27 janvier 2012

D'humeur...

25 janvier 2012

La page... Noire

Depuis quelques jours, j'ai de tas de petites idées de textes qui fourmillent dans ma tête mais je peine à trouver le bon bout pour les noter. Je suis obsédée par le calme  plat de mon entrejambe.
Je ne sais quel genre de rapport vous entreprenez avec votre libido mais moi, lorsqu'elle semble en berne, je m'angoisse... Dans la foulée, je pose de tas de diagnostic, dont le premier... "Suis-je déprimée"? Cette idée de déprime m'angoisse plus que tout... Ce mal est pervers et vicieux, il s'immisce, se colle à vous et vous pourrit la vie. Je l'ai vu tant de fois causer du tort aux autres si bien que je l'ai en horreur. Tellement en horreur que je me lance dans des tas d'expériences... Sexuelles de préférence. (Je suis une sorte de Bonobo qui règle tous ses conflits en s'offrant des orgasmes)
Pour la première étape, je m'installe confortablement dans mon lit en gardant simplement ma culotte, puis les yeux fermées, dans le calme de ma chambre, j'essaie de n'être qu'à l'écoute de mon corps, doucement, je caresse mes seins, je caresse mes cuisses en remontant vers mon entrejambe et sous le mont venus, je pose ma main sur ma chatte, j'appuie... La compression m'excite...  Presque instantanément mon souffle s'accélère en prévision du plaisir à venir, ce léger frémissement me fait sourire... Puis, rien... J'ai beau appuyer, tourner, tirer ma petite culotte entre mes lèvres ou glisser un doigt... Rien. L'envie n'y est pas.
Je ne me dégonfle pas, non, non... Pour la seconde tentative, je me lance sous la douche... Oui, un petit jet sur le clitoris à toujours un petit effet agréable, à chaque jet, je fantasme au foutre chaud de James arrosant ma chatte... Mes seins se dressent. Je ne sais pourquoi, cette idée de sa grande queue en grande lance, déversant avec puissance son sperme sur ma chatte en feu à le chic gonfler mon clitoris.  Et là non plus, rien... J'ai beau régler mon pommeau de douche passant les différents jets... Rien n'y fait.
Et lorsque rien ne fonctionne ainsi... Je pense à ma carte magique... Mon "harcelé". Lui, lorsque je pense à lui et surtout à son futur "Non, je n'ai pas envie", curieusement je m'excite.  Je fantasme à l'idée de le violer! L'attacher dans un lit et baiser son sexe... Me voilà donc souriante lancée dans la séduction... Catastrophe. C'est avec frayeur que j'ai vu aucun de mes sens ne réagir. Si la panne des messieurs ressemble à ça. Croyez-moi, mon angoisse prit des proportions énorme.
Il fallait donc que je l'accepte, mes deux dernières semaines avaient été difficiles, j'avais accumulé une grande fatigue, et sans doute mon morale était au plus bas.
C'est en demi-teinte, que j'allais retrouver James, j'enfilais mon petit tailleur pantalon de jeune femme sage, nous devrions simplement prendre un verre et discuter de choses importantes. Nous nous engouffrions dans ce parking où nous avions quelques fois baisé avec grand plaisir, mais là en était pas question... Curieusement, nous eûmes envie de rester dans sa voiture... De petites discussions innocentes... Puis au moment de repartir, en guise d'au revoir, il baisa mes seins, sortant mes seins de leur corbeille, ils les prit un à un dans sa bouche... Et ce fut une EXPLOSION dans ma culotte.

Non, je ne suis pas déprimée...Bon, disons que je peux encore jouir.

(Bon, maintenant, j'ai envie d'un rencard interdit!)

14 janvier 2012

D'humeur...



À montrer mes fesses.
C'est tout comme... Hein!

10 janvier 2012

Le manque...

J'ai une folle envie de sexe. 
Et plus les jours passent, plus mon envie devient immense, intense, je brule.  Mon envie est tellement fort que j'érotise presque toute les situations.

J'ai une envie de sexe, comme l'envie d'une gourmandise culinaire qui vous a manqué pendant de très, très longue semaines...
Comme ce petit bout de chocolat que l'on fantasme  intensément sous le coup d'un régime drastique. 
Je fantasme le sexe, comme cet instant où l'on peut reprendre à son aise ce carré de chocolat pour le porter à la bouche. Cet instant où on le saisit... Où l'on savoure avant tout son odeur... Puis lorsqu'on le pose délicatement sur sa langue... C'est tout notre être qui frétille.

Ce moment terriblement plaisant, je le fantasme actuellement plusieurs fois dans la journée... J'aime fermer mes yeux et imaginer l'explosion de mes papilles.

J'ai envie d'une baise torride, d'une baise sensuelle, d'une baise délicieuse.
Il est près de deux heures du matin,  je peine à dormir, je ferme mes yeux et je pense l'ensemble des plaisirs que pourraient m'apporter une main qui parcoure mon corps, un souffle au creux de mon coup, la chaleur de mon corps emmêlé à l'autre...
Je pense que je retarderai le moment de la pénétration, que je prendrai plaisir à le caresser, à le toucher, à sentir encore et encore l'odeur de son entrejambe. Je le prendrais lentement dans ma bouche et ma langue longera son sexe délicieusement...
J'aimerai me blottir dans ces bras, avec une folle envie de fusionner, une envie qu'il entre en moi., que je me perde en lui.

