18 décembre 2013

Transbordés... (2).

La Luxure. C'est le péché que j'avais choisi. N'étais-je pas une débauchée qui allait se perdre dans les bras d'un inconnu. N'étions nous pas dans l'exubérance à la recherche presque obsessionnelle d'un plaisir sexuel. Nous allions nous abandonner au plaisir interdit. Et cette chambre me convenait parfaitement. Ce miroir qui plafonnait dans notre chambre allait agrémenter notre plaisir. J'aime voir le reflet des corps qui se désirent. Le contraste de nos peaux, la gourmandise des caresses...
Plus nous avancions vers l'hôtel, plus mon cœur s'emballait... Mes angoisses n'étaient plus sur mes rondeurs mais sur le plaisir que j'allais prendre, mes premières fois sont assez délicates... J'ai un peu de mal à me laisser aller, non pas que je manque de désir, bien au contraire je déborde de désir... Tellement que j'ai du mal à lâcher prise. Les premières fois, bien souvent je nous regarde nous désirer... La seconde fois, je m'abandonne... Et là, nous savions qu'il n'y aurait pas de seconde fois. Mon plaisir, il me fallait le vivre presqu'immédiatement. 
Dans l'ascenseur, il me reprit dans ses bras. J'étais frêle. Je l'embrassais de nouveau. L'ambiance intime des lieux... Cette lumière tamisée, me rapprocha un peu plus de lui. Il avait ce petit quelque chose de délicat... Ses caresses, ses baisers étaient d'une délicatesse absolue. C'était bon. Dans la chambre, une fois la porte refermée derrière nous, c'est moi qui fit les premiers pas vers lui... Je l'embrassais encore et encore. Ses mains se limitait à ma nuque, à mon cou... Délicatement il prenait mon visage entre ses mains et il m'embrassait. Cette fois, je senti mon corps tout entier se remplir de désir...Ma chatte palpitait... Lorsqu'elle frémis ainsi, je gesticule... Mon souffle s'accélère... Je gémis... 
Nous continuons debout en plein milieu de cette chambre que nous n'avions prit le temps de visiter à nous embrasser... Je me collais de plus en plus à lui... Il arrêta de m'embrasser et murmura... - Que c'est bon de t'embrasser... Que c'était bon de l'embrasser... Je n'avais plus embrasser ainsi depuis bien longtemps. Ces baisers qui nous donne le sentiment d'être précieux. Il y avait du désir, beaucoup de désir. Je le laissais me déshabiller. A mesure qu'il découvrait mon corps, il le baisait. Ce qui doucement diminuait mes angoisses. Il découvrait mes épaules, Il retira rapidement mon soutien gorge... Sa bouche sur mes seins, ils les baisaient, les léchaient... C'était bon de m'accrocher à son cou et le maintenir fort contre mes seins... Nous restions toujours là en plein centre de la chambre. Je le laissais faire... 
Il m'entraina vers le lit, m'allongea, j'écartais mes jambes pour qu'il se fasse une place entre mes jambes, je sentis ses mains relever ma jupe, caresser sur mes cuisses, et saisir mes fesses...Je pris sa main pour le glisser dans ma culotte au plus près de ma chatte. J'allais commencer à me branler sur ses doigts quand brusquement je le sentis retirer ma culotte, il se relevait dégrafait son pantalon, baissait son caleçon, je faisais face à sa bite, revint vers moi à moitié habillé, relevait à nouveau ma jupe, prit une jambe sur son épaule et sa bite s'enfonça dans mon con. Ce fut l'explosion. Il me baisait délicieusement, lentement... A chacun de ses allers-retours, je le sentais jusqu'à la garde. Nous ne disions rien, seul nous souffles, mes petits cris presque inaudible flottait dans la pièce, je sentais s’écouler sur mes fesses mes sécrétions... Énormément. Je l'arrêtais pour lui demander que j'éponge un peu... -Je suis trempée... Lui avais-je dis. -C'est bon... -Je veux prendre une serviette. -Non, j'aime. 
Et nous repartions dans cette positions des plus banales, mais qui offre un plaisir des plus grands, il continua à baiser ma chatte, nos langues entremêlées, j'agrippais ses fesses et le plaquais encore un peu plus profondément en moi... Mes cris discrets devint de grand cris, je lui fit signe d'échanger nos places, toujours l'un d'un l'autre, je me retrouvais au dessus chevauchant sa bite. Je prenais plaisir, beaucoup de plaisir à chevaucher et frotter ma chatte contre son sexe. Ses mais m'accompagnaient, caressaient, malaxaient mes fesses... - Mon chéri*, je vais jouir... En guise de réponse, il me renversa à nouveau, et pilonna si bien ma chatte qu'entre l'aboutissement de mon plaisir, je l'entendis jouir également. Les spasmes de son corps tout entier contrebalançaient la force avec laquelle je m'accrochais à lui à lorsqu'à mon tour les spasmes de mon plaisir explosaient dans le bas de mon ventre. 
- Vellini c'est mon prénom, et toi? 
- Comment voudrais-tu m'appeler? 
- Heuuu... Hermann?
- Mais c'est horrible Hermann!
les présentations faites, nous nous déshabillons, glissions sous les draps... Il allait enfin m'offrir une levrette.



*Mon chéri?? Le sexe me perd complètement...

11 décembre 2013

Transbordés...(1)

Et si je ne lui plaisais pas? 
Le train arrivait à quai et c'est seulement à ce moment là, ce moment où dans les  minutes qui allaient suivre nos regards allaient se croiser pour la toute première fois que je me posais la question. Et si je ne lui plaisais pas. Et si je n'étais comme il m'avait fantasmé, certes je lui avais envoyé quelques bouts de moi... Des bouts suggestifs..Ces photos font naître et entretiennent le désir, elles ne me dévoilaient pas comme un tout. Et pourtant, je suis cet ensemble de petits bouts qui parfois mit ensemble peut où ne pas plaire. L'excitation qui m'avait habité les quelques semaines auparavant, semaines où nous planifions notre rencontre s'envolait, la réalité, cette vraie réalité au delà du virtuel, des mots me surprenait... Je n'étais plus "Vellini" la gourmande, la coquine, l'envoutante ou Dieu je ne sais quoi. J'étais moi... Moi... Moi, la jeune femme tremblotante sur le quai d'une gare attendant un inconnu. 
Moi et mes rondeurs...Comme si je sortais d'un rêve et que je faisais face à la réalité, je réalisais, que je n'avais plus ce corps d'avant ma grossesse. Non, j'étais cette femme toute en rondeur, celle qui avec grand plaisir avait vu son corps s'arrondir à mesure que mon petit être évoluait. Certes, je n'étais plus enceinte, et que mon cerveau trompeur me laissait croire que j'étais celle d'avant, mais ma balance, cette hypocrite au matin même m'avait rappelé que j'avais toujours une dizaine de kilos en plus. 
Je perdais mon sourire. 
Et si je ne lui plaisais pas? Lui, oui, c'est certain, il était mon inconnu... Et ce titre lui valait mon désir absolu. Je le voulais. Tel quel. 
J'avais choisi une tenue des plus classiques, une jupe dénichée chez Héroïnes (?) , un petit top, une veste et des escarpins d'été. Sexy, je ne sais si je l'étais. Élégante certainement. C'est une des tenues des plus banales dans laquelle je suis le plus à l'aise.
Son appel me ramenait à la réalité... - Où es-tu? -Je suis placée un repère après le repère où votre voiture sera à quai. Tu m'apercevras dès l'entrée du train, il te faudra faire demi-tour pour me rejoindre... J'ai de longs cheveux frisés... Je porte des escarpins à brides. -Ah, je vois tes jambes... 
Cet instant est horrible... Ce moment où vous savez que l'autre vous vois et pas vous. Vous imaginez les situations les plus rocambolesques... Et s'il faisait demi-tour? D'autant plus que j'avais un emplacement assez curieux... Je voulais qu'il me voit, qu'il m'observe quelques instants... Qu'il choisisse d'être transbordé ou non... Le virtuel ou le réel. Je m'offrais à lui.
Je n'avais plus suffisamment de temps à rêver. D'ailleurs, ce n'était pas si important que je lui plaise ou non, tout était clair entre nous... C'était l'inconnu que je croisais pour une seule et unique fois.
Il était là... Je faisais face à lui. Crispée certainement, sourire figé certainement... Un baiser des plus chaste, il m'enveloppa par les épaules, me serra contre lui... Je me dégageais quelque peu... Nous étions à quelques mètres de mon domicile... Il prit ma main. Je le sentais me dévisager... Je n'osais soutenir son regard, ses petites caresses sur ma main était agréable. Dans un couloir qui nous reliait au métro, je sentis son souffle se rapprocher... Je m'arrêtais. Ce fut notre premier baiser. Un de ces baisers délicieux. Un de ceux que l'on a tant désiré, et qu'enfin brulants et gourmands on se découvre. Un baiser qui sonne comme la promesse d'un bon moment à venir. Mes angoisses s'envolaient. Je le voulais, il était là. Son baiser me disait tout. Tout...
Un second baiser plus gourmand que le premier. 
Cette fois, c'est moi qui  le prit par la main... Direction le Vice-versa hôtel où nos désirs allaient prendre corps.

6 décembre 2013

Madiba.



On a beau savoir qu'il en sera ainsi pour tout être, mais pour certain, on leur souhaiterait presque l'éternité. Merci à lui...Pour son courage, sa ténacité et son humilité.  Puisse son âme reposer en paix. 

3 décembre 2013

Badinons...La Morale de la Putain.

