28 novembre 2012

Aliénation Sexuelle.

Le sexe m'aliène. Totalement.

C'est le triste constat que j'ai pu faire alors que je suis dans une période où je fantasme plus mes futurs rendez-vous interdits que je ne les vis. Cette conclusion est arrivée  alors que je me disais qu'il était peut-être temps que je découvre le "triolisme"... Deux hommes et moi.

Quoi de plus excitant que de profiter deux corps, que de sucer deux sexes bandants , sentir son corps entier être léché, sucé et comprimé de part et d'autre. Le plaisir doit être déclupé. Lorsque j'y pense un sourire de très grande satisfaction illumine mon visage et ma chatte se remplie... Et...La seconde d'après j'angoisse. Le fait est que je ne sais pas  "purement baiser".

Je ne sais comment définir ce terme. Est-il que si je venais baiser avec vous cher lecteur, vous en serez surpris, pas dans l'action, non, dans le moment vous apprécierez, énormément... Je suis... Explosive...Gourmande... Forte et tendre (trop) et extrêment bavarde. Si encore mon bavardage se limitait à des mots cochons, cela resterait acceptable. Bah, non! Lorsque je prends du plaisir, mon cerveau se  retourne et je suis littéralement sous l'emprise de mon plaisir... Mon donneur de plaisir devient mon plus grand "amour"... Je le couvre de compliments des plus incroyables... Je lui parle de sa bite comme pas possible, le bien que cela me procure est mise en mot... C'est limite si au moment de l'orgasme je ne lui hurle pas un "Je t'aime". Dans tous les cas, je n'ai pas besoin de le dire, pour sentir mon partenaire troublé, et convaincu que je suis folle éprise de lui à la fin. C'est assez gênant, j'avoue. Encore plus lorsqu'on est de simple amant. S'il me fallait faire un parallèlle, je ferais le même par rapport a mon ressenti lorsque je découvre une nouvelle table... Je suis une gourmande, donc lorsque je suis conquise par la cuisisne du chef, je suis prise par une folle envie de "l'embrasser avec gourmandise", l'explosion de mes papilles est aussi détonnant que celle de ma chatte.  Le plaisir me rend folle. J'ai besoin de dire mon plaisir, de l'exprimer par le toucher, le regard... De mettre sur un piédestale mon faiseur de plaisir. Puis je deviens accro.

Aussi, lorsque James me sous-entendais un trio, mon premier reflexe fut de dire non. Non, pas parce que cela ne me tentait pas, mais non, parce que je ne saurais faire. Puis un jour, je lui ai dis "ne pas savoir baiser"... Je sais fort bien qu'il n'a pas saisi le sens de mes mots... Il me pense romantique, rêveuse, ne baisant jamais sans sentiments... Pourtant le drame... C'est que le sexe me rend folle dingue... Une belle enjambée a des conséquences effroyables sur moi, j'en redemande encore et encore. Je n'ose imaginer sa surprise lorsqu'il m'entendra dire à parfait inconnu au moment où ce dernier me pénétrera "Oh! Quelle est belle ta bite..."  un " j'aime ta bite." où me voir l'embrasser langoureusement, me blottir entre ces bras, lecher chaque parcelle de son corps, je n'ai aucune limite. Mon lâcher prise est extraodinaire, j'arrive à me surprendre. Personnellement, je n'aimerais pas assister à une telle scène.

J'ai beau l'exprimer, on ne peut s'en prémunir. Je perd toute notion de pudeur ou de reserve, ma langue ne se gêne pas de parcourrir chaque recoin, je prend ausi facilement un pied en bouche que ma langue se glisse son aucune honte entre une paire de fesses... De l'aliénation... Aliénation parce que les suites sont aussi éttonnantes, j'en deviens tellement addict et si fidèle que mon amant peut tout me demander, de la soumise à la dominatrice, toutes ses perversions deviennent possibles, c'est encore mieux, plus excitant pour moi.

Je m'aliène sans doute parce que dans le fond... J'aime simplement le sexe, je l'aime tellement que j'en perds la tête. L'idéal serait donc que je soummette mes hommes à mon seul plaisir...

Que je reprenne le dessus!

20 septembre 2012

Aussi puissant que la C***


"On ne sort pas d'une addiction, on la contrôle" Extrait de "Notre cerveau est d'un drogué" Eric Loonis.

Difficile de nous séparer sur la simple volonté de notre esprit de nos habitudes de vie... Le mois de septembre, était ce mois où je me languissais de revoir James, je m'excitais dès la fin des vacances de nos retrouvailles... Nous  faisions nos rentrées... Il y avait avant tout la rentrée des travailleurs assidus et passionnés, puis celle des parents aimants et attentionnés... Enfin celle des amants torrides. 
Cette année, la rentrée s'annonçait différente. Il n'y aurait pas de retrouvailles torrides...

Du moins avant que je ne sois emprise d'un "craving". 
Cet état est redoutable, j'avais beau me tourner et me retourner, me caresser encore et encore il me fallait absolument cette explosion d'orgasmes dans ses bras... Addict j'étais, sevrée je me pensais. Et si c'était "ma petite bonne addiction équilibrée"? Ne poussant pas plus ma réflexion, je me saisi de mon téléphone, dans ces moments là  tout est  dit au son de ma voix...J'avais craquée...Je l'imaginais souriant au bout du fil, il s'en doutait, il s'en est toujours douté...

Pour que mon shoot plaisir soit aussi intense que je le rêvais, j'ai choisi comme à mes habitudes le même distributeur lieu... Rue de la pompe. Je voulais le la même fournisseur chambre 9 où mon dealer amant viendrait m'apporter l'extase à laquelle j'aspirais.
Lorsqu'il est apparu, j'avais une folle envie de l'inspirer lui arracher ses vêtements, de baiser sa bouche, de défaire sa braguette et de le sentir bien dur dans ma bouche... Mais non, je me suis contentée de le baiser du regard, de laisser le désir grandir en moi... Ce ne fut pas la chambre 9, mais la 5 avec son jacuzzi mais peu importe... Mon envie était-elle que lui seul comptait... J'allais le sentir, le goûter, l'inspirer, le toucher... Le baiser.

Je pensais le baiser, lui avait sans doute envie de me faire savoir qu'il m'était indispensable... Lorsqu'il me prit dans ces bras, je me suis littéralement offerte profitant du frisson que m'apportait ses caresses, ses baisers... Allongée sur le dos, je fermais les yeux, me laissant transporter par les doux baiser qu'il posait sur mes jambes, lorsqu'il parvint entre mes jambes que sa langue s’immisçait entre mes lèvres intimes, je m'accrochais à sa tête... Les caresses de sa langue sur ma chatte étaient puissamment délicieux, aussi puissant que le moment où sa bite me pénétrait, ses mains sur ses fesses, je pouvais sentir chaque centimètre de son sexe se perdre en moi, j"aime ce moment, je jouissais blottis contre son corps...

