
2014. Une nouvelle année.
Une nouvelle tranche de vie, que j'aborde paisiblement.
Elle sera certainement celle de l'aboutissement...
Aussi à vous tous qui vous perdez dans mon espace, dans mes mots, dans mes désirs et mes fantasmes, au delà de vous présenter mes vœux les meilleurs, je tiens également à vous remercier d'être là, silencieux mais présent. Merci. 
Je vous souhaite une belle année 2014, puisse cette année soit celle des plus belles. Sachez profiter des petits plaisirs que nous offre la vie. Aussi infime ou bref qu'ils  puissent être, il est bon d'en profiter. 
Une très Bonne Année à tous et à toutes. 
Je vous embrasse.