J'aimerai baiser presque au ralentit pour pouvoir bien ressentir l'ensemble des contacts de nos corps. Pour pouvoir sentir chaque millimètre de sa bite me pénétrant... J'ai envie que ma chatte se contracte autour de son sexe et que je me sentes bien pleine, remplie, oppressée.
J'ai envie qu'il soit gourmand, avide et délicat. J'ai envie de l'entendre savourer, prendre son temps... J'ai envie que nous soyons deux à redécouvrir ce délicieux plaisir. 
Ce soir j'ai une folle envie de sexe.
Et pourtant, je n'ose glisser une main entre mes jambes... J'affectionne ce désir, je le nourris, je veux qu'il grandisse encore pour pouvoir mieux me fondre dans ses bras.

Il est 03h05 du matin, et j'aimerais qu'il vienne se perdre dans mes bras.

5 janvier 2012

Ce que vous n'avez pas lu en 2011...

Il est de coutume (apparemment) de faire des bilans de l'année qui s'est écoulée, pour ma part, je vais vous confier mon plus grand flop 2011. 
Mais avant, il faut noter (tout de même) que 2011 fut l'année de ma première nuit volée. J'avoue que j'ai vraiment eu beaucoup de mal à admettre que cela était possible, d'abord parce que je n'en voyais pas l'intérêt, il ne me fallait pas une nuit entière pour le désirer, de plus c'était comme un peu lui dévoiler cette autre partie de moi que je ne montre que très très peu et qui parfois peut surprendre... Oui, je joue du concerto dans les bras de Morphée. Je permute entre la bombarde et la trombone, voyez-vous, cette image de moi ronflant ne me paraissait pas très agréable à lui présenter... Mais c'était mal connaître Monsieur, à force de persuasion, j'ai fini par sauter le pas.
Notre première nuit... Je n'ai que très peu dormi, voire  pas du tout, de galipettes en galipettes, je me suis assoupie quelque instants après qu'il se soit endormi, et que j'eus le triste constant que Monsieur ne jouait d'aucun instrument, même pas d'une minuscule  flûte... J'ai donc du réguler ma respiration, pensez-vous... J'ai sursauté par deux fois, tant mon intrusment s'imposait à moi. 
Au petit matin, entre quelques baisers, il me murmura un "Tu ronfles?"... Moi, mielleuse... "Nooooon"  voyons, une dame ne ronfle pas, elle vit! sourire aux lèvres. Bah, oui, il n'y avait plus de secret entre nous. Je ronflais. Et pas lui. 
Passé ces détails, lorsqu'on passe le cap d'oser la première nuit... Il y a comme un appel pour la seconde nuit... Parti en vacance avec sa famille, il m'avait fort manqué, aussi pour nous retrouver l'idée d'une nouvelle nuit ensemble, ne pouvait que nous enchanter. 
Il fit la route, je pris le train. La ville à mi-chemin de nos domiciles. Que de plaisirs... 
J'enfilais un déshabillé transparent sous lequel j'étais toute nue, j'arrivais face à lui, ondulant mes hanches, jouant de mon charme... Des baisers, des caresses, des pénétrations, des orgasmes... C'était bon... Si bon, que pendant des heures nous avons baiser, fait l'amour... J'avais jouis, je ne sais combien de fois, il avait jouit. Mais notre envie était toujours là...
Après m'avoir prise en levrette, je m'empalais sur sa bite et le chevauchais comme jamais... Je raffole de ses mains qui tantôt m'accompagnent, tantôt me caressent... C'était d'un plaisir intense... Si intense... Que je jouis à grand cris. Je me suis blottie contre lui, il m'enlaçait tendrement...C'était doux... Tellement doux, que... Plus rien. Je me suis endormie. Net. Comme ça, d'un trait! Gentiment j'ai glissé sur le côté, et lorsque j'ai réouvert les yeux... Il faisait jour, et il était sous la douche...


Vite, j'ai  refermé les yeux*... 


Je vous souhaite une très bonne année 2012, remplie de plaisirs et de fou rire. 


*Je suppose que mon concert fut élogieux...

3 janvier 2012

Renversée.

Ce qui est excitant lorsqu'il me baise ainsi, c'est de l'entendre me décrire ce qu'il voit...
C'est de sentir ses mains me retenir à juste hauteur où seul son gland me pénètre...
C'est de sentir ses fesses décoller pour me rejoindre dans mes chevauchements...
C'est de pouvoir caresser ses testicules qui se contractent...
C'est de pouvoir glisser un doigt pour caresser sa prostate...
C'est de sentir mon clitoris flirter avec sa bite.... 
C'est de pouvoir baiser, caresser ses jambes...
Mais aussi de sentir son doigt s'immiscer entre mes fesses.
Puis jouir en m'accrochant à sa jambe.