21 août 2013

Happy Birthday...


« La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments. C'est de les faire soupçonner. » 
Jules Barbey d’Aurevilly


(Je viens de souffler une énième bougie... Que d'orgasmes! Merci.)


20 août 2013

Souvenir.

La musique... des sourires échangés, une soirée qui s'étire dans cet appartement trop grand...
Des heures durant nous étions là, spectateurs d'une fête qui nous échappait un peu... Figurants plein de bonne volonté... 
Des heures durant nous avons perdu du temps, jusqu'à ce regard. Deux personnes n'espérant plus rien, coupables du même ennui, au même instant, et qui se reconnaissent... Se reconnaitre sans se connaitre, se retrouver dans ces yeux qui vous retiennent, desquels soudain vous ne pouvez détacher les vôtres. 
Quelques secondes qui font oublier le reste, les autres sens au service d'un seul... plus de musique, plus personne, juste ces yeux....

Plus rien n'existait vraiment autour de nous...

Mais dans ce grand appartement nous n'existions pas non plus pour les autres. Il fut facile de trouver une pièce inoccupée. Elle y était avant moi, je l'avais suivi du regard quand elle s'était levée. Je la rejoignais. Pas un mot échangé, juste le même regard... Je la repoussai contre la porte juste refermée, mes lèvres frôlant les siennes, mes mains remontant le long de ses cuisses sous une petite jupe sombre.
Ses mains derrière ma nuque remontèrent dans mes cheveux et je sentis une pression... Toujours debout contre cette porte, elle conduisit ma bouche jusqu'à son sexe. Une main retenant sa jupe, je fis descendre de l'autre sa culotte déjà humide... Une seconde plus tard je sentais la chaleur de sa peau, les frémissements de son sexe contre mes lèvres. Je ne pu retenir longtemps ma langue, dessinant ses courbes charnues, me délectant du liquide qui emplissait ma bouche. 
Ses mains ne me laissaient aucun échappatoire, pressant ma tête et fouillant mes cheveux... Je pouvais entendre ses gémissements contenus, sa respiration rapide... Je senti surtout la crispation de ses mains, la brulure de ses ongles contre ma nuque, le tremblement de ses jambes avant qu'elles ne s'affaissent...
Je garde le souvenir de sa jouissance, de sa bouche retrouvant ensuite la mienne, de son regard derrière cette porte... Dans cet appartement que je trouvais trop grand.

@TwittosAnonyme

12 août 2013

5.

Tour à tour nous avons souri à la découverte de cette chambre... C'était doux. Si doux, que j'en étais venu à ressentir un voile amoureux me recouvrir. Je baisais tendrement sa bouche. Un des rares baisers où mon cœur palpite plus longtemps que mon entrejambe. Je me sentais fébrile dans ses bras, je le sentais fébrile. L'ensemble de ces signes présageait quelque chose de beau à venir, mais en cet après-midi d'été, ce que nous allions vivre allait bien au delà d'un grand moment de plaisir.
J'avais envie de lui faire l'amour, de le baiser, d'être là pour lui. D'être dévouée à son plaisir, je voulais être sa putain... Doucement j'ai déboutonnais sa chemise, j'ai parcourais son torse avec ma bouche, je  baisais, je humais, je frôlais, de petites caresses qui hérissaient ses poils... Puis je me suis agenouillée face lui, je le voulais dominant, je me voulais soumise... Baisant son ventre tout en dégrafant son pantalon, je sentais au rythme de sa respiration, l’affolement de son pouls, je m’apprêtais à prendre sa bite entre mes lèvres...
Lorsqu'enfin son sexe fut bien droit à hauteur de ma bouche, je m'abaissais pour lécher ses couilles, j'aime l'effet de ma langue sur cette partie de son corps, j'aime les voir se recroqueviller et sa bite gesticuler. Délicatement je remontais du scrotum à sa bite, ma langue tournoyais autour de son gland, je baisais cette bite qui m'avait tant manqué... Je la pris entre mes lèvres, ma bouche pénétrée, j'allais et je venais... Plus je descendais, plus sa main posée sur ma tête apposait une pression pour que je la prenne entièrement... Fastidieuse gymnastique, mais à mesure que je me rapprochais de la base, je sentais sa bite grossir et durcir de plus belle... Il s'excitait à me la mettre au fond de la gorge... 
Je l'allongeais sur le lit, au dessus, j’enfonçai sa bite au plus profond de moi, de mouvements lents, très lents accompagnaient mes va-et vient, je n'allais pas la chevaucher, je voulais tourner ma chatte autour d'elle, je voulais l'enserrer, je voulais qu'elle soit aussi profond à m'en faire mal... Je contractais ma chatte en longeant sa bite, mes allées et venues restaient très lent... Jusqu'à ce qu'il sente couler le long de sa bite mon liquide chaud... Moment que je choisi pour me retirer et reprendre ce sexe dégoulinant en bouche... L'odeur de ma chatte et la cyprine sur sa bite m'excitait... Je descendais encore et encore sur sa bite, atteignant de temps en temps la base, je l'entendais gémir de plaisir, ses mains se cramponnaient à ma tête, m'immobilisant, il baisait ma bouche. Je restais figée, et surprise de me voir ma bouche devenue un con... Je sentais son foutre monter... Il hurlait de plaisir... Des mots que je peinais à comprendre tant ses mains bouchaient mes oreilles... A son dernier cri... Je senti, un jet puissant se déverser dans ma bouche ouverte, ses mains lâchaient ma tête, son torse basculait en arrière, ma main prit sa bite, je continuais ma fellation tout en caressant son sexe.
Puis, délicatement je senti à nouveau sa main sur ma tête, il releva ma tête, ma bouche remplie...Il m'embrassa. Je l'embrassais... A son tour, il goûta à son foutre. 

