21 décembre 2016

Un jour... Des Orgasmes...



Le mien est bien plus puissant... 
 À la différence qu'avec toi, je ne simule pas. 
D'ailleurs, je manque de temps. 
Que c'est bon d'offrir des orgasmes!

Vivement Que Monsieur Le Père Noël...



Se libère...

14 novembre 2016

Post-it.


4 novembre 2016

Comme Une Envie...


De Gourmandise...

28 octobre 2016

Cet obscur objet de désir



Cet après-midi en étant avec toi, j'aurais pu te baiser aux yeux de tous sur ce banc public, je nous voyais nus abandonnés dans les bras de l'un et l'autre.
J'aurais pu comme tu le souhaitais retirer ma petite culotte... Fallait-il encore que tu acceptes de me suivre, que tu cèdes à cette envie de poser tes mains sur mon corps, de glisser ta main dans ma culotte, de poser ta langue sur ma chatte, de fourrer ta bite dans le fond de ma gorge, à me retourner, me plaquer contre mur et me baiser comme je pouvais l'entrevoir dans ton regard. Ce regard qui en un instant a inondé ma culotte,  j'étais trempée, trempée comme jadis... Comme cette première fois où contre un arbre tu me rendais impudique. J'étais humide de désir... 
J'avais envie de sentir ton souffle et tes gémissements au creux de mon oreille, de contracter ma chatte autour de ton sexe. J'avais envie de balloter tant bien que mal mes reins sous l'emprise de ton corps.
J'avais envie de t'entendre dire..."Ne bouge plus"... J'avais envie de t'entendre venir encore une fois au fond de moi...
Cet après-midi, en rentrant chez moi, je me suis installée au volant de ma voiture, écarté mes jambes et j'ai caressé ma chatte en pensant à ton corps écrasant le mien. A ta bite déversant ton foutre au fond de ma gorge... Ce fut bon. Très bon.
Tu m'as manqué. Ton sourire pervers m'a manqué. Ta gourmandise m'a manqué.

...


16 octobre 2016

Proposition Indécente...