Ma chatte devenue sensible, je me retirais doucement de lui, roulais sur le côté, je le sentis se rapprocher sa bite raide collée contre mes fesses, je me mis sur le ventre, je décollais mon bassin pour lui offrir mes fesses, des fesses qu'il baisa de sa bouche, lécha, son doigt tentait délicatement de s'insérer entre mes fesses...Le temps avait tellement passé que j'appréhendais ce moment... Les caresses de sa langue me détendaient peu à peu... Puis sa bite remplaça son doigt, fesses offertes, je m'accrochais à mon oreiller, il me pénétrait très lentement, pour me détendre un peu plus, son corps vint me couvrir, mes mains cramponnées aux siennes, lui, murmurant au creux de mon oreille, il réussit à me détendre complètement... Passé les quelques secondes douloureuses de la pénétration, cette chaleur brulante laissait place au plaisir de la sodomie... Nos mains se séparèrent, les siennes s'accrochaient à mes reins, les miennes à ses jambes comme pour le maintenir là... Je ne pu m'empêcher de lui dire combien ce plaisir m'avait manqué, combien j'aimais sentir son sexe serré entre mes fesses, il allait et venait de plus en plus profondément, c'était bon, très bon de sentir sa bite se durcir de plus en plus à mesure de ses allers-retours jusqu'au moment où son cri fit basculer le poids de son corps sur le mien, il m'enserrait fortement entre ses bras... Il jouit. Je jouissais encore une fois...



5 septembre 2012

En un Mot...

Débordée.



26 août 2012

D'humeur...


13 août 2012

De L'or Dans Ma Petite Culotte...

Dernièrement sur le site Roomantic, j'ai fais une belle trouvaille... J'ai découvert qu'il était possible de mettre en vente ses petites culottes usagées. Moi qui ai toujours fantasmé à l'idée d'offrir mes petites culottes, je venais de voir dans ce témoignage l'aboutissement de mon fantasme... J'imaginais déjà cet inconnu, reniflant ma petite culotte avec une érection du feu Dieu... Je le percevais, branlant sa queue et souillant ma culotte de son foutre*...Rien que d'y penser, je remplissais la petite culotte que je portais...C'était agréable. 
Comme le souligne le témoignage, le but premier n'est certainement pas de se faire de l'argent, mais de prendre du plaisir... Aussi je me lançais dans de grand projet, me voyant à la tête d'un collectif où chaque bloggeuse s'engagerait à porter une petite culotte quelques heures, mise en vente par la suite et dont tous les fonds récoltés sont reversés au Sidaction. Je souriais fière de moi, fière de pouvoir joindre mon plaisir à l'utile...
Puis, forcément comme dans tous projets il est intéressant d'évaluer les inconvénients... Et pour premier inconvénient,  j’entre-perçu de ce vieux marabout rencontré de temps en temps à Barbès, je vis ses yeux perçants m'hurlant "Sacrilège, tu vas te faire marabouter et tout quitter pour un parfait inconnu" Sapristi!!! 
Mais, immédiatement, je me suis ressaisis, ma raison reprit le dessus... "Non, mais voyons Vellini!!" Et ma culotte s'est trempée de nouveau... Quoi de plus excitant que savoir qu'un homme apprécie votre odeur intime. Si excitant que je caressais ma chatte sous le fin tissu pour mieux l'humidifier... 
Et là sursaut... Deuxième inconvénient plus "scientifique"... Et si cet inconnu décidait de me cloner*? "Mais voyons Vellini... Il faut vraiment que ta cyprine soit enivrante!"

Au final, je n'ai vu que des bénéfices. Maintenant, faut-il encore qu'un homme veuille de ma petite culotte. 

 Alors?!
(C'est vrai, porté c'est mieux...)




*C'est un peu plus complexe, le but étant de ne pas la laver, ma petite culotte risque de devenir un vrai carton.
*Quoi?? Pourquoi pas... Enivrante est ma cyprine. ^^

15 juillet 2012

Et Si Nous Osions?

(Remontons le temps... Réédition.)

Et si cet automne, je vous adressais un mail, un mail dans lequel je noterais, une adresse: Villa Caroline, rue de la pompe. Une heure: 20h.
Vous devrez me rejoindre, sans un mot, sans une explication, et vous offrir à moi. Je vous serais offerte et vous serez mien. Lentement au rythme de la nuit nous explorerons chacun de nos désirs inassouvis.
Je serais votre gourmande, votre sensuelle, votre soumise, votre insoumise, mais aussi votre dominatrice.
Soit voyeuse, soit exhibitionniste.
Soit amante, soit catin.
Soit partageuse, soit égoïste.
Avec ma langue, je me ferais experte de chaque parcelle de votre corps.
Je vous aimerai toute une nuit, rien qu'une seule... Puis à l'aube, nos routes se sépareront sans un mot.

Oseriez-vous? Oui, vous! Oseriez-vous?


10 juillet 2012

Le Sexe, la Sexualité et Moi...

Durant mon enfance j'ai fais le catéchisme, j'ai lu la bible comme on pourrait lire un roman, pointant certaines contradictions, je n'ai cessé d'emmerder les prêtres qui nous dispensaient "la bonne parole". Belliqueuse j'étais... Et pourtant j'étais celle que l'on désignait pour faire la première ou deuxième lecture des textes le dimanche, ma petite voix frêle, la gravité et la douceur qui sortait tour à tour de ma voix transportait le monde... Il se disait habité par un "esprit saint".
C'est sans doute à ce moment là que j'ai compris que ce que pouvait percevoir les autres était parfois très éloigné de la vérité. J'étais bien fière de mes lectures, curieusement j'arrivais à m'entendre lire, et j'aimais fort le son de ma voix porté en écho, mais une fois le texte lu, je m'ennuyais comme pas possible... J'avais du mal à saisir les contradictions qui constituent l'humain, je voyais quelques personnes s'agenouiller et prier Dieu comme pas possible, puis une fois la messe terminée, ils étaient comme habités par un esprit malfaisant. De cette époque, je n'ai garder que les lectures d'Ecclésiaste... Me limitant à quelques début de phrases. Aussi, quitte à m'ennuyer, je me recentrais sur moi et mes envies, l'église paraissait à mes yeux comme un lieux d’érotisme absolu...Tant de fois mon entrejambe a frémit, tant de fois j'étais à la limite de remplir l'immensité des lieux par un orgasme.

Il y a peu Ernst me faisait découvrir les nouvelles de Marie Boman... Il prit le temps de me lire"Noces" à mesure que je l'écoutais, je réalisais que non seulement j'aurais pu me décrire avec les mêmes mots qu'employait  la protagoniste mais en plus le texte érotique dépeint  était de ceux qui me font vibrer. Il faut croire que les interdits font ma libido.

J'aime le sexe, ce n'est  plus un secret... Mais pas le sexe vendu à toutes les sauces. Dans mon esprit je fais une vraie différence entre le "sexe" et la "sexualité" je dirais que j'aime le sexe avant d'aimer la sexualité.. J'aime le sexe comme on pourrait dire j'aime la bite. J'aime cette partie de l'homme, et la rencontre avec le phallus une fois la parade du jeu de séduction passée est un moment fort angoissant pour moi... Parce qu'en réalité si je n'ai le coup de cœur pour le sexe d'un homme, rien ne pourra être. C'est complètement superficiel, je sais, mais c'est ainsi, le savoir faire n'arrive qu'une fois l'allure de sa bite m'ait conquise. Il me faut au delà de me sentir bien avec un homme aimer sa bite. Aimer sa bite pour la feller avec gourmandise, pour la caresser avec désir... Pour sentir mon entrejambe frémir lorsqu'elle apparait.

