23 octobre 2013

Voyeuse... Je serai.

Souvenez-vous de Vincent... Oui Vincent le parisien un peu chic, un peu fou... Vincent l'artiste. Au delà d'être un grand copain, il est aussi un amour de copain d'une générosité infinie. Il connait nombreux de mes petits secrets et fantasmes. Il sait ô combien je fantasme à l'idée de m'installer dans un grand fauteuil et d'admirer un couple baiser
Sa générosité à voulu qu'il essaie de nourrir mes yeux gourmands. Je lui avais dit... 
- J'aimerais te voir prendre une femme...
- N'aimerais-tu pas que je te prennes avant?
- Non... Après, peut-être...Cela serait tellement excitant, de te voir aller et venir, de voir ton plaisir, de voir son plaisir... De vous entendre, de l'entendre... J'aimerais tellement voir l'abandon d'une femme...
- Cela t'exciterait? De me voir baiser son corps, ses seins, ses fesses... Son sexe... Tu me sucerais? Tu me sucerais avec elle?
- Pour te mettre en condition? Pour que tu bandes?
 - Je bande...
- Arrête! Pas de sexe entre nous...
- Mais pourquoi? Tu semble d'accord pour baiser avec moi en compagnie d'une autre... Mais pas avant?
- J'ai dit "peut-être"... Qui sait?
- C'est un piège?
- Non, une incitation...Mais je n'en sais rien, peut-être que de voir le plaisir de cette femme, votre plaisir sera tellement grand que j'aurais envie de vous... De toi.
- Tu veux dire, lorsque tu auras vu mon corps... Mon corps d'athlète?!
- Correction... Lorsque j'aurais vu ta bite. Je t'ai souvent vu avec pas grand chose.
- Tu veux la voir?
- Arrête!

Ce n'est pas que je ne l'ai jamais vu sa bite... Je l'ai suffisamment vu. Il oublie les périodes d'avant notre premier rendez-vous... Les photos, les vidéos... Il magnifique mon Vincent. Magnifique et libre. Un risque que je ne veux prendre. Donc, pas de sexe entre nous. Mais pourquoi ne pas le voir avec une autre... Ce fantasme m'excite bien plus que de me perdre dans ses bras.
Un jour, il avait fini pas me dire oui... Un oui pour une envie de découverte. Hélas, ce ne fut son "grand" jour. Un trop plein d'émotions? Nous en avons jamais reparlé, ni même pour m'expliquer sa colère. Dire que ce soir là, je l'aurais suivi volontiers dans son atelier, loin des regards voyeurs et je l'aurais laissé peindre mon corps aussi longtemps qu'il le souhaitait. Mais, non... Il ne dit mot. Par la force des choses, je rangeais également ce fantasme, ne sachant réellement comment l'atteindre. Mon époux se refuse à ce jeu qu'il pense dangereux. James voulait d'un trio... Il avait un portrait exacte de ce qu'il voulait voir... Deux femmes suçant avec sa bite avec gourmandise, puis s'embrassant langoureusement. Un fantasme bien mâle... Je me souviens l'avoir trainé chez Chochotte un théâtre érotique... Le spectacle de ces deux femmes baisant, m'avait laissé de marbre, je ne percevais pas leur plaisir. D'un autre côté, elles étaient là pour faire un show. D'ailleurs mon regard se portait le plus souvent sur ces messieurs, cherchant sans doute à capter leur désir...Sans succès.
Ce fantasme mis en veille, réapparaît doucement... A demi-mot, je le susurre... Propose. Je le susurre encore plus depuis que je suis une nouvelle série américaine "Masters of sex", bien que le regard des protagonistes soit clinique, celui du chercheur qui essaie de comprendre, n'empêche que l'intensité du désir qui naît en moi est fulgurant. Dans la série, en ne voit grand chose, tout est dans la suggestion... On perçoit le désir remplir l'atmosphère. Et c'est dans cet atmosphère que j'aimerais m'y plonger...