J'ai repensé à lui. Était-ce du fait de la rentrée. Nous aimions tous deux le mois de septembre... L'automne en particulier, ce temps maussade et mélancolique nous réunissait sous les draps des hôtels. Nous ne nous racontions pas  nos vacances, bien trop pressés à nous aimer. Je me suis bien souvent demandé ce qu'il y avait de si excitant, pourquoi nous brûlions de tant de désir en ce mois. Je n'ai jamais su y répondre. J'appréciais ces retrouvailles aux allures d'une première fois. Chaque année dans ces retrouvailles, nous resignions un nouveau contrat de débauches. 
J'ai repensé à lui si fort, qu'il m'a appelée. Était-ce le doux souvenir de nos automnes? Je n'ai osé lui demander. Il disait vouloir prendre de mes nouvelles. Qu'il avait tant de fois pensé à moi... A nous. - A nous? Avais-je bondi... - Nous... Nus? Il avait ri. Ri, comme pour me demander d'arrêter. 
Son couple avait traversé des moments pas simples... Il ne voulait plus tenter le diable. J'étais le diable. J'avais ri. Je n'étais pas le diable. Je ne suis pas le diable. Lorsqu'il avait tenté de quitter sa femme. La terre avait tremblé sous mes pieds. J'ai prié sainte Rita, brûlé un cierge. Je l'ai persuadé que c’était une belle erreur.  Pourquoi? Je ne sais pas. Je n'y ai pas réfléchi. Peut-être que si.
On raccrochait avec la promesse de se voir pour un verre en toute amitié, le surlendemain. Nous avions chacun de nous un peu de disponibilité dans la matinée. 
Jupe tube, talons et trench. Me voilà plantée sur l'une des grandes artères de la grande place de Paris, patientant qu'il m'embarque. 
S’engouffrer dans ce parking où nous avions tant de fois baisé, est assez déstabilisant. Je sens mon entrejambe frémir. Silencieux. Nous remontons en surface.
- J'ai un jeu à te proposer - Ouille, je crains le pire!- Respire... Rien de tordu. Je ne vais pas te baiser immédiatement, même si j'en meurs d'envie. - Et moi donc... Mais non. Tu sais bien, qu'on ne devrait pas. - Oui, j’essaie de comprendre... Monsieur vieillit... - Arrête. Je ne sais comment tu fais... Plus de 10 ans et tu ne te questionnes toujours pas?- Sur mon désir pour toi? Mais, j'ai toujours follement envie de toi... Tu me manques. - Arrête! Tu sais bien de quoi je parle... - Je sais. Je manque de morale. Certainement. Et toi, que s'est-il passé pour que le mauvais garçon que j'ai tant aimé puisse disparaître?- Tu es incroyable! Alors c'est quoi cette proposition? - Hier soir, en cherchant ce que l'on aurait pu faire en toute amitié. J'ai eu une idée, et si on laissait le hasard choisir pour nous...
Je lui présentais, deux enveloppes que j'avais soigneusement préparées la veille. Deux propositions. Je  posais les deux enveloppes face à lui, et l'invitais à choisir.
- Tu n'as aucune décision à prendre, laisse faire. Mais promets-moi... Je te fais la promesse de me plier à ce tirage... Promets-moi, que tu t'y plieras également... - C'est assez drôle... Qu'est-ce que tu as mis dans ces enveloppes? - Quelque chose de réglo... Et de non-réglo... - Que je te baise... Ou, que tu me baises? - N'importe quoi... Choisis! - J'hésite... - Ah! Tu as même perdu ton humour? - Allez, je vais jouer!
Il regarde quelques instants les enveloppes, les tourne et retourne. 
- Choisis-en une pour moi... - Non, ce n'est pas juste... C'est trop tentant, je te ferais une proposition indécente! - Laisse toi aller!- Celle de droite... N'oublie pas ton engagement! - Pas du tout! D'ailleurs, je prends celle de gauche.
Le sourire aux lèvres. Il se saisit de l’enveloppe... Fait mine de l'ouvrir. Puis, la repose. Il fait signe à la serveuse, et lui demande de lui suggérer une enveloppe. Joueuse est-elle. Et merci à elle, elle en choisit une, au hasard... 
Cette fois, ayant pour témoin, cette main innocente, je déchire la seconde enveloppe. Fini. Nous nous limiterons à son choix.  
Le hasard avait choisi pour nous... Le C.O.Q hôtel. Merci Dayuse.
La gourmandise de James refaisait surface... Il glissa ses doigts entre mes jambes. J'étais trempée. Ma bouche accolée à la sienne, contre mur, il releva ma jupe. Encore habillé, il dégrafa son pantalon, baissa son caleçon et me pénétra aussi sec. Suspendu. Il me baisait. Je l'entendais grommeler, son souffle augmentait, son cœur s'affolait. Je l'arrêtais. Il ne fallait pas qu'il jouisse de sitôt, pas sur le pas de cette chambre. Il se retira, ses doigts se glissaient à nouveau entre mes jambes, il me branla... J’humidifiais tellement, qu'il essuyait ses doigts trempés sur ma bouche et m'embrassait. Ses baisers agrémentés de ma cyprine embaumaient notre chambre. L'odeur de ma chatte et de son souffle augmentaient mon désir... Nous avons fait l'amour... Baiser. Tantôt gourmande, tantôt catin. J'ai aimé chevaucher sa bite. Sentir ses mains caressant mes fesses. Lui offrir ma croupe. Le sentir cogner le plancher de ma chatte. J'ai aimé sa gourmandise. Son désir. Son désir de ce sexe qui remplissait sa bouche. J'ai joui sur ses lèvres. Il a joui dans ma bouche. Nous nous sommes assoupis quelques minutes. Réveillée par ses baisers... - Qu'avais-tu mis dans l'autre enveloppe?... J'ai ri. - Ce n'est plus important - Dis-moi... - Non... N'insiste pas. Je ne dirais rien. 
Une belle matinée. Une belle rentrée. Une belle partie de sexe.
...
Connaissez-vous le coup de la pièce truquée? Il semblerait que cela fonctionne également avec les enveloppes!





17 mai 2016

Le Missionnaire

Hier soir j'avais envie de sexe... Et lorsque l'envie me prend ainsi, je ferme les yeux et je parcours tous les petits plaisirs qui pourraient me satisfaire.  Avais-je envie d'un cunnilingus, d'une levrette, d'une fellation... D'une baise animale, passionnée, langoureuse...
La seule image qui me vînt, fut celle de nos deux corps imbriqués. J'avais envie d'une banale position du missionnaire.
Une envie de sentir mon corps écrasé par ton corps... De sentir ton phallus profondément enfoui dans ma chatte, ton pubis écrasant mon clitoris, nos bouches accolées, et mes mains parcourant ton corps. 
Je rêvais d'empoigner tes fesses, de sentir des petits mouvements d'aller-retour, des mouvements lents, circulaires et fermes.
J'avais envie sentir ton souffle et tes gémissements au creux de mon oreille, de contracter ma chatte autour de son sexe. J'avais envie de balloter tant bien que mal mes reins sous l'emprise de son corps.
J'avais envie de l'entendre dire..."Chuttt, ne bouge plus"... J'avais envie de t'entendre venir encore une fois au fond de moi...
Quoique l'on pense de cette position ringarde, elle à le bénéfice de nous faire jouir très vite... Et ce soir, j'avais envie de venir très vite.