Puis, une fois la rencontre faite, ma sexualité se développe, je ne pense pas être la même amante avec tous les hommes, il va de soi que je reste très expressive, gourmande... Mais l'alchimie qui se créer entre deux individus est unique... Lorsque je baise avec James, je baise avec lui, je reste persuadée de ne retrouver ce que je partage avec lui chez un autre homme, c'est merveilleux, incomparable... Parce que c'est lui, c'est nous... Et si je venais à m’abandonner dans les bras d'un autre, le moment sera également unique, différent, et terriblement bon.  Aucun des hommes que j'ai aimé n'a supplanté un autre, ils étaient tous différents, si particulier qu'à chaque histoire j'avais l'impression de me redécouvrir, de redécouvrir le sexe, la sexualité. C'est certain j'ai fais ou découvert  plus de chose avec certain et pas avec d'autres, c'est ce qui fait leur unicité.

Si l'on part du principe qu'un sexe est un sexe... Alors ce qui fait que mon plaisir soit au summun , c'est tout le jeu érotique qui agrémente ma sexualité...Mon virtuel à plus au moins saisi mes envies, au delà de fondre littéralement face à l'image de sa bite agrandit sur mon écran, j'aime son côté léger à savoir m'émoustiller...Quelques fois nous nous retrouvons à la limite de la morale... Mais que c'est excitant. Il arrive même a me surprendre dans mes plaisirs. Si l'on m'avait dit qu'un jour la possessive que je suis, jouirais encore et encore à entendre un homme donner du plaisir à une autre, je vous aurais ri au nez. Son audace, sa perversion, son exhibitionnisme à rempli ma culotte des jours durant 

Pour que mon plaisir soit, j'ai besoin d'érotiser ma sexualité, j'aurais un orgasme plus détonnant dans un parking que dans mon appartement... Je ferai l'amour plus passionnément sur la table de ma cuisine que dans mon lit même si cela semble plus tortueux... Je me jetterai plus facilement sur la braguette de mon homme au seuil de la porte que sous une couette... Il pourra me regarder droit dans les yeux et traiter de salope... Salope, je serais. Je suis une cérébrale... Atypique. Lorsque ma sexualité va, tout va... Le connard le plus profond devient mon homme brillant, intelligent, beau... Il faut croire plus ils sont cons, plus ils sont bons amants.

La femme, le corps de la femme ou simplement la sexualité entre deux femmes  fait partie de mes exceptions, j'aime de tas de choses dans la sexualité, cependant faire l'amour à une femme ne me tente pas plus que ça... L'idée ne m'excite pas... Cependant tenter d'exciter un homme en me dandinant avec une autre... Oui, pourquoi pas. Mais dans mon fantasme, la suite voudrait que je m'installe et que je les regarde faire l'amour. J'aimerai voir et entendre le plaisir de la femme... J'aimerais les voir tous deux prendre grand plaisir, les voir jouir... Je ne toucherais pas, je ne participerais pas. Non, je me branlerais.

L'homme, le corps d'un homme, la sexualité entre deux hommes. J'adhère. J'en rêve, je veux. Pour moi qui n'aime pas les films pornos, quitte à en regarde un, ce serait celui de deux hommes ensemble. Rien que de l'écrire, j'en suis toute excitée. Je baiserais volontiers, sans caprice, sans aucune honte entre deux hommes qui pourront "s'aimer"... C'est limite, si muni d'un god ceinture, je ne les baiserais pas moi-même tour à tour. Je veux voir un homme sucer avec moi, je veux le voir prendre du plaisir à être pénétrer, je veux jouir entre eux.

Ensuite, il y a toutes les variantes virtuelles qui me titillent... Jouir au téléphone. Jouir face à ma web cam ou mieux assister une masturbe party. Un homme qui se branle est littéralement beau.

Lorsque j'analyse ma sexualité... Je ne peux m'empêcher de penser...

     En enfer, c'est certain, je ferais des partouzes.

22 juin 2012

Comme une envie...

 
De sexe.
De sexe tendre, brut, gourmand, sensuel...Peu importe le nom que l'on y associera, j'ai envie de prendre du plaisir... J'ai envie qu'un homme me donne du plaisir sans que je n'ai à le chevaucher, à le sucer, à le caresser. J'ai envie de m’abandonner dans un lit et de le laisser faire. Qu'il prenne du plaisir à m'en donner sans attendre que je lui en donne... 
J'ai envie de sexe paresseux.

6 juin 2012

Paul...

Il peine à retrouver son souffle, il vient de jouir entre mes jambes, continuant  à me serrer fort dans ses bras, il me caresse, m'embrasse... Puis dans un souffle court, il  murmure au creux de mon oreille "Merci" et pose un baiser à la base de mon coup... Surprise, je souris et comme s'il me fallait dire quelque chose, je réponds: "Je t'en prie...". Le moment me paraît incongru, ma réponse stupide et lui d'ailleurs pourquoi me remercie t-il? Une heure auparavant, je lui avais presque sauté dessus, c'était sans doute à moi de le remercier... Mais pourquoi le remercier? Pourquoi nous remercier nous venons de faire une entorse à notre contrat, à notre amitié.
...
La veille, Paul m'avait invité à dîner avec lui...   
"Sors un peu de tes bouquins, tu vas finir par te rendre malade..." m'avait-il dit...
Il n'avait pas tort, cela faisait plusieurs jours que j'étais enfermée dans cette petite pièce. Ainsi le lendemain, je prenais un dessert et j'arrivais chez lui... Nous nous connaissions depuis presque un an, rencontré au hasard d'un voyage, après avoir essayé de me séduire, il s'était résolu à accepter la relation amicale que je lui offrais. Ce joli brun avait tout pour me plaire mais il avait pour seul grand défaut son célibat... Un peu trop libre pour moi.  
Comme à nos habitudes, après le diner, lumière éteinte nous nous affalions de chaque côté de son canapé face à un bon film, ce jour là, il fait un peu frais, je grelotte, il sort une couette, et nous nous engouffrons, l'un à coté de l'autre, puis il me prend contre lui et me frictionne vigoureusement pour me réchauffer, je reste entre ses bras, le film se déroule, ses frictions deviennent de petites caresses... Je ne dis rien, cela me paraît normal, ou me réconforte... Ma tête sur son torse, il baise mon front... Une fois, une seconde fois... Mon corps réagit.. Pas comme, il le faudrait... Je sens mon entrejambe palpiter, je me réajuste entre ses bras comme pour chasser cette envie qui pointe, il continue à caresser ma nuque, je lève la tête pour lui demander d'arrêter et je retrouve ma bouche collée au sien. 
Dans une atmosphère électrique, notre baiser devient rapide, nos mains se caressent à une vitesse insolente, comme s'il nous fallait faire vite, très vite avant que la raison ne nous rattrape... Bouches accolées nous nous déshabillons, il embrasse mes seins, mon corps et sa tête se retrouve entre mes jambes... Je pousse un grand cri... Un très grand cri... Je ne sais ce qu'il fait exactement à ma chatte mais c'est bon, très bon! Il semble me sucer et non me lécher... Je sens que je risque de jouir s'il continue ainsi, je le rattrape l'embrasse à nouveau, nous sommes très à l'étroit sur ce canapé, je me mets à quatre pattes, j'ouvre sa braguette... Et je découvre, un très beau pénis bandant. Ma surprise est telle que je pousse un "Ohhh!". Paul à été gâté par la nature... Je lui saute littéralement dessus, à califourchon, doucement, il me pénètre délicatement... C'est chaud, brulant et grandiosement bon... Je gesticule sur sa bite, ses mains sur mes fesses, je baise sa queue. Il me fait signe de descendre, me retourne sur le canapé et me prend en levrette, il y va profondément... Je l'entends répéter "Oh! C'est bon, c'est bon..." Je ne peux me retenir longtemps, je lui annonce que je vais jouir, il accélère le mouvement et je jouis en étouffant mes cris dans le canapé... Délicatement, il se retire, me pose dos à même le sol, et me pénètre, le poids de son corps sur le mien... Je le serre fort pour l'encourager... Il jouit. Son cœur bat très fort... Je sens mon entrejambe dégoulinant... J'ai comme une envie de continuer... Je contracte ma chatte autour de sa bite... Souffle court... Il murmure... "Merci".
On sonne à sa porte... Il continue à m'embrasser, à m’enlacer... On sonne à nouveau, en insistant bien longtemps... Puis on tambourine à la porte... - Vellini, Vellini... 
Je sursaute. Je reconnais la voix de Paul à ma porte. Il vient de me réveiller de ma sieste, ce soir c'est chez moi que l'on dîne. Cœur battant, souffle court, corps et jambes humides... J'ouvre. 
- ça va? Ohhh! Tu as fais un cauchemar? Tu es toute humide...
Que lui dire? 
Oui, un affreux cauchemar. 