Dans la grande famille des putains il existe différentes sous-classes, dont celle de la lignée des maîtresses. Si communément celles qui arpentent les trottoirs tiennent aux portefeuilles de leurs clients... La maîtresse elle, est accrochée à la bite de son amant, elle recherche l'ivresse orgasmique. Elle respecte ardemment le code de bonne conduite des maîtresses...Reste intimement liée à la vie professionnelle de l'amant. Elle n'empiète jamais sur sa vie familiale voire elle veille à ce que cet espace familiale lui soit le plus équilibrant... Il n'en sera que meilleur amant. C'est sa morale. Sa bonne morale. Être invisible pour l'épouse. 
L'épouse à elle, elle lui doit tout... La bonne humeur de son amant passe par cette autre femme, cette femme qui endure les moments les plus difficiles de leur vie, elle connait ses angoisses, ses vraies faiblesses... Dans le fond à chaque fois qu'elle baise son homme, elle se convainc de lui rendre service. Une maîtresse n'est ni plus ni moins au service de l'épouse... Elle la soulage des envies bestiales et impudiques de son mari. Madame refuse une sodomie... La maîtresse offrira. Elle refuse de sucer... La maîtresse sucera... Un club*, un trio*... La maitresse acquiescera...
Cependant pour être une bonne maîtresse, il faut un bon amant. Un bon amant est celui qui en amont saura rendre invisible la maîtresse tout aimant sa femme. 
Et là... Rude tâche. Un après-midi... Un appel. 
-Vellini? -Heuuu... Oui. Bonjour. -C'est pas vrai?! Ça fait un siècle que je te cherche... Facebook, Twitter, Google+... Rien. -Ah... Je vole donc Je suis anti-réseau. -Tu sais qui c'est? -Heuuu... Je ne voudrais pas dire de bêtise... Un homme. -Ahahahah... Tu ne prends aucun risque. -Non, je ne voudrais pas vexer. Ou me trahir. -C'est Robert... Nous nous sommes connus il y a 20 ans... Un été, tu étais... -ROBERT!!! Mais bien sûr que je me souviens de toi... -Ah oui?! Pourquoi? -Mon ROBERT*. Mon ROBERT! Comment voudrais-tu que je t'oublie?
Éclats de rire... Nous papotons...Que c'est bon de se replonger des années en arrière...Nous étions si insouciant.  C'est toujours plaisant d'avoir des nouvelles d'un amour d'été. Court et magique. On en garde que de beaux souvenirs. Il savait presque tout de moi... Une cousine rencontrée au coin de la rue lui avait conté ma vie d'adulte. C'était donc à moi de prendre des nouvelles de sa vie d'aujourd'hui. -Alors... Toi que deviens-tu? Marié? Des enfants? -Oh! Moi... Pas grand chose. Oui j'ai des enfants... -De quel âge? -7 ans et un bébé de 6mois... -Rhoo c'est mignon...Filles? Garçons? -La plus grande est une fille, puis un petit gars. -Et ta femme alors? Qui as-tu épousé? -Clara... -Clara? -Celle avec qui j'étais lorsque nous nous sommes connus. -Tu étais avec quelqu'un à cette période là? Je n'ai pas souvenir, c'est si vieux... Peu importe... C'est beau!!! -Non... Non. C'est pas ce que tu crois...On est pas marié. -Ce n'est qu'un détail... -Non... Tu sais avec toi... Blablabla... 
Et c'est parti pour un discours "sur sa triste vie.." Il disait n'être plus que de simple colocataires.. Tout était bien clair entre eux... Qu'il s'apprêtait à prendre un appartement. Qu'elle lui avait fait un enfant dans le dos... A mesure qu'il parlait... Je perdais mon sourire. Je ne comprenais pas pourquoi il me racontait tout cela... Pourquoi la femme qu'il avait tant aimé était réduit à de si vilains adjectifs... Tout cela entrecoupé par de jolies compliments sur moi. Qu'en savait-il? Que voulait-il? -Pourquoi m'appelles-tu? -J'ai envie de te revoir... Tu n'as jamais quitté mon esprit. -Ah! Ouais?! Tu sais que je suis mariée.. Que j'ai une panoplie de gosses... Et même si tout n'est pas rose. J'aime mon mari. -Oui, je m'en doute... Je te connais. Mais n'empêche... -N'empêche... Quoi?! -Qu'on peut se revoir? -Tu veux me baiser? -Vellini!!! Comment parles-tu? -C'est faux? Tu n'as pas envie de me retirer ma culotte? Il rit... -Je ne te le dirais pas comme ça.. -Tu me le dirais comment? En jetant l'opprobre sur ta femme? Tu penses qu'ainsi, je viendrais me jeter dans tes bras? -Arrête... -Oups! Mon époux m'appelle... Je te rappelle... 
Évidemment, je n'ai pas rappelé... Je n'ai donné suite à ses textos. J'ai pensé... Quel est donc cet homme qui serait prêt à nier sa famille pour une partie de baise? Pourquoi adulte que nous sommes ne pouvons-nous pas nous dire les choses simplement? La femme est-elle si bête pour ne point comprendre qu'une baise est une baise. Point. Rien de plus? C'est vrai, je ne suis pas simple comme femme, certainement que je prends un temps fou à évaluer, à jauger, à réfléchir si oui ou non je baise. Mais baiser n'est pas acte anodin. J'aimerais offrir ma chatte pour un cunni délicieux sans récolter en retour un indétrônable herpès. (Il n'y a pas que le sida dans les risques, l'herpès est aussi vicieux avec ces poussées qui mettent le sexe en feu!), alors oui, je peux être chiante comme femme, tatillon, exigeante, jalouse (j'ai quand même un droit de regard, je ne veux pas que mon amant pénètre toutes les chattes... Quelques unes de bonne moralités. ^^ Mais pas toutes!) Croiser des hommes maniant avec audace ces petits mensonges m'horripile. 
Je veux d'un homme capable de me dire... "Je me suis souvenue de ta bouche sur ma bite... De ton déhanché... J'ai eu une envie de t'enculer...Jusqu'à la garde. Qu'en penses-tu?" Quitte à moi d'accepter ou non. Qu'il me laisse le choix de mes actes en toute honnêteté. C'est cher demander? 
Avec une telle misère sexuelle affichée, il peut gentiment se rhabiller. Oui se rhabiller parce que lorsque j'ai entendu... -Robert... Je l'ai vu tout nu. Il était beau mon Robert. Il en avait une bien belle. Une de celles que l'on se souvient la main dans la culotte. Je nous voyais déjà nus... Sexes empilés. 
Baiser. Je veux bien. Putain à souhait...Mais avec un soupçon de morale. 
Ma morale de putain. 



*Aucune femme n'aurait pu l'oublier.
*En option, spécifique à certaines maîtresses. Elle porte quelque fois le doux nom gourmand de Libertine.

1 décembre 2013

Oh! Que OUI...

Désire-moi... Protège-moi.






27 novembre 2013

L'union de la Pie...

Il a se petit quelque chose que j'aime tant. Il respecte mon silence, il n'écoute que mes envies... Ou les siennes, je n'en sais rien, est-il que lorsqu'il me voit apparaître, il comprends pourquoi je suis là et il bande aussitôt... Lui c'est mon putain.
- Que veux-tu...? Me demandait-il en me déshabillant. 
Écarte mes jambes et branle-moi avec ta bite... Lui avais-je murmuré... J'ai envie de sentir ton gland à l'entrée de mon con... J'ai envie qu'il appuie sur mon clitoris, qu'il caresse mes lèvres intimes...
Il m'allongea sur le dos, se mit à califourchon face à mes jambes, les écarta grandement, les doigts de sa main gauche écartèrent ma chatte, sa main droite se saisi de sa bite qu'il posa à l'entrée de mon sexe humide. La chaleur de sa bite gonflée, les caresses de ce sexe tant attendu dressèrent mes seins... J'aime ce plaisir clitoridien, j'aime la dureté de ce sexe qui appuie contre le mien sans réellement me pénétrer... Il me branle, lentement... Je me contorsionne... Il me maintient. Je le sens glisser de quelques millimètres son gland dans ma chatte...C'est bon. Si bon de sentir mon corps s'ouvrir, de sentir mon corps de happer, le désirer... 
Il me branle... Il longe sa bite entre mes lèvres... Je sens que ma chatte humide, lubrifie sa bite. Il aime ce qu'il voit... Il aime voir ma chatte trempée...Je me relève et le renverse, je veux me branler sur son sexe... Sa bite sur son pubis, j'écarte les lèvres de mon con que je pose sur elle, mes lèvres intimes l'enserre, je frotte, je tourne... Je me tortille sur lui à me mesure que mon plaisir grandit... Il me plaque très fort contre lui... Je comprends qu'à son tour c'est ma chatte qui le branle, je baise sa bouche avec gourmandise, j'aime sentir son souffle silencieux près de moi... J'aime sentir nos sexes découverts et si proche. J'aime le sentir si fébrile dans mes bras...
Il va venir, il va déverser son foutre sur nos ventres accolés... Il se redresse, je me retrouve proche de lui, mes seins contre sa poitrine, mais nos sexes semblent s'éloigner, je me lève et m'assoie...Cette fois, sa bite s'enfouit en moi. Nous voilà uni. Je m'accroche à son cou, ses mains caressent mon corps, sa bouche caresse mes seins, ma chatte remplie, mon clitoris caressé... J'aime cette union. Cette union où je guide mon plaisir. 
Cette union où il reste mon putain. 



25 novembre 2013

Une envie... Une réponse.

Ce fut rapide et bon.
 

3 novembre 2013

Concupiscente.