27 avril 2016

Le Baiser...

Ce n'était qu'un baiser... Un de ces baisers qui vous font perdre pied...Un de ces baisers qui vous font de belles promesses...
Il m'enlaçait tendrement, déposant de doux baisers sur ma bouche... Puis sa bouche s'est  posée délicatement  dans mon cou, il semblait s'enivrer de mon parfum, il me garda de longues minutes dans ses bras me serrant de plus en plus fort, je pouvais, sentir au travers de son pantalon, son sexe grandir et devenir si dur que j'en ai frémis... Je me sentais transportée dans ses bras, mes seins se dressaient, mon clitoris palpitait... Lui, continuait lentement à parcourir mon corps, ses doigts   longeaient mon dos, il caressa délicatement mes fesses comme s'il me peignait...Son souffle grandissant traduisait son désir...
Il saisit une de mes jambes et la plaça sur la sienne... Sa main reprit le parcours de mon corps, caressant mes jambes, lorsqu'il arriva à l'arrière de ma cuisse, je basculais mes fesses vers lui, un geste instinctive pour l'inviter à glisser sa main entre mes jambes, mais il préféra se saisir de mes fesses... Mes bras à son cou, je caressais sa nuque... Notre baiser devenait de plus en plus gourmand, de plus en plus indécent, nos langues accolées mimaient sans aucun doute, l'envie d'une pénétration profonde. 
J'étais prête à l'accueillir... Je voulais le sentir dégrafer sa braguette, sortir sa bite et me pénétrer avec force... Bien que dans ses bras, je visualisais déjà notre envolée torride... 
A mesure que nous nous embrassions, que nos mains caressaient nos corps, je me voyais lui offrir ma croupe... Je sentais ses coups de reins puissants au fond de ma chatte, j'espérais qu'il claque mes fesses. Qu'il hurle entre mes reins. 
Et pourtant nous ne continuions qu'à nous embrasser... Ses mains se posaient sur mes seins, il quitta mes lèvres et prit mes seins dans sa bouche... Baisa mon ventre puis revint baiser ma bouche. 
Comment lui dire que j'en pouvais plus, que je voulais qu'il glisse son doigt en moi, qu'il titille mon clitoris et qu'il me mène à l'orgasme. Je m'accolais à lui, rapprochant mon bassin que je frottais contre ce sexe bandant... 
Enfin,  je me retournais, je lui offrais mes fesses..  Tête sur le côté et à l'envers, appuyée sur son épaule, nous continuions à nous embrasser, cette fois-ci, un peu forcé  il plaça ses deux entre mes cuisses, remontant ma robe, sa main, se glissa dans ma culotte... Entre mes fesses, je continuais à sentir sa bite bien dure, dans ma chatte ses doigts allaient et venaient en moi, mes secrétions débordaient sur sa main... Ils les sortit, les essuya sur les lèvres de ma bouche et posa sa bouche sur la mienne... Notre baiser continuait, ses doigts  enfouis à nouveau  entre mes jambes...
L'odeur des secrétions qui accompagnaient ce nouveau baiser, sa gourmandise à découvrir le goût de ma chatte à travers ma bouche ne tarda pas à me laisser fondre dans ses bras. Je contractais mon sexe autour de ses doigts, je jouis...

Ce n'était qu'un baiser... Un de ces baisers qui vous portent à l'orgasme.

31 mars 2016

Indécente Proposition...

La semaine dernière, inquiète je n'ai arrêté d'appeler un de mes amours fous d'adolescent. Il est belge. Ne l'ayant au bout du fil, j'ai laissé un message. Il m'a rappelé.

- C'était adorable de t'entendre... C'est touchant. Autorise-moi à t'offrir un cunni.
- Pardon?
- Un très bon cunni, je ne ferais rien d'autre... Attache-moi, menotte-moi. Seule ma bouche s'occupera...
- Arrête... (Rires)
- Allez, ça fait combien de temps que je te réclame ça?
- Arrête... (Rires)
- Par contre, il me faudrait une vue sur ton sexe... Un cunni et voir ce que je fais...
- Ah! Je devrais donc, t'allonger dos sur le lit, attacher tes mains et me mettre tête-bêche... Tu aurais une vue imprenable!
- Oh!
- De plus je pourrai donner de le rythme... Me rapprocher, m'éloigner...
- Hey!! Calme-toi. Je rentre en réunion. Ça ne le fait pas, si je bande...

Non, mais... Voyons! Il ne faut pas me titiller!

Je ne pensais pas que mon addiction au cunnilingus, remontait si loin...