18 décembre 2013

Transbordés... (2).

La Luxure. C'est le péché que j'avais choisi. N'étais-je pas une débauchée qui allait se perdre dans les bras d'un inconnu. N'étions nous pas dans l'exubérance à la recherche presque obsessionnelle d'un plaisir sexuel. Nous allions nous abandonner au plaisir interdit. Et cette chambre me convenait parfaitement. Ce miroir qui plafonnait dans notre chambre allait agrémenter notre plaisir. J'aime voir le reflet des corps qui se désirent. Le contraste de nos peaux, la gourmandise des caresses...
Plus nous avancions vers l'hôtel, plus mon cœur s'emballait... Mes angoisses n'étaient plus sur mes rondeurs mais sur le plaisir que j'allais prendre, mes premières fois sont assez délicates... J'ai un peu de mal à me laisser aller, non pas que je manque de désir, bien au contraire je déborde de désir... Tellement que j'ai du mal à lâcher prise. Les premières fois, bien souvent je nous regarde nous désirer... La seconde fois, je m'abandonne... Et là, nous savions qu'il n'y aurait pas de seconde fois. Mon plaisir, il me fallait le vivre presqu'immédiatement. 
Dans l'ascenseur, il me reprit dans ses bras. J'étais frêle. Je l'embrassais de nouveau. L'ambiance intime des lieux... Cette lumière tamisée, me rapprocha un peu plus de lui. Il avait ce petit quelque chose de délicat... Ses caresses, ses baisers étaient d'une délicatesse absolue. C'était bon. Dans la chambre, une fois la porte refermée derrière nous, c'est moi qui fit les premiers pas vers lui... Je l'embrassais encore et encore. Ses mains se limitait à ma nuque, à mon cou... Délicatement il prenait mon visage entre ses mains et il m'embrassait. Cette fois, je senti mon corps tout entier se remplir de désir...Ma chatte palpitait... Lorsqu'elle frémis ainsi, je gesticule... Mon souffle s'accélère... Je gémis... 
Nous continuons debout en plein milieu de cette chambre que nous n'avions prit le temps de visiter à nous embrasser... Je me collais de plus en plus à lui... Il arrêta de m'embrasser et murmura... - Que c'est bon de t'embrasser... Que c'était bon de l'embrasser... Je n'avais plus embrasser ainsi depuis bien longtemps. Ces baisers qui nous donne le sentiment d'être précieux. Il y avait du désir, beaucoup de désir. Je le laissais me déshabiller. A mesure qu'il découvrait mon corps, il le baisait. Ce qui doucement diminuait mes angoisses. Il découvrait mes épaules, Il retira rapidement mon soutien gorge... Sa bouche sur mes seins, ils les baisaient, les léchaient... C'était bon de m'accrocher à son cou et le maintenir fort contre mes seins... Nous restions toujours là en plein centre de la chambre. Je le laissais faire... 
Il m'entraina vers le lit, m'allongea, j'écartais mes jambes pour qu'il se fasse une place entre mes jambes, je sentis ses mains relever ma jupe, caresser sur mes cuisses, et saisir mes fesses...Je pris sa main pour le glisser dans ma culotte au plus près de ma chatte. J'allais commencer à me branler sur ses doigts quand brusquement je le sentis retirer ma culotte, il se relevait dégrafait son pantalon, baissait son caleçon, je faisais face à sa bite, revint vers moi à moitié habillé, relevait à nouveau ma jupe, prit une jambe sur son épaule et sa bite s'enfonça dans mon con. Ce fut l'explosion. Il me baisait délicieusement, lentement... A chacun de ses allers-retours, je le sentais jusqu'à la garde. Nous ne disions rien, seul nous souffles, mes petits cris presque inaudible flottait dans la pièce, je sentais s’écouler sur mes fesses mes sécrétions... Énormément. Je l'arrêtais pour lui demander que j'éponge un peu... -Je suis trempée... Lui avais-je dis. -C'est bon... -Je veux prendre une serviette. -Non, j'aime. 
Et nous repartions dans cette positions des plus banales, mais qui offre un plaisir des plus grands, il continua à baiser ma chatte, nos langues entremêlées, j'agrippais ses fesses et le plaquais encore un peu plus profondément en moi... Mes cris discrets devint de grand cris, je lui fit signe d'échanger nos places, toujours l'un d'un l'autre, je me retrouvais au dessus chevauchant sa bite. Je prenais plaisir, beaucoup de plaisir à chevaucher et frotter ma chatte contre son sexe. Ses mais m'accompagnaient, caressaient, malaxaient mes fesses... - Mon chéri*, je vais jouir... En guise de réponse, il me renversa à nouveau, et pilonna si bien ma chatte qu'entre l'aboutissement de mon plaisir, je l'entendis jouir également. Les spasmes de son corps tout entier contrebalançaient la force avec laquelle je m'accrochais à lui à lorsqu'à mon tour les spasmes de mon plaisir explosaient dans le bas de mon ventre. 
- Vellini c'est mon prénom, et toi? 
- Comment voudrais-tu m'appeler? 
- Heuuu... Hermann?
- Mais c'est horrible Hermann!
les présentations faites, nous nous déshabillons, glissions sous les draps... Il allait enfin m'offrir une levrette.



*Mon chéri?? Le sexe me perd complètement...