J'aime l’automne... J'aime ce temps instable, pluvieux ou gris qui nous autorise à nous couvrir légèrement... L'automne ma libido est au plus haut, qu'il vente, qu'il pleuve ou qu'un rayon de soleil chatouille ma peau, mon entre-jambe s'excite.
C'est en automne que je l'ai rencontré. Je me souviens de ses mains longeant mes jambes, effleurant mes bas puis caressant mes reins... Je me souviens de la délicatesse de cette première fois où il me baisa. Je me souviens de ses petits mots pour me rassurer... De ce premier contact entre sa langue et ma chatte c'était explosif... Je m’agrippais aux draps n'osant poser mes mains sur sa tête, ma chatte ne se rapprochait pas de sa bouche mais je tentais de m’en échapper... Lui me retenait Lorsque sa langue atteint mon anus, je me figeais... Dans ma petite tête cela ne pouvait avoir lieu... Mais il avait ce petit tact silencieux qui me rassurait... Le plaisir pouvait aussi passer par là... J'appréciais... Ce fut extraordinairement bon. Lorsque je jouis, mes jambes écartelées, ses mains sur mes cuisses, sa tête entre mes jambes, j'arrachais mes draps pour étouffer mon plaisir... Entre deux baisers il me dit qu'il voulait m'entendre... Que je pouvais hurler aussi fort que l'envie pouvait se faire sentir. Les années qui ont suivis, j'hurlais mon plaisir.
Nous aurions pu continuer à hurler des années durant mais approchant la dizaine d'années ensemble, il nous semblait plus raisonnable de rentrer dans les normes. Il vous dira que seule j'ai pensé ainsi... 
Si seulement je savais m'y tenir. Loin d'être addict, c'est de ne plus savoir vivre autrement qui est le plus difficile. Ma vie semblait si réglée, si équilibrée entre l'époux et l'amant que l'absence de l'un rend insipide la vie avec l'autre. Comme s'il s'agissait d'une dualité non intelligible. Comme si l'un ne pouvait exister sans l'autre. Alors forcément l'automne ravive les souvenirs, attise les envies... Mes nuits se remplissent de caresses masturbatoires... J'hurle la tête enfoui dans mon oreiller. Je rêve de scénarios incongrus, de scènes torrides... Jusqu'à ce matin où  je reçu ce message. 
"J'ai envie de toi. Cet après-midi, avenue de la grande armée. Nue sous ton trench."
A peine quelques secondes de réflexion que ma décision était prise, j'allais le rejoindre. Cette proposition m'excitait, il n'y avait eu de tractations, d'entente préalable, il me voulait et j'accourais. L'idée de parcourir les rues en me sachant peu vêtue m’excitait... J'aime ce jeu. Ce jeu qui consiste à jouer de tous les éléments, d'assouvir les envies pressantes qui nous assaillent et dont on veut absolument soulager au plus vite. J'aime être sa catin le temps d'un après-midi.
Une guêpière ivoire, des bas. Et j'étais fin prête. Recouverte d'un trench, je sautais dans ma voiture.
Sur la dite avenue je m'engouffrais dans les parkings. C'est là que je le retrouvais. Fut un temps c'est là que nous nous retrouvions. Un lieu où j'ai jouis plusieurs fois, où j'ai apprécié être prise sur le capot de sa voiture, où il a remplit ma bouche à souhait. J'allais le rejoindre la chatte débordante. Je sentais, ce liquide tiède et filant glisser entre mes jambes. Avant de m'installer dans sa voiture, j’ôtais le nœud de ma veste, la déboutonnais... Il m’aperçut d'emblée si peu habillé, la chatte découverte. A ses côtés, il commença par baiser mes seins avant de m'embrasser, je guidais sa main directement entre mes jambes... Il bandait. La voiture se remplit de l'odeur de nos désirs. A genoux sur le siège, frein à main baissé, je passais au dessus de la boite de vitesse pour le sucer. J'aime le prendre ainsi en voiture, sa tête en arrière sur le siège, une main titillant mes fesses, je vais et je viens avec plaisir... Il veut à son tour goûter à ma chatte, nous nous installons sur la banquette arrière, ma veste servant de protection pour ses sièges, j'écarte mes jambes. C'est exiguë mais si bon! Nul besoin de le maintenir, il semble coincé entre mes jambes. Mes hanches bougent langoureusement... Le moment de la pénétration arrive très vite, nous mourrons d'envies d'accoler nos sexes. Une pénétration, lente, longue et délicate. Pour cet après-midi, nous nous limiterons à un missionnaire, je remonte mes jambes assez haut pour les accrocher à ses hanches pour lui permettre de s'installer confortablement entre mes jambes. Il enroule, va et vient, frotte, cogne... C'est bon.  Cogne encore et encore, vite, de plus en plus vite... Nos langues emmêlées, serrés dans les bras de l'un et l'autre. Nous jouissons.
Quelques instants pour reprendre nos souffles. Des baisers pour nous remercier. Il se retire. Un dernier baiser. Je descend, réajuste mon stretch. Saute à nouveau dans ma voiture et me voilà reparti la chatte remplie dans les rues de Paris.
Cet équilibre est délicieux. 

23 octobre 2013

Voyeuse... Je serai.

Souvenez-vous de Vincent... Oui Vincent le parisien un peu chic, un peu fou... Vincent l'artiste. Au delà d'être un grand copain, il est aussi un amour de copain d'une générosité infinie. Il connait nombreux de mes petits secrets et fantasmes. Il sait ô combien je fantasme à l'idée de m'installer dans un grand fauteuil et d'admirer un couple baiser
Sa générosité à voulu qu'il essaie de nourrir mes yeux gourmands. Je lui avais dit... 
- J'aimerais te voir prendre une femme...
- N'aimerais-tu pas que je te prennes avant?
- Non... Après, peut-être...Cela serait tellement excitant, de te voir aller et venir, de voir ton plaisir, de voir son plaisir... De vous entendre, de l'entendre... J'aimerais tellement voir l'abandon d'une femme...
- Cela t'exciterait? De me voir baiser son corps, ses seins, ses fesses... Son sexe... Tu me sucerais? Tu me sucerais avec elle?
- Pour te mettre en condition? Pour que tu bandes?
 - Je bande...
- Arrête! Pas de sexe entre nous...
- Mais pourquoi? Tu semble d'accord pour baiser avec moi en compagnie d'une autre... Mais pas avant?
- J'ai dit "peut-être"... Qui sait?
- C'est un piège?
- Non, une incitation...Mais je n'en sais rien, peut-être que de voir le plaisir de cette femme, votre plaisir sera tellement grand que j'aurais envie de vous... De toi.
- Tu veux dire, lorsque tu auras vu mon corps... Mon corps d'athlète?!
- Correction... Lorsque j'aurais vu ta bite. Je t'ai souvent vu avec pas grand chose.
- Tu veux la voir?
- Arrête!

Ce n'est pas que je ne l'ai jamais vu sa bite... Je l'ai suffisamment vu. Il oublie les périodes d'avant notre premier rendez-vous... Les photos, les vidéos... Il magnifique mon Vincent. Magnifique et libre. Un risque que je ne veux prendre. Donc, pas de sexe entre nous. Mais pourquoi ne pas le voir avec une autre... Ce fantasme m'excite bien plus que de me perdre dans ses bras.
Un jour, il avait fini pas me dire oui... Un oui pour une envie de découverte. Hélas, ce ne fut son "grand" jour. Un trop plein d'émotions? Nous en avons jamais reparlé, ni même pour m'expliquer sa colère. Dire que ce soir là, je l'aurais suivi volontiers dans son atelier, loin des regards voyeurs et je l'aurais laissé peindre mon corps aussi longtemps qu'il le souhaitait. Mais, non... Il ne dit mot. Par la force des choses, je rangeais également ce fantasme, ne sachant réellement comment l'atteindre. Mon époux se refuse à ce jeu qu'il pense dangereux. James voulait d'un trio... Il avait un portrait exacte de ce qu'il voulait voir... Deux femmes suçant avec sa bite avec gourmandise, puis s'embrassant langoureusement. Un fantasme bien mâle... Je me souviens l'avoir trainé chez Chochotte un théâtre érotique... Le spectacle de ces deux femmes baisant, m'avait laissé de marbre, je ne percevais pas leur plaisir. D'un autre côté, elles étaient là pour faire un show. D'ailleurs mon regard se portait le plus souvent sur ces messieurs, cherchant sans doute à capter leur désir...Sans succès.
Ce fantasme mis en veille, réapparaît doucement... A demi-mot, je le susurre... Propose. Je le susurre encore plus depuis que je suis une nouvelle série américaine "Masters of sex", bien que le regard des protagonistes soit clinique, celui du chercheur qui essaie de comprendre, n'empêche que l'intensité du désir qui naît en moi est fulgurant. Dans la série, en ne voit grand chose, tout est dans la suggestion... On perçoit le désir remplir l'atmosphère. Et c'est dans cet atmosphère que j'aimerais m'y plonger...

Je m'y suis plongée.
Je me suis placée dans une antichambre, derrière un rideau...Je guette. Ils savent que je suis présente, quelque part, non loin mais sans réellement me situer, d'ailleurs ils ne savent à quel moment je commencerais à admirer leurs ébats... J'admire ces mains qui se caressent, qui se cherchent, s’agrippent, s'entremêlent... Se défont. Ces bouches qui s'effleurent, s’échappent, s'embrassent, se mordent, sucent. Ces jambes qui se croisent, s'étirent, tremblotent, accrochent, se lèvent... Se suspendent. Ces yeux qui s'ouvrent, se ferment... Révulsent. Ces mimiques oscillant entre plaisir et douleur. Le plaisir fait-il souffrir? Alors qu'il est entre ses jambes, son visage traduit une sorte de douleur qui lui tord le ventre...Je l'entends.. Oh, oui son  souffle, ces cris... Ces gémissements. J'aime ces corps qui ondulent, transpirent, frissonnent.
Dans mon siège... Je frissonne à mon tour, mes seins se dressent, ma chatte palpite, je mouille. Je me détends, écarte mes jambes, une main se glisse dans ma culotte, je comprime mon clitoris... J'appuie, j'appuie... J'aime ce plaisir constricteur. Eux, continuent leur envolée... Elle le prend dans sa bouche. Le tableau est magnifique... Il a l'air perdu... transporté... Par moment, ses orteils se crispent dans tous les sens ses mains empoignent et caressent sa partenaire. Elle suce, lèche... C'est beau. Je suis prise d'une envie de l'imiter, j'aimerais me rapprocher, sucer avec elle... Mais, je veux voir, voir jusqu'au bout. Maintenant, elle le chevauche, je suis mal placée, j'ai une vision latérale, j'aurais aimé voir cette bite aller et venir en elle... J'aurais aimé voir sa bite luisante... Voir s'échapper les sécrétions de sa belle. Tant pis, ce que je vois est tout aussi excitant, ces fesses qui tournent, qui accrochent... Elle prend du plaisir c'est certain... Il le sent, il l'accompagne, baise ses seins... La renverse sur le côté et réussi à se placer au dessus... Il va et vient... Qu'il est bon de voir ses allers retours... Tantôt rapide et fort, tantôt lent et tendre... Les mains s'entremêlent à nouveau...C'est gourmand. Bien trop gourmand pour que je résiste. Mon buste bascule en avant, tête en arrière, je me masturbe... Je tire, tournoie ma culotte entre mes lèvres intimes. J'ai envie, envie d'eux. Je l'entends, je reconnais ces soupirs, ces gémissements entrecoupés, elle va jouir. Elle jouit, buste accroché, jambes remontées à lui... Il se retire... Son sexe est droit, brillant, si je pouvais le prendrais dans ma bouche, pour la goûter elle... Pour le sentir fébrile. Mon envie se fait plus grand, je glisse un doigt et cogne fortement mon con... Je veux jouir...
Lui... Je ne sais pourquoi avance vers l'antichambre...

17 octobre 2013

Dévorant...



Hermann habite Hambourg.

Un jour je lui ai confié mon envie de goûter à une chope de bière. Une grande chope. J'ai une fascination pour ces grands verres, dont la mousse termine cette boisson avec telle beauté, qu'y poser mes lèvres est devenu un fantasme. L'alcool n'est pas mon fort, et pourtant pour une chope, je me laisserais bien aller. Aussi pour la fête de la bière à Munich en septembre, Hermann m'invita à passer une soirée avec lui et  découvrir le plaisir d'une chope en main.