30 mai 2012

Confidence.

Aurait-il compris si je lui avais dis que j'avais envie qu'il me prenne au téléphone, qu'à mesure qu'il parlait, mes seins se dressaient, que ma chatte s'humidifiait, que je l'imaginais face à moi m'offrant son sexe dur. Que je l'imaginais tournoyant sa langue autour de mes seins, que sa main fouillait ma culotte. Que je le voyais me plaquant contre mur, me baisant avec gourmandise. Que ses mots ne devenaient que murmures...Que j'avais envie de lui.
Que j'avais envie d'entendre son souffle court au bout du fil, d'entendre les caresses de sa main sur sa bite, de l'entendre m'ordonner de m'enfoncer les doigts dans ma chatte, l'entendre m'ordonner de me caresser  très fort... J'avais envie de lui offrir mon plaisir au bout du fil.
Serait-il surpris de savoir que silencieusement je me caressais alors qu'il me parlait. Que j'ai attendu qu'il raccroche pour me laisser aller. J'ai décollé mes fesses de la chaise, posée ma main sur la chaise, relevé deux doigts, et mes fesses s'y sont reposées... J'ai baisé mes doigts, comme si je baisais son sexe. 
C'était bon.


17 mai 2012

Le Rotary


De l’hôtel Rotary, dont j'ai de nombreuses fois entendu parler, je ne garderais que le doux souvenir de sa tête entre mes jambes... Il y avait de la gourmandise et de la générosité. Ma chatte n'a jamais été autant comblée.  
Certes nous n'avions pas demandé la chambre chinoise ou autre fantaisie, est-il que cet escalier étroit et sombre a failli m'ôter toute envie, encore heureux qu'il ait su me garder en éveil. A chaque marche ses mains enfouis sous ma robe, caressaient mes fesses... 
Après que nous prîmes possession des lieux, il y eut quelque chose d'excitant à entendre le lit grincer... Plus il grinçait, plus je donnais de la voix, plus je donnais de la voix,  plus ses coups de reins étaient profonds. Un instant, je me suis inquiétée sur le risque de casser le lit... Puis un brin pervers, je me suis dis pourquoi pas...Cassons le lit.  Alors je lui ais offert ma croupe, il y est allé encore plus fort... On pouvait entendre les clapotis de ma chatte, mes gémissements ainsi que ses mots cochons s’entremêler au rythme du lit.
Nous avions jouis si fort, que j'en ai eu honte.

8 mai 2012

Mon Gigolo.

Je vous ai déjà confié ma fascination pour les courtisanes, j'aime les putains d'antan... Ces courtisanes qui alliaient plaisir et séduction, ces putains qui malgré un nombre considérable de clients rendaient chaque homme unique. Si unique que partager leur couche incitaient ces hommes au delà de leur propre plaisir à leur donner du plaisir... Le rôle d'amante vous fait frôler ce plaisir... Cependant un jour, une autre envie m'envahit... Une envie d'être la cliente, et qu'il soit là uniquement pour mon plaisir... Inverser les rôles est assez simple, mais je doutais du résultat, si j'avais su être sa courtisane, saurait-il être mon gigolo? Nous nous connaissions si bien qu'un simple jeu de rôle ne pouvait assouvir mon désir.

J'avais envie d'un vrai gigolo... Un homme à qui je glisserais quelques billets avant de  disparaître...

Le bruit des pas qui me portait à ce lieu de griserie me procurait un  plaisir immense, à chaque pas, mes cuisses se frottaient, à chaque frottement, les lèvres de ma chatte se caressaient , et à chaque caresse je sentais s'écouler le liquide chaud de mon excitation... 
C'était plaisant, j'allais être face à mon serviteur avec cette odeur de chatte humide de désir... Qu'allait-il pouvoir me faire d'autre si  au  seuil de sa  porte je jouissais... Allait-il pouvoir percevoir toute ma gourmandise, tous mes vœux, tous mes désirs... Allait t-il comprendre que je rêvais d'avoir sa tête entre mes jambes, sa langue accolée à  ma chatte, tandis que mes yeux se fermeront  dans les nuages d'une cigarette?  Le parfait extase... J'allais être une des ces clientes exigeantes et insatiables.  En tentant de contenir  cette irrépressible envie de jouissance...
Je ne pouvais m'empêcher de le fantasmer grand, élégant et fière... Portant un léger parfum qui m'enivrerai... Je ne pouvais m'empêcher d'imaginer la minute où sa bite se frayerait un passage entre mes fesses en l'entendant me murmurer des mots indécents, il le pouvait, il me devait ses mots crus... C'était son job, me faire vivre tout ce dont j'avais envie... 
Je voulais lui donner ma chatte à manger, à baiser, à faire jouir... Toutes ces pensées des plus pervers les unes des autres étaient loin de me calmer, ma culotte ne pouvait plus contenir les effluves de mon sexe, les sécrétions se répondaient maintenant sur mes cuisses. J'eus l'idée de calmer mes ardeurs,  il me fallait ne pas garder un orgasme à fleur de peau... Aussi lorsque  les portes  de l'ascenseur qui me conduisait à sa chambre se ferma, tête appuyée contre la cloison, je relevais ma robe, écartais mes jambes, tirais ma culotte sur le côté et je glissais un doigt dans ma chatte, vigoureusement j'allais et venais, je n'avais que quelques secondes pour calmer cette envie... Ma main se remplissait mais aucune jouissance... Ce n'était guère ce doigt qui allait me satisfaire, je réalisais que je ne jouirais sans doute pas à la vue de cette homme. J'étais pleine de désir de toutes les minutes qui allaient suivre... De tous les plaisirs qu'il allait me faire vivre.  Je sorti mon doigt rempli de sécrétion... Vite , très vite je le léchais, replaçais ma culotte, baissais ma robe et quittais l'ascenseur.
Quelques coups à sa porte... Droite, j'attendais que la porte s'ouvre... 


Photo de Porn for ladies

4 mai 2012

Tantrique

Nous sommes le 4 mai 2012, il doit être environ 12h30, à cette heure un homme vient de recevoir une énorme composition florale, des fleurs que j'ai choisi, des fleurs que j'aime, une composition que j'ai faite pour lui... Je l'imagine frisant le ridicule et riant aux éclats... Une première pour moi, une première qui aussi simple qu'elle puisse être est à mon sens rempli de profondeur. 