Je m'y suis plongée.
Je me suis placée dans une antichambre, derrière un rideau...Je guette. Ils savent que je suis présente, quelque part, non loin mais sans réellement me situer, d'ailleurs ils ne savent à quel moment je commencerais à admirer leurs ébats... J'admire ces mains qui se caressent, qui se cherchent, s’agrippent, s'entremêlent... Se défont. Ces bouches qui s'effleurent, s’échappent, s'embrassent, se mordent, sucent. Ces jambes qui se croisent, s'étirent, tremblotent, accrochent, se lèvent... Se suspendent. Ces yeux qui s'ouvrent, se ferment... Révulsent. Ces mimiques oscillant entre plaisir et douleur. Le plaisir fait-il souffrir? Alors qu'il est entre ses jambes, son visage traduit une sorte de douleur qui lui tord le ventre...Je l'entends.. Oh, oui son  souffle, ces cris... Ces gémissements. J'aime ces corps qui ondulent, transpirent, frissonnent.
Dans mon siège... Je frissonne à mon tour, mes seins se dressent, ma chatte palpite, je mouille. Je me détends, écarte mes jambes, une main se glisse dans ma culotte, je comprime mon clitoris... J'appuie, j'appuie... J'aime ce plaisir constricteur. Eux, continuent leur envolée... Elle le prend dans sa bouche. Le tableau est magnifique... Il a l'air perdu... transporté... Par moment, ses orteils se crispent dans tous les sens ses mains empoignent et caressent sa partenaire. Elle suce, lèche... C'est beau. Je suis prise d'une envie de l'imiter, j'aimerais me rapprocher, sucer avec elle... Mais, je veux voir, voir jusqu'au bout. Maintenant, elle le chevauche, je suis mal placée, j'ai une vision latérale, j'aurais aimé voir cette bite aller et venir en elle... J'aurais aimé voir sa bite luisante... Voir s'échapper les sécrétions de sa belle. Tant pis, ce que je vois est tout aussi excitant, ces fesses qui tournent, qui accrochent... Elle prend du plaisir c'est certain... Il le sent, il l'accompagne, baise ses seins... La renverse sur le côté et réussi à se placer au dessus... Il va et vient... Qu'il est bon de voir ses allers retours... Tantôt rapide et fort, tantôt lent et tendre... Les mains s'entremêlent à nouveau...C'est gourmand. Bien trop gourmand pour que je résiste. Mon buste bascule en avant, tête en arrière, je me masturbe... Je tire, tournoie ma culotte entre mes lèvres intimes. J'ai envie, envie d'eux. Je l'entends, je reconnais ces soupirs, ces gémissements entrecoupés, elle va jouir. Elle jouit, buste accroché, jambes remontées à lui... Il se retire... Son sexe est droit, brillant, si je pouvais le prendrais dans ma bouche, pour la goûter elle... Pour le sentir fébrile. Mon envie se fait plus grand, je glisse un doigt et cogne fortement mon con... Je veux jouir...
Lui... Je ne sais pourquoi avance vers l'antichambre...

17 octobre 2013

Dévorant...



Hermann habite Hambourg.

Un jour je lui ai confié mon envie de goûter à une chope de bière. Une grande chope. J'ai une fascination pour ces grands verres, dont la mousse termine cette boisson avec telle beauté, qu'y poser mes lèvres est devenu un fantasme. L'alcool n'est pas mon fort, et pourtant pour une chope, je me laisserais bien aller. Aussi pour la fête de la bière à Munich en septembre, Hermann m'invita à passer une soirée avec lui et  découvrir le plaisir d'une chope en main.

Mains dans les poches, il m'attendait sur le quai de la gare, un doux baiser, il m'installa dans sa voiture, balança mon sac dans le coffre, une main sur mes cuisses il s'élança vite vers l'hôtel. Voiture garée, il ouvrit le coffre, prit mon sac, ma main dans la sienne, me traina toujours aussi vite vers la réception, clé en main, porte ouverte, refermée instantanément. Il m'allongea sur le bord du lit, releva ma robe, tira ma culotte sur le coté, chatte découverte... J'étais trempée. "J'ai envie de toi" lui ai-je dis.

