17 juillet 2013

Aussi Simple...

À force d'écrire des histoires cochonnes, je vois du cul partout. 
Après une année bien chargée, voilà ma grande famille et moi sur la route des vacances. Cette année se sera un coin de paradis français, le paysage est magnifique, bien que le trajet soit long nous devinons déjà le bonheur à venir. Arrivée tard sur le lieu de notre hébergement, je découvre un principe que je ne connaissais pas... C'est comme un camping sans être un camping. Grande entrée  sécurisé, grande et longue allée, grand parking où les voitures sont plus grosses les unes des autres (je suis persuadée qu'ici il n'existe aucun tordu pour rayer mon vieux tacot!) ... Et enfin un groupement de petites maisons. Ça m'a l'air sympathique, assez curieux mais sympa. Épuisés nous ne déchargeons que le strict minimum. Le reste sera fait le lendemain. À ce titre, l'homme ayant conduit des heures durant parce que femme déteste conduire, je décide de m'occuper du reste des bagages dans une tenue confortable... l'éternel et indétronable pyjama. Il en existe de super chic sur le marché, le mien celui que j'enfile lorsque je joue les mères parfaites a été offert par mes enfants, alors je ne vous dis pas, le côté hyper sex que j'ai... Cheveux en bataille, tong et joli pyjama limite  genou, me voilà approchant le parking, tout à l'air si calme, la matinée est fraîche...Je pense être seule, lorsqu'au détour du virage qui mène à ma voiture j'entends:
- Papa.. Un Bip bip...
Oui, j'ai magnifique pyjama. Il a une couleur vive, des yeux et un magnifique sourire. Mierda! Je suis découverte! Amusée je souris à ce petit homme. Et son papa lance...
- On va le croquer!
M'adressant au petit homme...
- Cochon! Pour le grand. Ah, non! Il ne vaut mieux pas, je risque de t'abimer les dents.
Et là comme par enchantement entre les saluts respectueux, les grands yeux du petit homme et le petit rire parental... Je me vois croquée... 


L'abus de texte érotiques peut être nuisible pour la vie en société. 

Passez de bonnes vacances.

6 juillet 2013

Badinons... Fêtons...

Aujourd'hui c'est la fête du baiser... Peut-être pas celui-là, mais le baiser sous toutes ses formes et surtout avec ses bienfaits.
Je vais donc pouvoir dire à mon séduisant voisin... 
"Fêtons le baiser, embrassons-nous... Exceptionnellement vous pouvez glisser votre main dans ma culotte..."
Quitte à perdre des calories, autant bien le faire. 
Bons baisers à tous.



4 juillet 2013

Mise En Quarantaine...

Il est un peu plus de midi et demie, une rue de la banlieue parisienne, je tourne encore et encore en voiture depuis plusieurs minutes recherchant désespérément le lieu du rendez-vous. Il faut dire que je n'ai vraiment pas le sens de l'orientation, lui s'impatiente, mon téléphone ne cesse de sonner, je ne réponds pas. Non, parce qu’il est de nature impatient, si impatient qu'il hurle dès que je lui réponds ne pas savoir exactement où je suis... Enfin, je trouve l’hôtel. Il est devant. M'étant occupée des réservations, je lui fais remarquer que l'adresse ne semble pas correspondre au lieu où nous sommes, il entre se renseigner... Non, ce n'est pas le bon hôtel, cette chaîne compte deux hôtels dans le même coin, nous remontons donc chacun dans notre véhicule, cette fois-ci il exige que je le suive... Dieu qu'il roule vite!
Un peu plus loin nous sommes au bon endroit, le temps de me garer, il saute de sa voiture, se hâte de récupèrer les clefs, me rejoins alors que je descends à peine de ma voiture, prend ma main et me conduit toujours aussi vite vers l'une porte de cet hôtel dont toutes les chambres sont en plein pied. 
Ouvre, me laisse entrer, j'avance quelque peu pour faire le tour de la chambre, je me retourne, il est déjà face à moi, sa bouche se colle à la mienne, son souffle est fort et rapide, ses mains sur mes jambes remontent ma robe... Il me traîne un peu partout dans la chambre, tente de me poser sur le bureau... Il est bien trop petit, je peine à écarter mes jambes, me traîne à nouveau cette fois-ci vers le lit, allongée sur le dos, les fesses au bord du lit, il s'accroupi, retire ma culotte, je lui demande d'arrêter c'est un peu trop rapide, il me fais signe de me taire... Dégrafe son pantalon, baisse son caleçon, sort une bite turgescente, mes jambes sur ses épaules, il me pénètre sans ménagement... Mon petit cri de douleur laisse vite place au plaisir d'être prise... Il pilonne ma chatte avec une telle force et une telle rapidité que les clapotis de ma chatte ne tarde pas à arriver... Je ruisselle... Je veux arrêter, ne pas jouir de suite... Il baisse mes jambes, plaque mes bras... Ses va-et-vient deviennent secs, longs et profonds... Il cogne le fond de mon con avec une telle force que mon plaisir en devient presque douloureux... Je serre fort nos doigts entrecroisés, immobile je suis... Il me baise toujours aussi fort, je contracte ma chatte autour de son sexe, peut-être arriverais-je à ralentir ses assauts... Son souffle grandit, il prend du plaisir... Sa bite semble s'engorger de plus belle... Je recommence à en prendre... C'est fort, douloureux et bon... Dans le creux de mon oreille il me murmure...
Je t'interdis de me priver de ta chatte aussi longtemps!
Le coup est si sec, si profond, si fort... Que nous jouissons... Il laisse retomber le poids de son corps sur moi, je continue à convulser de plaisir... Le manque a du bon.