Mains dans les poches, il m'attendait sur le quai de la gare, un doux baiser, il m'installa dans sa voiture, balança mon sac dans le coffre, une main sur mes cuisses il s'élança vite vers l'hôtel. Voiture garée, il ouvrit le coffre, prit mon sac, ma main dans la sienne, me traina toujours aussi vite vers la réception, clé en main, porte ouverte, refermée instantanément. Il m'allongea sur le bord du lit, releva ma robe, tira ma culotte sur le coté, chatte découverte... J'étais trempée. "J'ai envie de toi" lui ai-je dis.

Il se releva , se déshabilla . Puis me baisa furieusement. 



16 octobre 2013

Schlemmer....


Hermann fin de trentaine, grand, brun est un bel allemand. Je me demande si ce n'est ce dernier détail qui m'a fait le désirer presque immédiatement. A l'annonce de ses origines, je me suis vu telle une fauve face à son dresseur. Je me voyais soumise à toutes ses envies. Je l'imaginais poussant des "Ja! Ja! Ja" en claquant mes fesses.

Aussi la première fois où je m'offrais à lui, alors que nous partageons un missionnaire endiablé, troublant, gourmand que mes mains parcourraient sa douce peau, que mes mains agrippaient ses belles fesses fermes ... Que je sentais sa bite entièrement enfouie dans ma chatte. Alors qu'il allait et venait et que je balançais mes hanches de gauche à droite, mon clitoris et mes lèvres intimes se frottaient contre son pubis, mon plaisir grandissait, je sentais mes jambes frémir... Il s'arrêta et me dit "Drehe dich um""tourne-toi". Ma chatte frémit encore plus fort, un jet de cyprine glissa le long de ma cuisse. Je m'exécutais. Ma croupe offerte, il posa sa main sur ma chatte, la stimula un instant... Je poussais de grand cri. Sa langue remplaça sa main quelques instants puis il me pénétra. 
Hermann est silencieux, pour suivre son plaisir. Il faut être attentive à sa respiration, à son toucher, à ses baisers, lorsque ses mains m'enserrent de plus en plus fort, c'est que son plaisir grandit. Alors qu'il cognait entre mes fesses, le bruit sourd de ses allers et retours remplissaient notre chambre, ses mains empoignaient mes hanches puis une main quitta mes hanches, caressa mes seins, mon ventre et se posa sur mon pubis... Il enveloppait ma chatte tout allant et venant en moi. La fauve que je devenais face à lui perdait tout entendement, je grognais. Fort. Il arrêta. 
Quitta ma croupe, murmura "Lutsche mich""suce-moi" mêlant le geste à la parole, il glissait ma tête vers sa bite. Doucement je débutais en suçant son gland, je longeais sa bite,  léchais son scrotum, frôla son anus... Je levais la tête pour voir son plaisir, yeux fermés, il avait un petit sourire de plaisir, un sourire de satisfaction sur les lèvres. Heureuse je continuais à le sucer avec gourmandise tout en le masturbant d'une main, mon autre main se glissait dans mon sexe. C'était bon. Si bon, sans attendre qu'il ne me l'ordonne... Ma bouche se retira de sa bite, bite que je saisi et l'enfoui entre mes jambes. Je le baisais. Lentement avec gourmandise. Je l'empalais jusqu'à la base de son sexe, je tournoyais, je l'enserrais, je frottais à nouveau mes lèvres intimes sur son pubis... Ses mains m'accompagnaient, je l'embrassais... Un plaisir fou. Un plaisir à me rendre folle. Je jouis intensément. 
"Danke schöner Geliebter" "Merci, bel amant."

5 octobre 2013

Noguerra.


3 octobre 2013

Véloce (2)...

Monsieur est en retard... Je me dis qu'enfin, je vais pouvoir faire demi-tour... Je l'appelle. Il est en retard, oui, mais d'une ou deux minutes, il se gare. Déception. Je vais devoir me contenter de ces quelques minutes que nous aurons. Ma déception fait place à grand sourire lorsque je l'aperçois au loin. L'envie, le désir est presque instantané... Il m'excite.
Un bonjour rapide et nous, nous présentons tous deux à l’hôtel... Une clef... Un ascenseur. Enfin, le baiser... Un baiser doux et gourmand, un baiser collé, si collé que je sens sa queue bandante. J'oscille toujours entre plaisir de le retrouver et déplaisir de ne pouvoir profiter de lui longtemps. Il le perçoit, murmure "détends-toi...".
Nous entrons dans la chambre, il la referme aussitôt, me reprend dans ses bras, nous nous embrassons, ses mains parcours mon corps, sa main glisse dans ma culotte... L'ensemble de ses doigts appuient sur ma chatte, des pressions délicieuses... Je sens naître un plaisir... Discret, lent... Il me traine vers le petit sofa posé au pied de la fenêtre, caresse mes jambes, s'assied, sa tête est à hauteur de mon ventre, remonte ma robe... Un long baiser sur mon ventre, mes mains sur sa tête... Ma chatte palpite. Il descend, sa bouche est maintenant sur mon pubis... Puis il s'engouffre entre mes jambes, tire ma culotte sur le côté, sa langue écarte mes lèvres intimes, il lèche... J'exulte. Il quitte le siège, je lève une jambe et la pose au dessus, il peut avec gourmandise parcourir ma chatte, malaxer mes fesses... C'est si bon que mes reins accompagnent le plaisir qu'il m'offre... J'ai ce plaisir qui monte, qui montre jusqu'à me couper le souffle, il est délicat, gourmand... J'aime.
J'aime percevoir cette envie qu'il veut faire grandir en moi, cette envie qu'il a de moi. Sa langue pénètre ma chatte. J'explose, m’agrippe à sa tête... Il tente de se retirer... Je le retiens... Je jouis. Il étouffe. Mon plaisir est véloce encore une fois... Pourtant ma chatte palpite toujours, très fort... J'ai encore envie de lui. Je le libère, il quitte mon entrejambe, je me baisse, pose mon buste sur le siège, robe toujours relevée je lui offre mon cul. Il baise mes fesses tout en retirant ma culotte... Fesses à nues, je l'entends dégrafer sa braguette d'une main tandis que l'autre tournoie sur mon clitoris devenue hypersensible, légèrement douloureux, je le guide, atténue son rythme...Doucement il écarte un peu plus mes jambes, son gland se pose sur ma chatte...

Ce contact est délicieux. Son gland est chaud, son appui excitant... Écarte mes lèvres... Et me pénètre, il se fige, je contracte ma chatte autour de sa bite, j'aime la sentir ainsi, percevoir sa dureté, la sentir... Elle titille mon col... les mouvements c'est moi qui les donne, je vais et vient lentement, ma chatte dégouline, je suis trempée, ce qu'il voit semble l'exciter un peu plus... J'entends son "Mmmmm" de délice... Il m’enveloppe avec son torse, ses mains saisissent mes seins, une de mes mains se pose sur mon pubis et caresse sa bite dans le même temps que mes ballottement. Il aime, je sens les frémissements de sa bite en moi, il durcit de plus belle... Se redresse, ses mains maintiennent fermentent mes hanches, quelques va-et-vient lents, profonds pour faire renaître mon plaisir, j'aime... Je gémis... Il me parle. Des mots que je peine à comprendre, j'aime, je prends un plaisir dément... Ma chatte se contracte, il se retire... Lèche. Je craque. Il lèche encore. Je jouis. Je me recroqueville, il m'enserre dans ses bras. Combien de temps s'est-il passé depuis que nous sommes dans cette chambre? Je ne sais trop. Je porte toujours ma robe, mes chaussures et j'ai déjà jouis deux fois de suite.

Il continue, baise ma nuque... Je le sens souriant... Heureux, de me voir jouir ainsi... Mais il en veut plus..."Chuttt... J'ai envie de toi...Je vais te baiser..."me dit-il.
Sa bite remplie de mes sécrétions, il redresse mon cul, me baise. Fort, vite, profondément... J'entends les clapotis remplir la pièce, à chaque coup, il cogne mon col, sa bite est si dure, si raide, que j'en souffre. L'entre de mes jambes ruisselle, sa bite glisse de plus en plus vite... de plus en plus fort... Il pilonne ma chatte à grand coup, ses mains empoignent mes reins... Je m'excite. Je sens son foutre monté, son plaisir grandir...Cette douleur devient plaisir... J'aime quand il me baise ainsi, j'aime entendre nos corps s'entrechoquer... J'hurle. Je jouis. Il se retire, et je sens son liquide se rependre sur mes fesses.

Il est 16h. J'ai jouis trois fois. 


29 septembre 2013

Véloce (1) ...

Nous sommes en fin de soirée et je viens réaliser que j'ai complètement oublié de réserver l’hôtel, mais je me dis que ce n'est point grave, je le ferais dans la matinée.
Ce rendez-vous à venir est différent, je traîne un peu les pieds... Moi qui d'ordinaire organise tout jusqu'au moindre petit détail, là, je peine à me mettre dans le bain. Une seule phrase m'a contrarié... "Il me faut être absolument à 16h au bureau". 16h... Cet impératif me contrariait profondément, nous devions nous voir pour 14h. Nous aurions donc deux longues ou petites heures à nous. Il faut croire que j'avais fait mon choix. Ça serait deux petites heures, et comme je suis loin d'être ponctuelle, ça se résumera à quelques minutes. Des minutes que nous avons déjà  su auparavant apprécier, mais là... Je ne m'excite pas de ce rendez-vous à la sauvette. Tout devient difficile, au matin du rendez-vous, je n'ai toujours pas fait de réservation. Lui, tient à ce détail, il aime que je réserve, c'est comme lui montrer combien j'ai envie de lui. Tout est lourd à faire, je peine à choisir une tenue, à choisir ma lingerie. Midi, je réserve finalement. Étonnamment, la standardiste qui d'habitude exige un nom me lance un "Pas de soucis madame, présentez-vous directement à l’accueil". M’a-telle reconnu? Nous avons ce curieux comportement à toujours fréquenter les mêmes lieux. Je me souviens de ce petit hôtel que nous fréquentions régulièrement à nos débuts, si régulièrement que la gérante nous accueillait avec un grand sourire, lorsque je l'avais au téléphone, elle savait exactement qui j'étais. J'étais une de ces putains maîtresses qu'elle semblait apprécier. Hélas, ils ont fermés, il faut croire que nous n'étions pas assez rentable! Tous deux nous gardons une sorte de nostalgie des lieux...
Les heures s'égrainent, je me dépêche, choisi rapidement une tenue, enfile mon string et soutien gorge, mets dans mon sac bas et porte-jarretelles me disant que je les mettrais  rapidement avant qu'il ne me rejoigne dans la chambre. Je me maquille légèrement... Il est 13h20, je suis à trois quart d'heure du lieu du rendez-vous. Je me presse de lui envoyer un message -"Ne m'appelle pas, j'arrive." Je ne cesse de me répéter que nous devons le reporter. A cette suggestion, il avait répondu... "J'ai trop envie de te baiser!". 
Me voilà juchée sur mes talons et hâtant mes pas... Mon téléphone sonne encore et encore, je ne réponds pas, non, il ne vaut mieux pas. Il annulerait le rendez-vous... Tous les rendez-vous. Je saute dans le RER, enfin, je lui envoie un message, "je ne suis pas très loin, je n'aurais que 5 à 10 minutes de retard." Je lui redemande si ça tient toujours. En réponse, une photo me présente sa bite dans toute sa splendeur. Je réalise que nous pourrions être sur les lieux au même moment, je tente d'enfiler mes bas discrètement, je suis seule dans le compartiment...Une jambe...Réussite totale. La seconde, je me lève, essaie de bien le positionner... Satisfaite, je réajuste la première... Catastrophe! Je viens de l'éffiler! Je suis déçue... Ce rendez-vous n'annonce rien de bon. Cette fois-ci, j'aimerais faire demi-tour. Je lui dis que s'il est trop tard, je n'irais pas à l’hôtel... Lui, balaie mon petit soucis avec de mots simple... "Ne t'inquiète pas, tu les oubliera vite tes bas, je vais te consoler..." Je me dis que c'est peine perdue!
Enfin, j'y suis. Il n'est pas là. Il est en retard.
Il est plus de 14h20, il nous reste moins de deux heures.

