21 décembre 2011

Journée de l'orgasme...

Si un jour vous passez sur la rue de la pompe à Paris, arrêtez-vous à la Villa Glamour et demandez la chambre luxueuse N°9... Lorsque vous ouvrirez la porte de cette chambre et que vous serez face à ces marches qui vous feront découvrir votre lit... Vous en jouirez presque aussitôt. 

Avez-vous déjà fait l'amour, si fortement, si intensément, si tendrement... Au point d'en être incapable de le conter... Et avoir pour seule envie de dire encore et encore...C'était merveilleux. Merveilleux.

Notre journée orgasmique fut bien pleine.


18 décembre 2011

Comme une envie de toi...

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Une terrible envie de toi...


6 décembre 2011

Ma Brute et Moi.

Je ne sais si c'était le doute qui m'excitais ou si c'était cette part de lui, jusque là inconnue qui m'avait donné envie de le revoir. Son indécence avait prit le pas sur mon désir, les jours qui ont suivis, je m'excitais à revivre ces quelques heures passées ensemble. Plus que tout j'avais envie d'un autre rendez-vous. 
Les yeux bandés, je l'attendais allongée sur le lit, j'avais pris le soin d'entrebâiller simplement la  porte, je l'entendis entrer, mon cœur s'emballa, ça pouvait être n'importe quel autre homme, mais je me refusais de demander si c'était bien lui.. Il ne dit mot, s'allongea à mes côtés et commença à me caresser toujours avec empressement et poigne... Sa prise était forte, son souffle fort, et je pouvais sentir la raideur intense de son sexe. 
Il baisa mon cou, empoigna mes seins, les prit goulûment dans la bouche, puis me tira du lit... "Viens là"... Il me traina dans la pièce et je me sentis face contre mur... Il se plaquait contre mon dos,  ses mains caressaient mes seins, mon ventre, ma chatte.. Il s'accroupit, baisa, lécha puis claquait mes fesses. Sa tête s'engouffrait entre mes fesses, je me cambrais, corps encore plus aplati contre mur, j'appréciais.
Il se releva, un peu trop vite à mon vite, beaucoup trop vite, j'aurais aimé que cela me mène à l'orgasme... Il se saisit de mes hanches, écarta un peu plus mes jambes, et sa bite me pénétra, je l'entendais grogner, des coups lents, secs et profonds... A chaque profondeur, il se figeait quelques instants et repartait avec un autre coup plus fort. Je me crispais les premiers moments, puis je me détendais, il reprit ses allées et venues,  je sentais mes sécrétions s'étendre de plus en plus...  Une main sur mon ventre, une main sur ma hanche, un autre coup sec et je l'entendis.... "Noooonnn, salope, tu m'as fait jouir..."
Il n'y avait point doute, c'était toujours le barbare de la dernière fois.

1 décembre 2011

N'oublions pas...

Le Sida ne se guérit pas encore... Pensez à vous protéger.
Pensez sexe, pensez préservatif.