4 juillet 2013

Mise En Quarantaine...

Il est un peu plus de midi et demie, une rue de la banlieue parisienne, je tourne encore et encore en voiture depuis plusieurs minutes recherchant désespérément le lieu du rendez-vous. Il faut dire que je n'ai vraiment pas le sens de l'orientation, lui s'impatiente, mon téléphone ne cesse de sonner, je ne réponds pas. Non, parce qu’il est de nature impatient, si impatient qu'il hurle dès que je lui réponds ne pas savoir exactement où je suis... Enfin, je trouve l’hôtel. Il est devant. M'étant occupée des réservations, je lui fais remarquer que l'adresse ne semble pas correspondre au lieu où nous sommes, il entre se renseigner... Non, ce n'est pas le bon hôtel, cette chaîne compte deux hôtels dans le même coin, nous remontons donc chacun dans notre véhicule, cette fois-ci il exige que je le suive... Dieu qu'il roule vite!
Un peu plus loin nous sommes au bon endroit, le temps de me garer, il saute de sa voiture, se hâte de récupèrer les clefs, me rejoins alors que je descends à peine de ma voiture, prend ma main et me conduit toujours aussi vite vers l'une porte de cet hôtel dont toutes les chambres sont en plein pied. 
Ouvre, me laisse entrer, j'avance quelque peu pour faire le tour de la chambre, je me retourne, il est déjà face à moi, sa bouche se colle à la mienne, son souffle est fort et rapide, ses mains sur mes jambes remontent ma robe... Il me traîne un peu partout dans la chambre, tente de me poser sur le bureau... Il est bien trop petit, je peine à écarter mes jambes, me traîne à nouveau cette fois-ci vers le lit, allongée sur le dos, les fesses au bord du lit, il s'accroupi, retire ma culotte, je lui demande d'arrêter c'est un peu trop rapide, il me fais signe de me taire... Dégrafe son pantalon, baisse son caleçon, sort une bite turgescente, mes jambes sur ses épaules, il me pénètre sans ménagement... Mon petit cri de douleur laisse vite place au plaisir d'être prise... Il pilonne ma chatte avec une telle force et une telle rapidité que les clapotis de ma chatte ne tarde pas à arriver... Je ruisselle... Je veux arrêter, ne pas jouir de suite... Il baisse mes jambes, plaque mes bras... Ses va-et-vient deviennent secs, longs et profonds... Il cogne le fond de mon con avec une telle force que mon plaisir en devient presque douloureux... Je serre fort nos doigts entrecroisés, immobile je suis... Il me baise toujours aussi fort, je contracte ma chatte autour de son sexe, peut-être arriverais-je à ralentir ses assauts... Son souffle grandit, il prend du plaisir... Sa bite semble s'engorger de plus belle... Je recommence à en prendre... C'est fort, douloureux et bon... Dans le creux de mon oreille il me murmure...
Je t'interdis de me priver de ta chatte aussi longtemps!
Le coup est si sec, si profond, si fort... Que nous jouissons... Il laisse retomber le poids de son corps sur moi, je continue à convulser de plaisir... Le manque a du bon.