16 octobre 2013

Schlemmer....


Hermann fin de trentaine, grand, brun est un bel allemand. Je me demande si ce n'est ce dernier détail qui m'a fait le désirer presque immédiatement. A l'annonce de ses origines, je me suis vu telle une fauve face à son dresseur. Je me voyais soumise à toutes ses envies. Je l'imaginais poussant des "Ja! Ja! Ja" en claquant mes fesses.

Aussi la première fois où je m'offrais à lui, alors que nous partageons un missionnaire endiablé, troublant, gourmand que mes mains parcourraient sa douce peau, que mes mains agrippaient ses belles fesses fermes ... Que je sentais sa bite entièrement enfouie dans ma chatte. Alors qu'il allait et venait et que je balançais mes hanches de gauche à droite, mon clitoris et mes lèvres intimes se frottaient contre son pubis, mon plaisir grandissait, je sentais mes jambes frémir... Il s'arrêta et me dit "Drehe dich um""tourne-toi". Ma chatte frémit encore plus fort, un jet de cyprine glissa le long de ma cuisse. Je m'exécutais. Ma croupe offerte, il posa sa main sur ma chatte, la stimula un instant... Je poussais de grand cri. Sa langue remplaça sa main quelques instants puis il me pénétra. 
Hermann est silencieux, pour suivre son plaisir. Il faut être attentive à sa respiration, à son toucher, à ses baisers, lorsque ses mains m'enserrent de plus en plus fort, c'est que son plaisir grandit. Alors qu'il cognait entre mes fesses, le bruit sourd de ses allers et retours remplissaient notre chambre, ses mains empoignaient mes hanches puis une main quitta mes hanches, caressa mes seins, mon ventre et se posa sur mon pubis... Il enveloppait ma chatte tout allant et venant en moi. La fauve que je devenais face à lui perdait tout entendement, je grognais. Fort. Il arrêta. 
Quitta ma croupe, murmura "Lutsche mich""suce-moi" mêlant le geste à la parole, il glissait ma tête vers sa bite. Doucement je débutais en suçant son gland, je longeais sa bite,  léchais son scrotum, frôla son anus... Je levais la tête pour voir son plaisir, yeux fermés, il avait un petit sourire de plaisir, un sourire de satisfaction sur les lèvres. Heureuse je continuais à le sucer avec gourmandise tout en le masturbant d'une main, mon autre main se glissait dans mon sexe. C'était bon. Si bon, sans attendre qu'il ne me l'ordonne... Ma bouche se retira de sa bite, bite que je saisi et l'enfoui entre mes jambes. Je le baisais. Lentement avec gourmandise. Je l'empalais jusqu'à la base de son sexe, je tournoyais, je l'enserrais, je frottais à nouveau mes lèvres intimes sur son pubis... Ses mains m'accompagnaient, je l'embrassais... Un plaisir fou. Un plaisir à me rendre folle. Je jouis intensément. 
"Danke schöner Geliebter" "Merci, bel amant."