27 septembre 2013

Le secret...

Elle a 93 ans, jambes croisées, elle paraît rayonnante assise sur ce banc public...Un bonjour timide et je m'installe à ses côtés, petit bouchon sur mes genoux. Elle le regarde sourit, il répond... Gazouille et la discussion débute. Caressant ses joues, palpant ses cheveux crépus elle m'interroge... -Quel âge a t-il? -Vous êtes d'où? Éternelle question à laquelle je prends un malin plaisir à répondre toujours de côté. -De Normandie, Cherbourg. - Cherbourg - Oui, pourquoi? Ne suis-je pas assez pâle? Elle sourit... -Vous avez un joli teint, j'aime ces gens qui viennent d'ailleurs, ils ont toujours le sourire (ce n'est pas faux, ça nous donne un petit air idiot, mais que c'est bon de paraître heureux) -Vos parents viennent d'où? Je réponds, elle enchaîne... Je raconte.... -C'est votre premier? Allez savoir pourquoi je marque toujours un temps d'arrêt avant de répondre à cette question... Je vais noyer le poisson -Alors, nous avons, Jean-Daniel, Gaspard, Marjolaine, Antoine... Heuu... Jean-Daniel... Oui, je l'ai compté. Donc, je reprends Jean-Daniel, Gaspard .... - Dis donc, vous en avez du courage... Je souris... Je m'impatiente des réflexions qui vont suivre, avec le temps j'ai appris à rire de tous les clichés, encore plus lorsque les autres concluent sans savoir... -Les enfants ce n'est pas facile, il faut les éduquer, leur donner une situation... Ça coûte cher. Évidemment, j'ai le teint mat, une panoplie de gosses (?), forcément je ne peux qu'avoir très peu de moyen, une allocato-dépendante. Les yeux brillants je lui réponds... -Je ne vous fais pas dire! Que c'est cher d'élever des enfants... Entre l’école, le sport, les loisirs... Je ne vous dis pas... Je peine  (à régler les notes d'hôtel) à me faire plaisir... -Je veux bien vous croire madame... -Vous travaillez? Bah, forcément, après une telle description il lui faut vérifier comment j'assume... Là encore je prends un malin plaisir, petit sourire aux lèvres, j'aimerais me laisser aller en répondant . -Non. Elle conclurait sans doute que je suis l'épouse d'un dealer, un voyou sans scrupule ou serais-je une parfaite vénale qui prend plaisir à être entretenue... 
Mais non... Je ne vais pas lui faire ça, elle me plaît cette femme à l'allure élégante et si curieuse. Même si, je sais à l'avance que l'annonce de ma profession va arrêter mon plaisir net et nous nous centrerons rien que sur elle. Aussitôt dit, aussitôt fait... Je découvre son âge, ses antécédents, ses nuits difficiles, sa perte d'autonomie... Même si je m'efforce à lui rappeler que pour ses 93 ans elle se porte très bien. Tant bien que mal, j'essaie de la distraire avec d'autres questions. -Vous avez des enfants? -Non... Silence -J'ai une filleule adorable, elle a deux beaux garçons. -C'est mignon tout ça! 
A mesure de la discussion j'apprends qu'elle à toujours vécu dans la maison familiale avec ses sœurs qui sont décédées les unes après les autres et aujourd'hui elle vit seul dans ce grand appartement. (Que j'aurais fort aimé qu'elle me vende en vieux francs, oui, j'habite un vieux quartier populaire(?) de Paris, entre les touristes, les psychotiques artistes, les petits vieux et "bobos" il fait bon d'y vivre.) -Vous n'avez jamais été mariée? -Non... Mais j'ai un ami. 
Un ami? Me suis-je dis. 93 ans et un ami... Mais où a t-elle rencontrer ce "petit vieux". Elle surenchérit -Un ami depuis 53 ans. -53 ans? Et vous n'avez jamais voulu l'épouser? -Il était marié. -Marié? -Oui, il avait sa famille. Son épouse et ses enfants. -Et vous êtes restés avec lui durant toutes ces années... -Oui, encore aujourd'hui... Nous nous aimons. -Waouh! Waouh! J'ai un sourire niais.
Je reste partagé entre le doux sentiment d'une histoire digne d'un roman d'amour et la tristesse d'une vie sacrifiée. Que nenni! -Depuis toujours nous nous aimons... nous nous voyons tous les jours, un peu moins actuellement, ces temps derniers, son état de santé se dégrade...il est malade. En rentrant je vais lui téléphoner. 
Je marmonne ... 53 ans, 53ans... J'ai du mal à croire ce que j'entends, je lui fais répéter. -Vous êtes ensemble depuis 53ans? -Oui, 53ans. Je l'aime. 
Elle à l'air si enthousiaste, si heureuse...Si passionnée. Mais dans mon cerveau cartésien, les questions s'entrechoquent... -Mais pourquoi n'a-t-il pas quitté sa femme? -Il ne pouvait pas, il avait une famille, elle était souvent malade... Il voulait rester avec sa famille. -Et vous? -On s'aimait, je n'avais que le "bon" côté... On ne se disputait pas. Nous déjeunions, bavardions... -Oh! La cochonne! C'est une belle histoire! Son épouse est décédée? -Non... -Oups! Elle à la peau dure dis donc! -Celle-là! Nous rions... 
J'aime la regarder me parler de cet amour qui me parait si invraisemblable et qui semble l'illuminer. -Je ne tiendrais pas 53ans. (Et dire que je pensais avoir battu les records!) -Vous avez un amant? -Qui? Moi? Nooooon! 
Gros mensonge. Mais c'est une voisine. Si le petit bouchon se retrouve sur les genoux de papa à ses côtés, je n'aimerais pas qu'elle lui fasse des confidences. Elle reprend... Me parle de lui... Et conclut. -C'était un bon amant (Ooh! La salope!), il était beau (ils sont toujours beaux.)... 
L'espace d'une seconde j'ai imaginé ces deux petits vieux s'en donnant à cœur joie. Le Kamasutra des petits vieux ce n'est pas très excitants. Mais difficile de les imaginer différemment. Je souris, souris, car il y a fort longtemps lorsque je décidais de prendre un amant, je n'ai de cesse répété qu'il serait mon éternel amant... Éternel, car je ne voyais pas pourquoi nous cesserions de coucher ensemble sinon du fait de la vieillesse. -Vous revenez demain? Reprit-elle... -Non, je travaille demain. Mais mercredi, je serais là... -Si tout va bien... Je vous apporterais de la lecture... De beaux romans d'amour. Me dit-elle d'un œil brillant. J'éclate de rire... Je suis découverte.
L'ironie de l'histoire c'est que deux ou trois jours auparavant je lisais dans le magazine "Psychologie" "Pourquoi elles restent la maîtresse" une suite d'analyse pour lesquelles je ne m'y retrouvait pas. En plus avec Freud comme fil conducteur... Je n'ai pas adhéré. Je n'ai eu tort. Pour preuve cette femme ne correspondait en rien à tout ce qui était écrit notons, tout de même qu'elle a 93 ans. Elle était là souriante, me confiant son bonheur. Quitte à revivre sa vie, elle le revivrait de la même manière sans l'ombre d'un doute. 
C'est peut-être ça le secret de son grand âge. Baiser Aimer simplement.


2 septembre 2013

Suivez le lien...

(Plaisir à lire)

21 août 2013

Happy Birthday...


« La séduction suprême n'est pas d'exprimer ses sentiments. C'est de les faire soupçonner. » 
Jules Barbey d’Aurevilly


(Je viens de souffler une énième bougie... Que d'orgasmes! Merci.)


20 août 2013

Souvenir.

La musique... des sourires échangés, une soirée qui s'étire dans cet appartement trop grand...
Des heures durant nous étions là, spectateurs d'une fête qui nous échappait un peu... Figurants plein de bonne volonté... 
Des heures durant nous avons perdu du temps, jusqu'à ce regard. Deux personnes n'espérant plus rien, coupables du même ennui, au même instant, et qui se reconnaissent... Se reconnaitre sans se connaitre, se retrouver dans ces yeux qui vous retiennent, desquels soudain vous ne pouvez détacher les vôtres. 
Quelques secondes qui font oublier le reste, les autres sens au service d'un seul... plus de musique, plus personne, juste ces yeux....

Plus rien n'existait vraiment autour de nous...

Mais dans ce grand appartement nous n'existions pas non plus pour les autres. Il fut facile de trouver une pièce inoccupée. Elle y était avant moi, je l'avais suivi du regard quand elle s'était levée. Je la rejoignais. Pas un mot échangé, juste le même regard... Je la repoussai contre la porte juste refermée, mes lèvres frôlant les siennes, mes mains remontant le long de ses cuisses sous une petite jupe sombre.
Ses mains derrière ma nuque remontèrent dans mes cheveux et je sentis une pression... Toujours debout contre cette porte, elle conduisit ma bouche jusqu'à son sexe. Une main retenant sa jupe, je fis descendre de l'autre sa culotte déjà humide... Une seconde plus tard je sentais la chaleur de sa peau, les frémissements de son sexe contre mes lèvres. Je ne pu retenir longtemps ma langue, dessinant ses courbes charnues, me délectant du liquide qui emplissait ma bouche. 
Ses mains ne me laissaient aucun échappatoire, pressant ma tête et fouillant mes cheveux... Je pouvais entendre ses gémissements contenus, sa respiration rapide... Je senti surtout la crispation de ses mains, la brulure de ses ongles contre ma nuque, le tremblement de ses jambes avant qu'elles ne s'affaissent...
Je garde le souvenir de sa jouissance, de sa bouche retrouvant ensuite la mienne, de son regard derrière cette porte... Dans cet appartement que je trouvais trop grand.