Il se releva , se déshabilla . Puis me baisa furieusement. 



16 octobre 2013

Schlemmer....


Hermann fin de trentaine, grand, brun est un bel allemand. Je me demande si ce n'est ce dernier détail qui m'a fait le désirer presque immédiatement. A l'annonce de ses origines, je me suis vu telle une fauve face à son dresseur. Je me voyais soumise à toutes ses envies. Je l'imaginais poussant des "Ja! Ja! Ja" en claquant mes fesses.

Aussi la première fois où je m'offrais à lui, alors que nous partageons un missionnaire endiablé, troublant, gourmand que mes mains parcourraient sa douce peau, que mes mains agrippaient ses belles fesses fermes ... Que je sentais sa bite entièrement enfouie dans ma chatte. Alors qu'il allait et venait et que je balançais mes hanches de gauche à droite, mon clitoris et mes lèvres intimes se frottaient contre son pubis, mon plaisir grandissait, je sentais mes jambes frémir... Il s'arrêta et me dit "Drehe dich um""tourne-toi". Ma chatte frémit encore plus fort, un jet de cyprine glissa le long de ma cuisse. Je m'exécutais. Ma croupe offerte, il posa sa main sur ma chatte, la stimula un instant... Je poussais de grand cri. Sa langue remplaça sa main quelques instants puis il me pénétra. 
Hermann est silencieux, pour suivre son plaisir. Il faut être attentive à sa respiration, à son toucher, à ses baisers, lorsque ses mains m'enserrent de plus en plus fort, c'est que son plaisir grandit. Alors qu'il cognait entre mes fesses, le bruit sourd de ses allers et retours remplissaient notre chambre, ses mains empoignaient mes hanches puis une main quitta mes hanches, caressa mes seins, mon ventre et se posa sur mon pubis... Il enveloppait ma chatte tout allant et venant en moi. La fauve que je devenais face à lui perdait tout entendement, je grognais. Fort. Il arrêta. 
Quitta ma croupe, murmura "Lutsche mich""suce-moi" mêlant le geste à la parole, il glissait ma tête vers sa bite. Doucement je débutais en suçant son gland, je longeais sa bite,  léchais son scrotum, frôla son anus... Je levais la tête pour voir son plaisir, yeux fermés, il avait un petit sourire de plaisir, un sourire de satisfaction sur les lèvres. Heureuse je continuais à le sucer avec gourmandise tout en le masturbant d'une main, mon autre main se glissait dans mon sexe. C'était bon. Si bon, sans attendre qu'il ne me l'ordonne... Ma bouche se retira de sa bite, bite que je saisi et l'enfoui entre mes jambes. Je le baisais. Lentement avec gourmandise. Je l'empalais jusqu'à la base de son sexe, je tournoyais, je l'enserrais, je frottais à nouveau mes lèvres intimes sur son pubis... Ses mains m'accompagnaient, je l'embrassais... Un plaisir fou. Un plaisir à me rendre folle. Je jouis intensément. 
"Danke schöner Geliebter" "Merci, bel amant."

5 octobre 2013

Noguerra.


3 octobre 2013

Véloce (2)...