Ma bouche baveuse... Je jouissais serrée dans ses bras. 


7 août 2013

Désir Quand Tu Me Tiens...


C'était trop beau pour être vrai, il était trop beau pour être vrai...

Assise sur la terrasse de ce café, il venait d'apparaître face à moi telle une illusion... Il portait ce regard tendre et doux, un corps athlétique... Sa petite barbe d'un jour lui rajoutait une touche de virilité. Il pouvait paraître banal avec son bermuda et ses tongs, mais pour moi il avait le petit détail qui ne trompe pas... Il avait de belles mains, une manucure impeccable... J'entrevoyais déjà toutes les belles choses qu'elles auraient fait à ma chatte, qui presque instantanément s'humidifiait.

Lorsque le serveur s'approcha pour prendre sa commande, le timbre de sa voix me fît vibrer de plus belle... L'imaginant murmurer à coup de tape sur mes fesses des mots cochons. Sur ma chaise je ne cessais de bouger, mon envie de son corps grandissait. Je croisais et décroisais mes jambes pour finir par les maintenir croisées ainsi mes cuisses pouvaient par frottements apporter des caresses à mon clitoris...Je m'adonnais au plaisir de la masturbation sous ses yeux. Il n'en savait rien.

Après quelques hésitations, je me redressais comme pour me présenter à lui, pour m'offrir à son regard... Je découvrais la splendeur de cet homme, de blanc vêtu il paraissait presque rayonner... Je m'imaginais faufilant sous cette table, dégrafant sa braguette et prenant plaisir à sucer sa queue. Une belle queue qui durcirait encore et encore entre mes lèvres.

Perdu dans ce rêve, cuisses trempées, je vis un homme aussi magnifique que lui l'approcher...

C'était trop beau pour être vrai... Il aimait les hommes.

La déception me gagna... Un instant... Rien qu'un instant, tant le tableau qui se peignait devant moi était magnifique. Ces jolis garçons échangeaient un baiser, un de ces baisers qui vous font comprendre que l'envolée ne peut qu'être torride. Mon désir grandit, je ne voulais plus de lui mais d'eux. Je voulais me joindre à eux, je voulais que chacune de leur mains se pose sur chacune de mes cuisses pour caresser mon entrejambe, je voulais être au milieu d'eux l'un baisant ma bouche, l'autre léchant ma chatte....

Je souhaitais le prendre dans ma bouche tandis que l'autre me pénètrerait profondément en levrette, sentir ses coups de reins qui ne feraient qu'enfoncer la bite de son amant dans le fond de ma gorge. Je voulais être leur gourmandise.

Mais surtout ce dont j'espérais le plus c'était de les voir faire l'amour, les voir échanger des caresses, des baisers... J'espérais surprendre leur mains s'entrecroiser pour se poser sur le sexe de l'autre, je voulais voir ces caresses mastubatoires d'homme à homme.

C'était trop beau pour être vrai...

1 août 2013

Badinons... Fredonnons.




Amies féministes ne vous méprenez pas Natoo nous dit tout.