@TwittosAnonyme

12 août 2013

5.

Tour à tour nous avons souri à la découverte de cette chambre... C'était doux. Si doux, que j'en étais venu à ressentir un voile amoureux me recouvrir. Je baisais tendrement sa bouche. Un des rares baisers où mon cœur palpite plus longtemps que mon entrejambe. Je me sentais fébrile dans ses bras, je le sentais fébrile. L'ensemble de ces signes présageait quelque chose de beau à venir, mais en cet après-midi d'été, ce que nous allions vivre allait bien au delà d'un grand moment de plaisir.
J'avais envie de lui faire l'amour, de le baiser, d'être là pour lui. D'être dévouée à son plaisir, je voulais être sa putain... Doucement j'ai déboutonnais sa chemise, j'ai parcourais son torse avec ma bouche, je  baisais, je humais, je frôlais, de petites caresses qui hérissaient ses poils... Puis je me suis agenouillée face lui, je le voulais dominant, je me voulais soumise... Baisant son ventre tout en dégrafant son pantalon, je sentais au rythme de sa respiration, l’affolement de son pouls, je m’apprêtais à prendre sa bite entre mes lèvres...
Lorsqu'enfin son sexe fut bien droit à hauteur de ma bouche, je m'abaissais pour lécher ses couilles, j'aime l'effet de ma langue sur cette partie de son corps, j'aime les voir se recroqueviller et sa bite gesticuler. Délicatement je remontais du scrotum à sa bite, ma langue tournoyais autour de son gland, je baisais cette bite qui m'avait tant manqué... Je la pris entre mes lèvres, ma bouche pénétrée, j'allais et je venais... Plus je descendais, plus sa main posée sur ma tête apposait une pression pour que je la prenne entièrement... Fastidieuse gymnastique, mais à mesure que je me rapprochais de la base, je sentais sa bite grossir et durcir de plus belle... Il s'excitait à me la mettre au fond de la gorge... 
Je l'allongeais sur le lit, au dessus, j’enfonçai sa bite au plus profond de moi, de mouvements lents, très lents accompagnaient mes va-et vient, je n'allais pas la chevaucher, je voulais tourner ma chatte autour d'elle, je voulais l'enserrer, je voulais qu'elle soit aussi profond à m'en faire mal... Je contractais ma chatte en longeant sa bite, mes allées et venues restaient très lent... Jusqu'à ce qu'il sente couler le long de sa bite mon liquide chaud... Moment que je choisi pour me retirer et reprendre ce sexe dégoulinant en bouche... L'odeur de ma chatte et la cyprine sur sa bite m'excitait... Je descendais encore et encore sur sa bite, atteignant de temps en temps la base, je l'entendais gémir de plaisir, ses mains se cramponnaient à ma tête, m'immobilisant, il baisait ma bouche. Je restais figée, et surprise de me voir ma bouche devenue un con... Je sentais son foutre monter... Il hurlait de plaisir... Des mots que je peinais à comprendre tant ses mains bouchaient mes oreilles... A son dernier cri... Je senti, un jet puissant se déverser dans ma bouche ouverte, ses mains lâchaient ma tête, son torse basculait en arrière, ma main prit sa bite, je continuais ma fellation tout en caressant son sexe.
Puis, délicatement je senti à nouveau sa main sur ma tête, il releva ma tête, ma bouche remplie...Il m'embrassa. Je l'embrassais... A son tour, il goûta à son foutre. 

Ma bouche baveuse... Je jouissais serrée dans ses bras. 


7 août 2013

Désir Quand Tu Me Tiens...


C'était trop beau pour être vrai, il était trop beau pour être vrai...

Assise sur la terrasse de ce café, il venait d'apparaître face à moi telle une illusion... Il portait ce regard tendre et doux, un corps athlétique... Sa petite barbe d'un jour lui rajoutait une touche de virilité. Il pouvait paraître banal avec son bermuda et ses tongs, mais pour moi il avait le petit détail qui ne trompe pas... Il avait de belles mains, une manucure impeccable... J'entrevoyais déjà toutes les belles choses qu'elles auraient fait à ma chatte, qui presque instantanément s'humidifiait.

Lorsque le serveur s'approcha pour prendre sa commande, le timbre de sa voix me fît vibrer de plus belle... L'imaginant murmurer à coup de tape sur mes fesses des mots cochons. Sur ma chaise je ne cessais de bouger, mon envie de son corps grandissait. Je croisais et décroisais mes jambes pour finir par les maintenir croisées ainsi mes cuisses pouvaient par frottements apporter des caresses à mon clitoris...Je m'adonnais au plaisir de la masturbation sous ses yeux. Il n'en savait rien.

Après quelques hésitations, je me redressais comme pour me présenter à lui, pour m'offrir à son regard... Je découvrais la splendeur de cet homme, de blanc vêtu il paraissait presque rayonner... Je m'imaginais faufilant sous cette table, dégrafant sa braguette et prenant plaisir à sucer sa queue. Une belle queue qui durcirait encore et encore entre mes lèvres.

Perdu dans ce rêve, cuisses trempées, je vis un homme aussi magnifique que lui l'approcher...

C'était trop beau pour être vrai... Il aimait les hommes.

La déception me gagna... Un instant... Rien qu'un instant, tant le tableau qui se peignait devant moi était magnifique. Ces jolis garçons échangeaient un baiser, un de ces baisers qui vous font comprendre que l'envolée ne peut qu'être torride. Mon désir grandit, je ne voulais plus de lui mais d'eux. Je voulais me joindre à eux, je voulais que chacune de leur mains se pose sur chacune de mes cuisses pour caresser mon entrejambe, je voulais être au milieu d'eux l'un baisant ma bouche, l'autre léchant ma chatte....

Je souhaitais le prendre dans ma bouche tandis que l'autre me pénètrerait profondément en levrette, sentir ses coups de reins qui ne feraient qu'enfoncer la bite de son amant dans le fond de ma gorge. Je voulais être leur gourmandise.

Mais surtout ce dont j'espérais le plus c'était de les voir faire l'amour, les voir échanger des caresses, des baisers... J'espérais surprendre leur mains s'entrecroiser pour se poser sur le sexe de l'autre, je voulais voir ces caresses mastubatoires d'homme à homme.

C'était trop beau pour être vrai...

1 août 2013

Badinons... Fredonnons.




Amies féministes ne vous méprenez pas Natoo nous dit tout.

17 juillet 2013

Aussi Simple...

À force d'écrire des histoires cochonnes, je vois du cul partout. 
Après une année bien chargée, voilà ma grande famille et moi sur la route des vacances. Cette année se sera un coin de paradis français, le paysage est magnifique, bien que le trajet soit long nous devinons déjà le bonheur à venir. Arrivée tard sur le lieu de notre hébergement, je découvre un principe que je ne connaissais pas... C'est comme un camping sans être un camping. Grande entrée  sécurisé, grande et longue allée, grand parking où les voitures sont plus grosses les unes des autres (je suis persuadée qu'ici il n'existe aucun tordu pour rayer mon vieux tacot!) ... Et enfin un groupement de petites maisons. Ça m'a l'air sympathique, assez curieux mais sympa. Épuisés nous ne déchargeons que le strict minimum. Le reste sera fait le lendemain. À ce titre, l'homme ayant conduit des heures durant parce que femme déteste conduire, je décide de m'occuper du reste des bagages dans une tenue confortable... l'éternel et indétronable pyjama. Il en existe de super chic sur le marché, le mien celui que j'enfile lorsque je joue les mères parfaites a été offert par mes enfants, alors je ne vous dis pas, le côté hyper sex que j'ai... Cheveux en bataille, tong et joli pyjama limite  genou, me voilà approchant le parking, tout à l'air si calme, la matinée est fraîche...Je pense être seule, lorsqu'au détour du virage qui mène à ma voiture j'entends:
- Papa.. Un Bip bip...
Oui, j'ai magnifique pyjama. Il a une couleur vive, des yeux et un magnifique sourire. Mierda! Je suis découverte! Amusée je souris à ce petit homme. Et son papa lance...
- On va le croquer!
M'adressant au petit homme...
- Cochon! Pour le grand. Ah, non! Il ne vaut mieux pas, je risque de t'abimer les dents.
Et là comme par enchantement entre les saluts respectueux, les grands yeux du petit homme et le petit rire parental... Je me vois croquée... 


L'abus de texte érotiques peut être nuisible pour la vie en société. 

Passez de bonnes vacances.

6 juillet 2013

Badinons... Fêtons...

Aujourd'hui c'est la fête du baiser... Peut-être pas celui-là, mais le baiser sous toutes ses formes et surtout avec ses bienfaits.
Je vais donc pouvoir dire à mon séduisant voisin... 
"Fêtons le baiser, embrassons-nous... Exceptionnellement vous pouvez glisser votre main dans ma culotte..."
Quitte à perdre des calories, autant bien le faire. 
Bons baisers à tous.



4 juillet 2013

Mise En Quarantaine...