Monsieur est en retard... Je me dis qu'enfin, je vais pouvoir faire demi-tour... Je l'appelle. Il est en retard, oui, mais d'une ou deux minutes, il se gare. Déception. Je vais devoir me contenter de ces quelques minutes que nous aurons. Ma déception fait place à grand sourire lorsque je l'aperçois au loin. L'envie, le désir est presque instantané... Il m'excite.
Un bonjour rapide et nous, nous présentons tous deux à l’hôtel... Une clef... Un ascenseur. Enfin, le baiser... Un baiser doux et gourmand, un baiser collé, si collé que je sens sa queue bandante. J'oscille toujours entre plaisir de le retrouver et déplaisir de ne pouvoir profiter de lui longtemps. Il le perçoit, murmure "détends-toi...".
Nous entrons dans la chambre, il la referme aussitôt, me reprend dans ses bras, nous nous embrassons, ses mains parcours mon corps, sa main glisse dans ma culotte... L'ensemble de ses doigts appuient sur ma chatte, des pressions délicieuses... Je sens naître un plaisir... Discret, lent... Il me traine vers le petit sofa posé au pied de la fenêtre, caresse mes jambes, s'assied, sa tête est à hauteur de mon ventre, remonte ma robe... Un long baiser sur mon ventre, mes mains sur sa tête... Ma chatte palpite. Il descend, sa bouche est maintenant sur mon pubis... Puis il s'engouffre entre mes jambes, tire ma culotte sur le côté, sa langue écarte mes lèvres intimes, il lèche... J'exulte. Il quitte le siège, je lève une jambe et la pose au dessus, il peut avec gourmandise parcourir ma chatte, malaxer mes fesses... C'est si bon que mes reins accompagnent le plaisir qu'il m'offre... J'ai ce plaisir qui monte, qui montre jusqu'à me couper le souffle, il est délicat, gourmand... J'aime.
J'aime percevoir cette envie qu'il veut faire grandir en moi, cette envie qu'il a de moi. Sa langue pénètre ma chatte. J'explose, m’agrippe à sa tête... Il tente de se retirer... Je le retiens... Je jouis. Il étouffe. Mon plaisir est véloce encore une fois... Pourtant ma chatte palpite toujours, très fort... J'ai encore envie de lui. Je le libère, il quitte mon entrejambe, je me baisse, pose mon buste sur le siège, robe toujours relevée je lui offre mon cul. Il baise mes fesses tout en retirant ma culotte... Fesses à nues, je l'entends dégrafer sa braguette d'une main tandis que l'autre tournoie sur mon clitoris devenue hypersensible, légèrement douloureux, je le guide, atténue son rythme...Doucement il écarte un peu plus mes jambes, son gland se pose sur ma chatte...

Ce contact est délicieux. Son gland est chaud, son appui excitant... Écarte mes lèvres... Et me pénètre, il se fige, je contracte ma chatte autour de sa bite, j'aime la sentir ainsi, percevoir sa dureté, la sentir... Elle titille mon col... les mouvements c'est moi qui les donne, je vais et vient lentement, ma chatte dégouline, je suis trempée, ce qu'il voit semble l'exciter un peu plus... J'entends son "Mmmmm" de délice... Il m’enveloppe avec son torse, ses mains saisissent mes seins, une de mes mains se pose sur mon pubis et caresse sa bite dans le même temps que mes ballottement. Il aime, je sens les frémissements de sa bite en moi, il durcit de plus belle... Se redresse, ses mains maintiennent fermentent mes hanches, quelques va-et-vient lents, profonds pour faire renaître mon plaisir, j'aime... Je gémis... Il me parle. Des mots que je peine à comprendre, j'aime, je prends un plaisir dément... Ma chatte se contracte, il se retire... Lèche. Je craque. Il lèche encore. Je jouis. Je me recroqueville, il m'enserre dans ses bras. Combien de temps s'est-il passé depuis que nous sommes dans cette chambre? Je ne sais trop. Je porte toujours ma robe, mes chaussures et j'ai déjà jouis deux fois de suite.

Il continue, baise ma nuque... Je le sens souriant... Heureux, de me voir jouir ainsi... Mais il en veut plus..."Chuttt... J'ai envie de toi...Je vais te baiser..."me dit-il.
Sa bite remplie de mes sécrétions, il redresse mon cul, me baise. Fort, vite, profondément... J'entends les clapotis remplir la pièce, à chaque coup, il cogne mon col, sa bite est si dure, si raide, que j'en souffre. L'entre de mes jambes ruisselle, sa bite glisse de plus en plus vite... de plus en plus fort... Il pilonne ma chatte à grand coup, ses mains empoignent mes reins... Je m'excite. Je sens son foutre monté, son plaisir grandir...Cette douleur devient plaisir... J'aime quand il me baise ainsi, j'aime entendre nos corps s'entrechoquer... J'hurle. Je jouis. Il se retire, et je sens son liquide se rependre sur mes fesses.

Il est 16h. J'ai jouis trois fois.