Des fleurs pour lui dire merci. Merci de m'avoir offert trente heures de pur bonheur...Des heures qui se sont égrainées trop vite... Je n'ai vu le temps passé... Trente heures où j'ai eu une succession d'orgasmes époustouflants.
Encore, merci à Vous.




La semaine dernière, je faisais plus cinq heures de route pour aller à la rencontre d'un blogueur, un blogueur que je ne connaissais que très peu... Voire pas du tout. "Une folie!" me suis-je répétée les quelques semaines précédant ce voyage, mais une folie qu'il me plaisait à vivre.
Lorsque certains se lancent dans des chemins les plus sinueux à la recherche du plaisir, moi, je me lançais dans le Tantrisme. Un tantra différent, non pas celui où face à l'autre, corps nus on se désire, on s'aime, on jouit sans jamais que les corps fusionnent. Non, tous deux avions revisité le principe. Il m’accueillait dans sa ville, planifiait mon voyage entièrement, de ma chambre d'hôtel, en passant par mes repas, ainsi que tous les lieux et chemins que j'allais emprunter... Jusqu'au déroulement de la seule nuit que je passais si près de lui sans que nous puissions nous connaître.
Je me suis donc rendu dans une ville que je ne connaissais que de nom... 
Quelques mails échangés, quelques textes lus. Puis une petite attention de sa part, une minuscule si vous saviez... Et l'envie à mon tour de lui faire plaisir... Ainsi, il y a quelques mois timidement je luis adressais un  mail concluant par ces quelques mots... 
"j'ai envie de faire quelque chose d'audacieux, de particulier... Venir vous faire un clin d’œil dans votre ville."   
On pourrait voir dans ces mots rien d'extraordinaire, à la différence que, lorsqu'on sait que je suis une vraie sauvage de pure souche, que je refuse de rencontrer qui que soit via mon blog, en plus de ne point connaître sa ville, ni même de savoir où elle était située, et surtout de n'avoir eu la curiosité de chercher avant de lui  faire la proposition, c'est énorme! Et lui... Lui, comment dire... Je n'avais aucuns repères, aucunes photos, même pas celui de son phallus* endormie d'un petit doigt. Rien. Aucun trait, aucun son de voix, le vide absolu, l'inconnu. 
C'est ainsi que le 25 avril dernier, j'arrivais dans une ville encerclée de montagnes, je n'avais par ailleurs vu de spectacle aussi envoûtant, dans un premier temps j'eus le sentiment de mettre fait prisonnière, d'étouffer... Puis lorsque je me suis retrouvée là-haut sur les hauteurs de la ville, j'ai apprécié ma liberté d'être venue à lui... Dans ma main j'avais pour seul guide, le carnet de route qu'il avait prit le temps d'établir... J'ai flâné dans les rues de cette nouvelle ville, j'ai découvert des lieux idylliques, visité des musées plus beaux les uns des autres, j'ai rencontré un peintre Kirchner... Assisté à un spectacle rempli d'émotions, un seul être, plusieurs vies, plusieurs âmes rythmées par différents son...  J'ai dîné dans une petite rue piétonne, éclatant de rire devant les blagues plus que tendancieuse de deux prêtres... Puis ma nuit est arrivée, notre nuit... J'allais enfin le découvrir...Une nuit que j’espérais... Qu'avait-il prévu?!

...
  
Ce soir là, il s'est invité dans mon lit... il a instauré son rituel, imposé ses désirs... Il m'a fait découvrir le frissons de ses baisers, les caresses de ses mains...

Ce soir nue sous mes draps, j'avais espéré qu'il me rejoigne... Lentement, très lentement lorsqu'il a osé... Il a posé ses lèvres sur mon corps nu et l'a parcouru...

Il a baisé ma nuque, mes épaules, le creux de ses reins puis a passé sa langue sur mes fesses... A mesure de ses caresses, un souffle chaud se répandait sur mon corps, un souffle chaud qui remplissait mon sexe... Je me cambrais, écartais mes jambes puis décollais mon corps du lit pour lui offrir ma chatte... Lorsqu'il y est arrivé, sa bouche a frôlé mon clitoris, il a humé mes profondeurs... Il a aimé cette odeur humide de désir imminent, il a aimé être si proche et pourtant il m'a refusé la caresse attendue... Du mieux que j'ai pu, je tentais de rapprocher mes lèvres intimes à ses lèvres d'homme, mais seul son souffle chaud et grandissant se répandait sur mon corps, il parcourait déjà mes jambes... Mon sexe restait offert... 

J'aurais aimé être prise, j'aurais aimé sentir ses mains sur reins, sentir l'enfouissement de sa queue dans ma chatte... Être prisonnière de ses coups de reins, mais il avait décidé autrement... Avec sa langue il passa entre mes lèvres, remonta entre ses fesses, longea mon dos, et face à moi il m'offrait sa queue... J'ai léché, sucé, contourné, avalé, caressé... De mes allées et venues... Il se raidissait encore et encore, si fort qu'il daigna enfin me pénétrer avec ses doigts... Il allait vite, fort... Sa main se remplit très vite de mes sécrétions... Ma main se remplit de mes sécrétions...


Ce soir, il ne me baisa point, seuls mes doigts insufflés par ces mots m'ont mené au plaisir.
  

"Pour être hanté, nul besoin de chambre, nul besoin de maison, le cerveau regorge de corridors plus tortueux les uns que les autres..." Emily Dickinson.

 (Extrait de "Nos nuits" publié le 30 août 2010)



*J'ai toujours pensé que la photo d'un phallus fier pouvait me transcender.
 L’imagination est plus importante que la connaissance. Car la connaissance est limitée, tandis que l’imagination englobe le monde entier, stimule le progrès, suscite l’évolution. Albert Einstein
L’imagination est plus importante que la connaissance. Car la connaissance est limitée, tandis que l’imagination englobe le monde entier, stimule le progrès, suscite l’évolution. Albert Einstein

30 avril 2012

Capricieuse?!

 - Arrêtes tes caprices!
Lorsqu'on a une trentaine d'années et qu'on entend une telle remarque, on se pose bien des questions.
Moi capricieuse...  Est-ce un caprice que de lui dire que j'ai envie de lui?
 C'est vrai, bien souvent c'est dans l'instant que j'ai envie de lui, mais je ne vois pas comment je pourrais lui dire... "Petit cœur, il se pourrait que l'envie de ta bite se fasse sentir dans 5-6 jours". 
Non, cela n'aura de sens, même si j'aime cette idée de retrouvailles à venir, mais qu'il est bon de sentir le désir me surprendre et d'être baisé immédiatement. 
J'aimerais pouvoir ainsi sauter dans ma voiture, pointer à son bureau et le happer entre deux rendez-vous, dans un café ou dans un parking, sous une cage d'escalier, peu importe où, juste quelques minutes, des minutes où il s'enfoncera en moi et me baisera rapidement. 
Au pire satisfaire mon envie en le prenant simplement dans ma bouche... Glisser sous son bureau, baisser son pantalon et recevoir son foutre sur ma langue. Oui, j'aimerais qu'il assouvisse mon envie à la hâte. Que je sois sa petite branlette de cinq minutes.
J'ai envie de surprise, d'une baise à la va vite, j'ai envie d'être plaquée contre mur et de me rhabiller alors qu'il sera déjà parti, j'ai envie de jouir étouffée par sa main sur ma bouche.  Alors qu'il me murmura "Chut, tais-toi!"
Moi, capricieuse, voyons! Quelle injure! Aussi lorsque j'entends cette phrase, je rumine, je dispute, je l'enrage, je l'enrage tellement qu'il saute dans sa voiture pour venir me régler mon compte. Je tremble, je prends peur... Au final, j'aime comme il le règle.
-Tu la veux? Viens-là, tu vas me sentir!
Moi, capricieuse? Non, juste une folle qu'il me possède.
 