Il est un peu plus de midi et demie, une rue de la banlieue parisienne, je tourne encore et encore en voiture depuis plusieurs minutes recherchant désespérément le lieu du rendez-vous. Il faut dire que je n'ai vraiment pas le sens de l'orientation, lui s'impatiente, mon téléphone ne cesse de sonner, je ne réponds pas. Non, parce qu’il est de nature impatient, si impatient qu'il hurle dès que je lui réponds ne pas savoir exactement où je suis... Enfin, je trouve l’hôtel. Il est devant. M'étant occupée des réservations, je lui fais remarquer que l'adresse ne semble pas correspondre au lieu où nous sommes, il entre se renseigner... Non, ce n'est pas le bon hôtel, cette chaîne compte deux hôtels dans le même coin, nous remontons donc chacun dans notre véhicule, cette fois-ci il exige que je le suive... Dieu qu'il roule vite!
Un peu plus loin nous sommes au bon endroit, le temps de me garer, il saute de sa voiture, se hâte de récupèrer les clefs, me rejoins alors que je descends à peine de ma voiture, prend ma main et me conduit toujours aussi vite vers l'une porte de cet hôtel dont toutes les chambres sont en plein pied. 
Ouvre, me laisse entrer, j'avance quelque peu pour faire le tour de la chambre, je me retourne, il est déjà face à moi, sa bouche se colle à la mienne, son souffle est fort et rapide, ses mains sur mes jambes remontent ma robe... Il me traîne un peu partout dans la chambre, tente de me poser sur le bureau... Il est bien trop petit, je peine à écarter mes jambes, me traîne à nouveau cette fois-ci vers le lit, allongée sur le dos, les fesses au bord du lit, il s'accroupi, retire ma culotte, je lui demande d'arrêter c'est un peu trop rapide, il me fais signe de me taire... Dégrafe son pantalon, baisse son caleçon, sort une bite turgescente, mes jambes sur ses épaules, il me pénètre sans ménagement... Mon petit cri de douleur laisse vite place au plaisir d'être prise... Il pilonne ma chatte avec une telle force et une telle rapidité que les clapotis de ma chatte ne tarde pas à arriver... Je ruisselle... Je veux arrêter, ne pas jouir de suite... Il baisse mes jambes, plaque mes bras... Ses va-et-vient deviennent secs, longs et profonds... Il cogne le fond de mon con avec une telle force que mon plaisir en devient presque douloureux... Je serre fort nos doigts entrecroisés, immobile je suis... Il me baise toujours aussi fort, je contracte ma chatte autour de son sexe, peut-être arriverais-je à ralentir ses assauts... Son souffle grandit, il prend du plaisir... Sa bite semble s'engorger de plus belle... Je recommence à en prendre... C'est fort, douloureux et bon... Dans le creux de mon oreille il me murmure...
Je t'interdis de me priver de ta chatte aussi longtemps!
Le coup est si sec, si profond, si fort... Que nous jouissons... Il laisse retomber le poids de son corps sur moi, je continue à convulser de plaisir... Le manque a du bon. 


23 mai 2013

Il s'en est allé...



Cet homme m'a tant fait rêver...

17 mai 2013

Couleur Ebène.

Dans un fantasme si chacun des partenaires se retrouve, on peut alors affirmer que l'équilibre est atteint...

Lui rêvait rêvait d'exotisme... Elle, elle est espérait l'inconnu...


Il lui avait confié son désir pour les femmes d'ailleurs, son amour pour l'Afrique et sa culture mais aussi sa fascination de ces danses traditionnelles où le ballottement des hanches des femmes n'avait cessé d'envahir ces nuits. Il rêvait de caresser sa peau couleur ébène, de baiser ses lèvres charnues et de découvrir son intimité.
Elle, elle espérait ne rien voir... Ne pas le connaître... Juste être transportée.
...
En ce midi de printemps, j'avais choisi une petite robe à pois et une petite paire de sandales à talon haut, je hâtais mes pas vers la place des Ritournelles. Cela faisait plusieurs semaines que nous pensions à ce rendez-vous, il nous fallait trouver un équilibre entre nos deux fantasmes, j'allais m'offrir à son regard et il allait me faire découvrir l'ivresse de l'inconnu.

Comme toutes les premières fois, plus j'avançais vers cette place, plus mes pulsations augmentaient, il pouvait être n'importe qui, du passant pour qui j'étais invisible à cet homme qui littéralement me baisait aux yeux de tous... "Il" pouvait tout aussi être "elle". Oui, elle car je ne connaissais pas le son de sa voix, il avait interdit tout échange téléphonique. Il souhaitait découvrir le son de ma voix au moment même où il caresserait pour la première fois ma peau...Cette condition m'avait fait rire pendant plusieurs jours... Espérait-il percevoir un petit air Soninké, Bambara, Wolof, Dioula voir Bété... Pensait-il que j'allais rugir, grogner ou barrir au moment de ma jouissance? Fantasmait -il que sa tigresse, sa féline lui susurre des mots dans sa langue maternelle?...

Il me souhaitait simple, naturelle... Hélas, je ne pouvais me parer de la belle tenue Massaï au risque d'être poursuivi pour attentat à la pudeur ou d'être frappée d'insolence de n'aimer ma belle France.
Aussi, à l'instar de Marie Guilhelmine Benoist, sa négresse d'un jour se mettra donc au rang de ces maîtres. Elle fera de lui son esclave et ne daignera porter son regard sur lui. Perdue dans mes pensées je ne remarquais que trop tard que j'étais depuis plusieurs minutes sur cette place. A cet endroit j'étais depuis quelques secondes sous ses yeux, il me découvrait... Je l'imaginais souriant... Je l'espérais bandant.
Mon portable me tira vite de ma rêverie, un mail...
"Quittez la place et dirigez-vous sur la rue Brocherie... Au numéro inscrit demandez Maria."

C'était un petit restaurant, je me souviens lui avoir confié que j'appréciais les cuisines traditionnelles, qu'en ces lieux entre plats et desserts quelques fois je prenais  plaisir à scénariser mes fantasmes... Une petite attention pourrait-on penser, mais une attention qui me fît penser qu'il me baiserait aussi bien que je l'avais rêvé.

A peine que j'entrais dans ce restaurant que la belle Maria au bel accent italien me rejoignait, il était évident que j'étais attendue... Intimidée et très inquiète, je chuchotais les raisons de ma présence... Elle, souriante, et moi avec comme une envie de me terrer... Je le sentais, mon inconnu était dans cette même pièce... Convenais-je à son fantasme de femme noire? Une fois installée, je n'eus le temps de commander qu'elle m'apporta de plat distinct des "Agnolotti 4 fromages" et des "Cannelloni à la torinese", c'était assez surprenant, deux plats?  Une enveloppe accompagnait mes plats, mon inconnu avait entre autre glissé une carte magnétique de la chambre d'un hôtel situé  place Grenette, ainsi que quelques mots...

"Lorsque vous quitterez ce lieu, comptez vingt minutes pour que je vous rejoigne..."
Ps: Ces deux plats, sont ceux qui m'apportent beaucoup de plaisir... Je n'ai pu choisir...

Indécis? C'est une femme... Oh! Non... Non, non pas une femme... Je ne sais faire avec une femme, j'en serais tétanisée. Après que je fis mine de goûter les différents plats, n'ayant cœur à prendre un dessert, je quittais le restaurant pour l'hôtel... Plus inquiète, qu'excitée.
Je me déshabillais, retirant l'ensemble de mes sous vêtements... Sous mon déshabillé, il me voulait nue.

"Écartez vos jambes et laissez-moi regarder la couleur de votre sexe comme lors de mes nuits d'adolescence où je cherchais à discerner le tréfonds de ces femmes noires, attirance des profondeurs abyssales dont les ombres ne s’effaçaient jamais suffisamment et pour lesquelles toujours j'aurais voulu franchir l'écran, me rapprocher au plus près, sentir, entendre, voir et toucher. Aller au plus loin encore et plonger dans les eaux opaques et troubles. Cette fois, j'ai franchi l'écran et ma langue s'applique à recouvrir le plat que vous m'offrez à déguster..."

Je me bandais mes yeux... D'abord allongée sur le lit, je me dis qu'il valait mieux que je me tienne debout face à la fenêtre, dos à la porte, lorsqu'il entrera il n'aura qu'à avancer vers moi...
Je ne me souviens plus exactement de toutes les pensées qui me traversèrent, j'étais frêle...
...

Lorsqu'il vint à moi, il dégagea ma nuque, baisa mon cou, puis me murmura un "bonjour"... La sensation de ces mains fortes sur corps, la raideur de son sexe que je sentais appuyé sur mes fesses, attisa mon désir... J'aimais ce temps qu'il prenait à humer mon corps... Ses mains posées sur chacune de mes cuisses glissèrent très vite sous le fin tissu. J'écartais mes jambes, une caresse effleura ma chatte, son souffle augmentait... Le mien également.

Lorsque mon déshabillé tomba, il empoignât mes seins, toujours dos à lui, il me serra contre lui, son sexe était toujours aussi vif... Je me cambrais un peu plus pour coller d'un peu plus près nos sexes... Sa langue passait sur mon dos, arrivait sur mes fesses... Je dégageais encore plus mes jambes, bouche et nez s'enfouirent entre mes jambes... Mes gémissements s'entendaient, le ballottement de mes hanches accompagnait sa découverte... Je le devinait humant et goûtant au sexe de sa négresse... C'était délicieux, d'une gourmandise et d'une douceur insoupçonnées. Mon inconnu aimait ce jeu... J'agrippais sa tête, je voulais qu'il reste là... Il suça, lécha et me porta à mon premier orgasme.

Lorsque sa bouche se remplit de mes sécrétions, il se releva, je sentis sa braguette s'ouvrir... Il renversa mon buste en avant et me pénétra....
"Oh! Que c'est bon..." lâcha t-il....

Oh! Que oui, ce fut bon...





(Lorsque la fiction s'entremêle avec le désir, les mots...! Le Fantasme est fort.)



14 mai 2013

Badinons...Cravachons...