20 avril 2012

Parce Que Je Suis...

La nuit dernière j'ai fais un drôle de rêve, je me suis vu dans une chambre d'hôtel, le cœur battant me préparant à recevoir un homme, un homme que je connaissais très peu, mais il était plaisant de l'attendre...
Tout en laissant remplir mon bain, je dépliais sur le lit ma superbe lingerie, du rouge sous un long déshabillé. Le bain prit, j'enduisais mon corps d'une petite huile parfumée, puis  délicatement je commençais à enfiler ma petite tenue. Mon soutien gorge s'alliait parfaitement avec la petite perle que je porte à mon cou, elle se posait élégamment entre mes seins. Ma culotte épousait mes fesses, mon serre-taille porte-jarretelles affinait ma taille... Le reflet que me renvoyait le miroir me satisfaisait, j'étais ravissante... J'esquissais un sourire, heureuse d'imaginer mon pouvoir de séduction décuplé.  
Puis, je m'assis sur le bord du lit pour enfiler mes bas... Me relevais, accrochais les jarretelles, mes talons aux pieds , je me remis à  nouveau devant le miroir pour admirer le tout... Et là, catastrophe!!! Un de mes bas c'était effilé!  L'horreur!! C'était horrible, si horrible, que je me réveillais en sursaut, le cœur palpitant...Cette image de moi-même m'était insupportable. Mon monde s'était écroulé... Était-ce un présage?
A l'aube, je courrais du côté d’Haussmann, et là pour le coup, je ne prenais pas une paire de bas, mais une bonne dizaine... Je ne voulais pas vivre cette effroyable situation. Je ne voulais plus connaître cet état de stress monstrueux.
Vous souriez?? Ne souriez pas, ne vous moquez pas de mes "grands" soucis.
Ou peut-être que si, riez, moquez-vous de moi,  parce que dans le fond, il existe des situations bien plus graves, plus pénibles, plus urgentes que celle là, des situations qui minent, tuent, et brident notre libido, notre vie. Des situations qui ne sont pas toujours simples à résoudre dans l'immédiat, certes,  mais qui peuvent être "entendues". Et dans quelques jours, il nous ait donné la possibilité de nous faire entendre, pour toutes ces vraies situations, pensez à aller voter. Peu importe pour qui, c'est votre choix mais ne me laissez pas moi (et mes problèmes de bas) ou les autres décider pour vous.  

Dimanche aux urnes. 
Je vote, donc je suis.

17 avril 2012

D'humeur...

11 avril 2012

Concupiscents.

J'ai revu James.
J'aurais pu écrire évidemment! Ce n'était que la millième fois que nous nous séparions. Et pourtant cette dernière fois était bien différente... Vraiment différente. Je me suis levée un matin et j'ai ressenti pour la première fois un sentiment profond de culpabilité. Tout est arrivée par une petite phrase de sa part, je ne me souviens d'ailleurs comment elle est apparu dans notre discussion... Il me répondait... "Non, bien sûr, ce n'est pas grave, cela fait tout juste (X) années que  nous nous fréquentons." . J'aurais pu banaliser la phrase et me dire... "Bah, plusieurs années, plusieurs années, certes, mais nous nous sommes vus que quelques fois..." Mais non...
Ses longues années  je l'ai fréquenté assidûment. Les seuls grands moments où nous nous sommes peu vus sont les longues semaines de vacances d'été. C'est dire! Ce n'est guère l'amour fou entre nous (par pudeur, je n'aime pas penser à lui en ces termes) mais le sexe fou. J'aime me perdre dans ses bras, j'aime quand il me baisamour, j'aime cette invitation à la sensualité, à la découverte de mon corps qu'il n'a cessé de cultiver, j'aime son audace. Ce matin là, j'ai réalisé que je m'épanouissais dans un contexte que j'affectionnais plus que tout mais que j'avais égoïstement choisi. J'étais dans un confort, un confort que j'entretenais parce que seule moi m'y sentais bien... Alors j'ai voulu respecter la norme.

Hélas, mon désir pour lui à prit le pas sur ma culpabilité. Il m'a manqué. Nos rendez-vous me manquaient. Les années avaient passées, et j'éprouvais toujours cette excitation à me préparer pour lui, il  me le rendait bien, il bandait toujours aussi fort et dur lorsque j'apparaissais. Cette situation était celle où je me retrouvais le plus. Bien distincte, elle ne prenait pas le pas sur ma vie, bien au contraire, elle s'alliait parfaitement à ma vie. Avec lui, ma fascination pour les courtisanes prenait vie. J'étais sa Catin Puritaine.

À nouveau nous avons choisis sans l'ombre d'une hésitation la chambre 9* de la Villa Glamour. Pour ma lingerie ce fut le blanc, il aime me voir en blanc. À mesure que je me préparais, j'étais surexcitée comme si c'était une première fois, je maquillais et je fantasmais le moment à venir, plus je fantasmais, plus je sentais mon entrejambe se remplir, j'ai du retirer mon tanga pour ne point le tremper. Mon clitoris était si gonflé... Si bien que je me suis appuyée sur mon lavabo et je me suis laissée aller. J'ai glissé un doigt dans chatte, ressentir les sécrétions de ma chatte eurent l'effet d'une détonation. J'en ai jouis. 

Lorsque nous nous sommes retrouvés, en nous dirigeons vers l'hôtel, j'ai relevé légèrement ma petite robe, laissant apparaitre la limite de mes bas et porte jarretelles, sa main s'est posée sur mes jambes, il les caressées, puis s'est posée sur mon sexe, ma culotte était déjà bien humide.

Une fois la porte de la chambre fermée derrière nous, je n'avais envie que d'une chose, le prendre dans ma bouche... J'aime l'odeur de son sexe, j'aime sucer sa bite, j'aime entendre son premier souffle lorsque je le prends en bouche... Ce petit... "Oooh" est si délicieux. J'ai joué de sa bite de longues minutes.. Il s'est enfoncé plusieurs fois au fond de ma gorge... Puis à son tour, il m'a offert le plus joli des cunnilingus... Je l'avais tellement voulu, que j'ai jouis sur sa langue. Précoce, je suis. Nous venions de nous retrouver.

Je me suis allongée sur le ventre pour apprécier un peu plus les quelques secondes qui suivent l'orgasme, son corps a recouvert le mien, ses mains parcouraient mes jambes, caressaient mes fesses, puis il m'a masturbé, c'était bon, très bon, il secouait vigoureusement ma chatte, les clapotis de ma chatte se mêlait à mes gémissements... J'étais fin prête à le recevoir, nous avons échangé nos places, et j'ai chevauché lentement son sexe, si lentement que je bénéficiais par les frottements de mon clitoris sur son pubis d'un plaisir clitoridien et vaginal à la fois... C'était merveilleusement bon.

Lorsque je le sentis prêt, je me retirais et je le pris à nouveau dans ma bouche... Il branla  son sexe et jouis sur ma langue à son tour.

L'entendre tout en ressentant son liquide tiède se répandre sur ma langue m'avait manqué. 
 

*J'aime la vue de ces marches lorsqu'on ouvre la porte de cette chambre, c'est fort excitant de les gravir  puis de découvrir ce grand lit.

16 mars 2012

Le Tourbillon du Désir.

Je me souviens de notre première rencontre, un petit fil nous avait connecté, je lui avais fais un petit signe de la main puis elle venue frapper à ma porte, elle avait cet air innocent et ce doux parfum de franchise, dans les premières minutes de notre rencontre mon manque de tact l'a quelque peu bousculé... Elle, la romantique, moi la brute.
Tant de fois j'ai esquissé un sourire face à son enthousiasme, face à ses rêves... Tant de fois j'ai mis mes plates mains et non un doigt sur ces blessures, les premières minutes elle se taisait, pleurant sans doute en son for intérieur puis elle se redressait grande et fière. Elle pouvait paraître fragile, mais savait ô combien esquiver une chute. Elle était femme et forte, éblouissante et troublante.
Tout doucement elle est devenue l'objet de mes désirs. Si fort que je lui ait fait une proposition indécente, celle d'être mienne quelques heures, je voulais poser mes lèvres sur son corps de femme, mes mains sur sa cambrure... Je voulais l'entendre soupirer dans mes bras... Je rêvais de sa féminité dans mes bras. Je voulais aimer et désirer la femme qu'elle était.
Un petit hôtel, une chambre épurée... Elle était là grande et belle à m'attendre. 
L'atmosphère de cette chambre est lourde et légère à la fois. J'ai chaud et froid. Ma tête tourne légèrement. Mais pourquoi suis-je là dans mon ensemble de lingerie fétiche, si offerte à elle ? Pourquoi ai-je accepté ? Je me sens si vulnérable à présent. Paradoxalement et c'est inexplicable je me sens dans un total abandon.

Je suis seule à l'attendre. Lentement je me suis déshabillée et je me suis mise au milieu de la pièce. Gardant seulement mon ensemble en dentelle qui soulignait mes formes. Je me suis placée de telle sorte qu'elle allait me découvrir de dos. J'avais envie d'entendre ses pas, de sentir sa présence, sa respiration puis.... Ses mains sur mes hanches sans encore la voir.

Plus d'une fois, j'avais senti ses mains sur moi pour me calmer, m'apaiser, mais aussi me bousculer , me titiller, me bloquer puis me propulser... Mais cette fois -ci le contact était réel , il ne s'agissait plus de mots mais de caresses.

Au moment même où j'entends la porte s'ouvrir, nos sensibilités sensuelles et érotiques s'accordent.

Nous avions mis plus de temps qu'elles à le comprendre..

Merci à Elle de m'avoir donné la réplique.

14 mars 2012

Oh! Mon délicieux...Si je te chope!


27 février 2012

Dévorée.

Bouches accolées, nous déambulons en arrière vers la table à manger. Ses mains se glissent sous ma jupe, la relève puis me portent pour me poser sur le bord de la table. Elles déboutonnent mon chemisier, dégrafent mon soutien gorge... J'aime sentir ses mains lorsqu'elles se posent sur mes seins, j'aime la manière dont il les malaxe, les empoigne avant de passer sa langue autour des aréoles. Il les suce, les mordille, les lèche...
Il revient à nouveau sur mes hanches, du mieux que nous pouvons, gesticulant dans tous les sens, je l'aide à retirer ma culotte, sa main se pose sur mon sexe, un doigt frotte vivement sur mon clitoris, puis il se glisse en moi, je suis déjà bien humide... Je dégrafe à mon tour sa ceinture, j'ouvre sa braguette, son pantalon tombe à ses pieds, je l'entends gémir... Sa bite bien dessinée sous  le caleçon est dure, très dure. Ma main, se glisse dans son caleçon et je ressors un belle queue qui s'enfouit presque immédiatement en moi. 
Mes mains sur sa nuque nos corps serrés, ses mains sur mes reins, j'entends d'une voix forte et ferme... 
 -TCHUT! NE BOUGE PAS! 
Je me fige, mon cœur s'emballe, il peut sentir mes battements... Je ne veux surtout pas qu'il jouisse. Mon envie s'estompe également... 
Puis, dans un murmure, il reprend... 
-Détends-toi, ça va aller... 
Nous reprenons lentement nos caresses... Je quitte ses bras, et m'allonge sur la table, décolle un peu plus mes fesses de la table, mes jambes sur ses épaules...
Enfin, il peut pilonner à grand coup ma chatte. 

14 février 2012

...

27 janvier 2012

D'humeur...

25 janvier 2012

La page... Noire

Depuis quelques jours, j'ai de tas de petites idées de textes qui fourmillent dans ma tête mais je peine à trouver le bon bout pour les noter. Je suis obsédée par le calme  plat de mon entrejambe.
Je ne sais quel genre de rapport vous entreprenez avec votre libido mais moi, lorsqu'elle semble en berne, je m'angoisse... Dans la foulée, je pose de tas de diagnostic, dont le premier... "Suis-je déprimée"? Cette idée de déprime m'angoisse plus que tout... Ce mal est pervers et vicieux, il s'immisce, se colle à vous et vous pourrit la vie. Je l'ai vu tant de fois causer du tort aux autres si bien que je l'ai en horreur. Tellement en horreur que je me lance dans des tas d'expériences... Sexuelles de préférence. (Je suis une sorte de Bonobo qui règle tous ses conflits en s'offrant des orgasmes)
Pour la première étape, je m'installe confortablement dans mon lit en gardant simplement ma culotte, puis les yeux fermées, dans le calme de ma chambre, j'essaie de n'être qu'à l'écoute de mon corps, doucement, je caresse mes seins, je caresse mes cuisses en remontant vers mon entrejambe et sous le mont venus, je pose ma main sur ma chatte, j'appuie... La compression m'excite...  Presque instantanément mon souffle s'accélère en prévision du plaisir à venir, ce léger frémissement me fait sourire... Puis, rien... J'ai beau appuyer, tourner, tirer ma petite culotte entre mes lèvres ou glisser un doigt... Rien. L'envie n'y est pas.
Je ne me dégonfle pas, non, non... Pour la seconde tentative, je me lance sous la douche... Oui, un petit jet sur le clitoris à toujours un petit effet agréable, à chaque jet, je fantasme au foutre chaud de James arrosant ma chatte... Mes seins se dressent. Je ne sais pourquoi, cette idée de sa grande queue en grande lance, déversant avec puissance son sperme sur ma chatte en feu à le chic gonfler mon clitoris.  Et là non plus, rien... J'ai beau régler mon pommeau de douche passant les différents jets... Rien n'y fait.
Et lorsque rien ne fonctionne ainsi... Je pense à ma carte magique... Mon "harcelé". Lui, lorsque je pense à lui et surtout à son futur "Non, je n'ai pas envie", curieusement je m'excite.  Je fantasme à l'idée de le violer! L'attacher dans un lit et baiser son sexe... Me voilà donc souriante lancée dans la séduction... Catastrophe. C'est avec frayeur que j'ai vu aucun de mes sens ne réagir. Si la panne des messieurs ressemble à ça. Croyez-moi, mon angoisse prit des proportions énorme.
Il fallait donc que je l'accepte, mes deux dernières semaines avaient été difficiles, j'avais accumulé une grande fatigue, et sans doute mon morale était au plus bas.
C'est en demi-teinte, que j'allais retrouver James, j'enfilais mon petit tailleur pantalon de jeune femme sage, nous devrions simplement prendre un verre et discuter de choses importantes. Nous nous engouffrions dans ce parking où nous avions quelques fois baisé avec grand plaisir, mais là en était pas question... Curieusement, nous eûmes envie de rester dans sa voiture... De petites discussions innocentes... Puis au moment de repartir, en guise d'au revoir, il baisa mes seins, sortant mes seins de leur corbeille, ils les prit un à un dans sa bouche... Et ce fut une EXPLOSION dans ma culotte.