La semaine dernière je suis allée à une expo, cela faisait un bail que je n'avais pris de temps pour moi. Donc ce fut un grand "événement". Un moment que j'ai fort apprécié. 
Une expo dans un petit bar parisien. Par habitude, pour ce genre de sortie, j'appelle Vincent pour m'accompagner. Vincent est grand copain, je l'adore, j'aime me pavaner à ses côtés, c'est le parisien un peu chic, un peu fou, au fin de mois difficiles mais vivant dans les beaux quartiers. Il est magnifique. Bon nombres de fois, j'ai voulu le casé, puis je me suis ravisée. Non, je le préfère célibataire. La quarantaine, magnifique et célibataire. Des fois que je divorce. Que c'est bon de me trémousser face à lui. Sauf que la semaine dernière, c'était Vincent qui exposait. C'est un artiste. Il peint. Depuis bien longtemps. Face à ses toiles, j'ai souvent un curieux sentiment. C'est comme si je le découvrais, comme si je ne le connaissais pas... Il peint des trucs bien sombres, tortueux... Qui limite me font peur. Et lorsque je pose les yeux sur lui, il est si resplendissant, plein de vie que je n'arrive jamais à commenter ses peintures. J'ai pour seuls commentaires "Ah, ouais..." "Ouais...Mmm" "Ouais... Tout de même..." "Ah! celle-là, je ne l'avais pas vu". Je suppose que j'en dis beaucoup, qu'il doit comprendre. Parce que je suis incapable moi-même d'en faire une traduction.
J'étais donc là au 1er étage de ce bar pour encourager mon ami, un peu perdu, je ne connaissais pas grand monde, bien évidemment Vincent ne pouvais pas se libérer, son frère me tenu la conversation quelques minutes, puis, je me décidais à faire le tour l'expo, c'était le but. Peinture après peinture, je ne cessais de me questionner... Mais d'où tient-il son inspiration?
Continuant l'expo, dans un recoin, je tombais sur une série plus lumineuse (en comparaison de ce qui précédait)... Du nu, un peu radical à mon sens tout de même... Comme un clash, qui vous prend de court.  Des femmes, des  corps, des couples... Une atmosphère assez particulière, je ne pu m'empêcher de penser que cet homme à l'allure délicate était sans doute une brute au lit. "Il doit en remuer des lits" me suis-je dis. Petit sourire aux lèvres, éclat de rire intérieur, je m'avançais pour découvrir un autre tableau... Et là! Sapristi! le portrait d'une femme noire... J'ouvrais grand les yeux. Non, il n'avait pas fait ça! Certes, je n'étais pas la seule femme noire qu'il fréquentait, non, il en connaissait pas mal, d'ailleurs fut un temps où son amoureuse était une jolie jeune femme noire. Mais ce portrait était... Comment dire, étonnant . Il représentait une femme aux seins débordants... Débordants et pointus. Là pour le coup, s'il avait été à mes côtés, je lui aurais dis "Non, mais, tu n'images pas mes seins comme ça!" et sans doute qu'il m'aurait répondu comme tous les artistes "Ce n'est pas avec des mots aussi simple que l'on décrit un tableau." Mais bon tout de même... On ne voyait que ça. Des seins énormes.
J'étais comme figée. Incapable de décoller mon regard... Un autre visiteur s'en est rapproché, un homme, je me suis légèrement décalée pour qu'il puisse avoir une bonne vue...C'est alors qu'il me dit... "Oh, elle à de grands yeux..." "De grands beaux yeux..". J’étais stupéfaite... C'était une blague? Il se payait ma tête? Sur ce tableau là, on ne voyait pas que ses yeux, certes, ils étaient grands, mais les seins débordaient du tableau. J'eus un fou rire. Un rire nerveux. Il rit à son tour, et toujours sur sa lancée il surenchérissait "mais si, elle a des grands beaux yeux..." en quelques secondes, j'eus une panoplie  réponse, devais-je lui dire...
"Est-ce du fait de mes seins débordants, que vous hésitez tous commentaires?"  Réponse de la fille frustrée. Ou "Vous me trouvez grosse?" celle de la fille mal dans son corps. Ou encore "Ah, mais non, ce n'est pas moi..." celle de la fille persécutée. Voire "Vous voulez me baiser?" celle de Vellini... Ah mais c'était sans doute ça! Il me voyait nue... J'eus comme une étincelle dans les yeux... En plus d'une révélation.
Il fallait le punir!



Allez! Appliquez-vous!



29 avril 2013

La minute Vérité Absolue.

Je saisi l'occasion du tag de Calamity pour mettre mon âme à nue...

Le principe veut qu'à mon tour je désigne des blogueurs avec mon flot de 11 questions, il se trouve que la plupart des blogs que je suis, les auteurs ont été taggés. Donc... Je déroge un peu à la règle.

1.Combien de fois avez vous aimez?
J'ai aimé chaque homme qui est entré dans ma vie, de forts sentiments, des flirts de vacances à l'amant, ils ont tous eu une part importante, je les ai souvent  mis sur un piédestal, cependant si l'on parle de cet amour où l'on se pense prêt à mourir pour l'autre, celui qui vous tord les boyaux, vous coupe le souffle à tout va, celui où le temps passé ensemble devient trop court... J'ai donc aimé deux fois.
La première fois j'avais 15 ans, je l'ai vu la première, il jouait à un jeu de dames, concentré sur sa partie il ne m'avait même pas remarqué, j'ai eu un véritable coup cœur. Quelques jours plus tard, il se présentait à ma porte, j'ai frôlé la syncope. Il ne venait pas pour moi, non, il jouait les coursiers en portant un message d'adolescent de son cousin a une de mes cousines venues passées quelques jours chez nous. Ce fut le coup de foudre, on a beau dire que le coup de foudre ne dure que quelques temps, notre histoire a duré 4 ans, quatre ans où tous les jours je l'aimais un peu plus, si ça ne tenait qu'à moi, je l'aurais sans doute épousé.

La seconde fois, ce fut l'année de mes 21 ans, je quittais ma vie parisienne pour le sud de la France. À peine que je traversais le seuil de l'appartement où j'allais être accueilli que j'ai croisé son regard. Il avait de beaux yeux magnifiques. Le ciel raisonnait à nouveau. Lui n'étant que de passage et n'habitant pas cette ville, durant plusieurs mois nous nous téléphonions. Nous restions des heures à discuter. Prémices de mes cochoncetés téléphoniques, je ne disais presque rien, me contentant de rire de ses envies. Lui, je l'ai épousé.

D'ailleurs, pour la petite histoire c'est avec lui que j'ai eu mon premier orgasme vaginal. Avant lui je me pensais clitoridienne, j'avais pour habitude d'être porté à l'orgasme lors des préliminaires. Lorsque j'ai connu celui qui allait devenir mon époux, M. n'était pas porté sur de longs préliminaires, j'ai pensé que ça allait être une catastrophe. Non, bien au contraire, j'ai découvert l'explosion du plaisir lorsqu'une bite bien dure vous pénètre, ces premiers millimètres, où le gland s'enfonce délicatement dans un con étroit. Le plaisir que les va-et-vient vous procure. C'était grandiose. Je me souviens même, que je le tapotais dans le dos quelques fois pour l'arrêter et lui demander d'aller dou-ce-ment tellement je voulais situer le point qui m'apportait autant de plaisir.
2.Quelle est la pratique sexuelle dont vous ne pourriez vous passer? 
Sans aucune hésitation: la masturbation. La masturbation fait partie de l'histoire de ma sexualité, j'ai débuté très tôt mes plaisirs solitaires, j'ai toujours apprécié ces moments où je fais l'amour avec moi-même, d'ailleurs, je ne mime que très rarement une pénétration. J'aime les hommes qui se branlent. J'aime la pratiquer à deux. J'aime m'installer et simplement regarder l'autre faire. C'est d'un délice... 
3.Quel cadeau feriez vous à votre amant pour son anniversaire? 
Ouille, ouille! Pour faire dans l'honnêteté totale, il faut que je vous avoue qu'en général mes cadeaux sont un peu irréfléchis, je pense que j'ai du mal à faire la différence entre ce que l'on peut offrir à un amant et a un ami. En général lorsque je fais un cadeaux j'aime être proche des envies de la personne qui le reçoit, et ça donne parfois des scénarios improbables. C'est ainsi qu'une année je me suis vue offrir un long week-end à James au Canada. À voir sa tête, je pense qu'il s'est dit que j'avais perdu la raison. "Mais comment veux-tu que j'explique à ma femme que je pars pour un week-end à Montréal sans elle?" Heuu.... Oui., c'est peut-être trop. Je me trouvais con. Aujourd'hui, je m'attache à de petits cadeaux (pour ma part une journée de jambe en l'air n'est vraiment pas un cadeau. Sauf si je ramène une copine. ^^) Un livre, un cd... Même si l'envie est de lui offrir ma petite culotte.
4.Votre lieu préféré pour vos ébats? 
La banquette arrière d'une voiture. Certes tortueux mais entre le plaisir, la proximité et un soupçon d'exhibitionnisme, je jouis doublement. C'est dans cette posture que j'ai eu mon plus bel orgasme.
5. La chose qui vous rebute chez un(e) partenaire?
L'odeur particulière et propre à chaque individu qui se dégage lors d'une l'excitation sexuelle ou après un orgasme que l'on porte un parfum ou non et ce n'est guère l'odeur d'un con ou du foutre. D'ailleurs je ne sais à quoi tient cette odeur, ni même si elle existe vraiment, des fois je me demande si ça ne tient pas seulement à moi.  Donc soit cette odeur m'excite encore et encore soit elle m'ôte toute envie. 
6. De quel accessoire sexy aimeriez vous user? 
Un accessoire? Les sex-toy et compagnie ont le don de me faire mal... J'userais de la lingerie.
7. Votre plus grande frustration?
Celle d'avoir réalisé que jamais je ne ferais parti de la tribu des Goranes*. Vous vous demandez sans doute ce que c'est ce charabia. Les Goranes sont un peuple nomade du Sahara. Dans cette tribu, les femmes ont une particularité qui à mon sens leur vaudrait de tas de médailles. Elles accouchent seules. Seule chez elle, c'est seulement lorsque l'expulsion à eu lieu et qu'elle ait coupé le cordon, que la parturiente appelle le reste de la tribu. Une grande frustration pour moi, qui n'a recours qu'aux césariennes. Et pour couronner le tout j'ai lu il y a quelque temps que certaines femmes pouvaient avoir un orgasme époustouflant au moment de l'expulsion. Grande déception. Oui, ma plus grande frustration c'est de n'avoir accouché par voie basse. J'ai le sentiment de n'avoir été au bout de quelque chose.
8. Qu'est ce qu'une belle relation pour vous?
C'est celle où la confiance rime avec le respect.
9. Quel animal vous représenterait le mieux?
Je n'y ai jamais pensé. Je dirais Lion. Lion de mon signe astrologique. Sourire. 
10. Qui symbolise l'érotisme pour vous? 
Qui? Une personne? Une personne de mon entourage? Une personne connue dans le monde? Un blogueur?
Pour rester dans le monde des blogueurs... Je dirais Cara Mia. Cette jeune femme me subjuguait. C'était l'érotisme incarné. Il y avait une sorte d'harmonie entre sa plume et ses photos. Moi qui déteste les photos de chattes en plein écran sous prétexte que le sexe féminin me parait laid. Chez elle, je trouvais la chatte magnifique, tout était en parfaite harmonie, une lèvre n'en dépassait pas une autre, la voûte avait le meilleur rebondi, la vulve avait un ovale délicieux... Sourire. Plus sérieusement ses nues étaient d'un érotisme absolu. J'ai tellement aimé Cara, que je n'ai pu suivre Selina. C'est couillon mais c'est ainsi. Dieu que j'ai maudit cet homme qui avait tué Cara.   
11. Si vous aviez le droit de choisir un talent, lequel choisiriez vous?
Sans l'ombre d'un doute... L'écriture. Les écrivains me fascinent, j'aime cette capacité qu'ils ont de nous transporter, de nous faire traverser différentes émotions. De nous faire rire, pleurer, réfléchir, grandir. Je jalouse leur imaginaire débordant, leur sensibilité.