Non, je ne suis pas déprimée...Bon, disons que je peux encore jouir.

(Bon, maintenant, j'ai envie d'un rencard interdit!)

14 janvier 2012

D'humeur...



À montrer mes fesses.
C'est tout comme... Hein!

10 janvier 2012

Le manque...

J'ai une folle envie de sexe. 
Et plus les jours passent, plus mon envie devient immense, intense, je brule.  Mon envie est tellement fort que j'érotise presque toute les situations.

J'ai une envie de sexe, comme l'envie d'une gourmandise culinaire qui vous a manqué pendant de très, très longue semaines...
Comme ce petit bout de chocolat que l'on fantasme  intensément sous le coup d'un régime drastique. 
Je fantasme le sexe, comme cet instant où l'on peut reprendre à son aise ce carré de chocolat pour le porter à la bouche. Cet instant où on le saisit... Où l'on savoure avant tout son odeur... Puis lorsqu'on le pose délicatement sur sa langue... C'est tout notre être qui frétille.

Ce moment terriblement plaisant, je le fantasme actuellement plusieurs fois dans la journée... J'aime fermer mes yeux et imaginer l'explosion de mes papilles.

J'ai envie d'une baise torride, d'une baise sensuelle, d'une baise délicieuse.
Il est près de deux heures du matin,  je peine à dormir, je ferme mes yeux et je pense l'ensemble des plaisirs que pourraient m'apporter une main qui parcoure mon corps, un souffle au creux de mon coup, la chaleur de mon corps emmêlé à l'autre...
Je pense que je retarderai le moment de la pénétration, que je prendrai plaisir à le caresser, à le toucher, à sentir encore et encore l'odeur de son entrejambe. Je le prendrais lentement dans ma bouche et ma langue longera son sexe délicieusement...
J'aimerai me blottir dans ces bras, avec une folle envie de fusionner, une envie qu'il entre en moi., que je me perde en lui.

J'aimerai baiser presque au ralentit pour pouvoir bien ressentir l'ensemble des contacts de nos corps. Pour pouvoir sentir chaque millimètre de sa bite me pénétrant... J'ai envie que ma chatte se contracte autour de son sexe et que je me sentes bien pleine, remplie, oppressée.
J'ai envie qu'il soit gourmand, avide et délicat. J'ai envie de l'entendre savourer, prendre son temps... J'ai envie que nous soyons deux à redécouvrir ce délicieux plaisir. 
Ce soir j'ai une folle envie de sexe.
Et pourtant, je n'ose glisser une main entre mes jambes... J'affectionne ce désir, je le nourris, je veux qu'il grandisse encore pour pouvoir mieux me fondre dans ses bras.

Il est 03h05 du matin, et j'aimerais qu'il vienne se perdre dans mes bras.

5 janvier 2012

Ce que vous n'avez pas lu en 2011...

Il est de coutume (apparemment) de faire des bilans de l'année qui s'est écoulée, pour ma part, je vais vous confier mon plus grand flop 2011. 
Mais avant, il faut noter (tout de même) que 2011 fut l'année de ma première nuit volée. J'avoue que j'ai vraiment eu beaucoup de mal à admettre que cela était possible, d'abord parce que je n'en voyais pas l'intérêt, il ne me fallait pas une nuit entière pour le désirer, de plus c'était comme un peu lui dévoiler cette autre partie de moi que je ne montre que très très peu et qui parfois peut surprendre... Oui, je joue du concerto dans les bras de Morphée. Je permute entre la bombarde et la trombone, voyez-vous, cette image de moi ronflant ne me paraissait pas très agréable à lui présenter... Mais c'était mal connaître Monsieur, à force de persuasion, j'ai fini par sauter le pas.
Notre première nuit... Je n'ai que très peu dormi, voire  pas du tout, de galipettes en galipettes, je me suis assoupie quelque instants après qu'il se soit endormi, et que j'eus le triste constant que Monsieur ne jouait d'aucun instrument, même pas d'une minuscule  flûte... J'ai donc du réguler ma respiration, pensez-vous... J'ai sursauté par deux fois, tant mon intrusment s'imposait à moi. 
Au petit matin, entre quelques baisers, il me murmura un "Tu ronfles?"... Moi, mielleuse... "Nooooon"  voyons, une dame ne ronfle pas, elle vit! sourire aux lèvres. Bah, oui, il n'y avait plus de secret entre nous. Je ronflais. Et pas lui. 
Passé ces détails, lorsqu'on passe le cap d'oser la première nuit... Il y a comme un appel pour la seconde nuit... Parti en vacance avec sa famille, il m'avait fort manqué, aussi pour nous retrouver l'idée d'une nouvelle nuit ensemble, ne pouvait que nous enchanter. 
Il fit la route, je pris le train. La ville à mi-chemin de nos domiciles. Que de plaisirs... 
J'enfilais un déshabillé transparent sous lequel j'étais toute nue, j'arrivais face à lui, ondulant mes hanches, jouant de mon charme... Des baisers, des caresses, des pénétrations, des orgasmes... C'était bon... Si bon, que pendant des heures nous avons baiser, fait l'amour... J'avais jouis, je ne sais combien de fois, il avait jouit. Mais notre envie était toujours là...
Après m'avoir prise en levrette, je m'empalais sur sa bite et le chevauchais comme jamais... Je raffole de ses mains qui tantôt m'accompagnent, tantôt me caressent... C'était d'un plaisir intense... Si intense... Que je jouis à grand cris. Je me suis blottie contre lui, il m'enlaçait tendrement...C'était doux... Tellement doux, que... Plus rien. Je me suis endormie. Net. Comme ça, d'un trait! Gentiment j'ai glissé sur le côté, et lorsque j'ai réouvert les yeux... Il faisait jour, et il était sous la douche...


Vite, j'ai  refermé les yeux*... 


Je vous souhaite une très bonne année 2012, remplie de plaisirs et de fou rire. 


*Je suppose que mon concert fut élogieux...

3 janvier 2012

Renversée.

Ce qui est excitant lorsqu'il me baise ainsi, c'est de l'entendre me décrire ce qu'il voit...
C'est de sentir ses mains me retenir à juste hauteur où seul son gland me pénètre...
C'est de sentir ses fesses décoller pour me rejoindre dans mes chevauchements...
C'est de pouvoir caresser ses testicules qui se contractent...
C'est de pouvoir glisser un doigt pour caresser sa prostate...
C'est de sentir mon clitoris flirter avec sa bite.... 
C'est de pouvoir baiser, caresser ses jambes...
Mais aussi de sentir son doigt s'immiscer entre mes fesses.
Puis jouir en m'accrochant à sa jambe.