28 février 2013

D'humeur... Badine.


Dernièrement de mes flâneries sur la blogosphère, je suis restée stupéfaite sur certains commentaires postés sur le thème "Amant/Maîtresse". Stupéfaite du fait que la pensée dominante de notre société met bien souvent "la maîtresse" dans une posture d'attente. Comme si le fait d'avoir un amant impliquait automatiquement un rêve inavoué de vivre avec ce dernier.
Au risque d'être bannie du clan très fermé des "femmes", j'aimerais pouvoir dire que cette pensée, ou cette autre qui laisse penser qu'une femme a entre les jambes un coeur (et non une chatte) avec lequel elle baise, et qu'elle fini bien souvent amoureuse... Est un MYTHE!
Une femme fort intelligente de son temps avait laissé courir cette information dans le seul but de flatter l’ego de son amant, et un homme dont l’ego est regonflé à bloc est un homme qui tient une superbe belle érection. Et une belle érection est pour le plaisir de la dame.
Tout comme, penser qu'une femme s'offre les plus belles lingeries dans le seul but de plaire  Monsieur n'est pas complètement vrai, le but ultime est un peu détourné... Car il faut prendre en compte également que l'on peut aimer de la belle lingerie de la même manière dont craque pour des chaussures ou des sacs à main...Cependant, enfiler notre plus belle lingerie face à un homme, n'a sans doute pas pour but de l'arracher à femme... Oh!! Non! Sacrilège...Lui plaire évidemment, mais aussi parce que c'est la garantie d'une superbe et belle érection. Et une belle érection est pour le plaisir de la dame.
Oui, il arrive aussi qu'une femme soit tout aussi séduite par la profondeur d'un caleçon tout comme un homme peut être séduit par la profondeur d'un bonnet, on se l'avoue jamais. Et ce par respect du code "du clan très fermé des femmes".
Ceci dit, évidemment que nous les aimons nos hommes (Ce n'est pas le moment de me faire plaquer!), nous les admirons, certains jours nous maudissons même leurs épouses, cependant nous gardons toujours en mémoire qu'un fabuleux amant pour l'une est aussi un exécrable époux pour l'autre. Quitte  choisir, notre choix est bien souvent clair, non dit mais bien clair.


25 février 2013

Comme Une Envie...


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De sexe.

J'en ai tellement envie que toutes les nuits, mes rêves sont envahis de phallus, de corps nus, de corps entrelacés, de va-et-vient, profonds, lents, rapides... 
J'en ai tellement envie que j'en viens à penser qu'un seul homme ne me suffirait pas, il faudrait qu'il se démultiplie pour me satisfaire.
J'ai autant envie de baiser que de faire l'amour, j'ai envie de douceur et de force.
J'ai envie de tendresse, de gourmandise mais aussi de corps qui claque, qui transpire, qui colle. 
J'ai envie de fessées, de tétons sucés, léchés, mordillés (pas trop fort tout de même!) 
J'ai envie de doigts qui me pénètre, de doigts qui me branle.
J'ai envie d'un cunni à me couper le souffle, d'une pénétration à me faire hurler. 

J'ai envie de sexe. 

Aussi, lorsque j'ai reçu un mail de James me proposant un speed-sexe sur la banquette arrière de sa voiture*... J'ai jouis, avant même d'y répondre. 

J'ai toujours envie de sexe.


*J'aime les envolées en voiture, mais aujourd'hui elle n'aurait été qu'une  mise en bouche.
Source image.

13 février 2013

À Une Question... Une Réponse.

Non merci.

C'est la réponse* que j'ai toujours rêvé de formuler s'il m'était demandé...

"On baise?"  

Une situation qui je pense, n'est pas près d'arriver.

Car, non seulement, les probabilités q'une telle phrase soit murmurée au creux de mon oreille alors que monsieur m'enveloppe de dos afin que je sente son sexe dur contre mes fesses sont assez minimes... De plus lorsque je me projette dans une cette situation, mon esprit me trahi, au lieu d'une réponse claire et simple c'est une réaction en chaîne qui s'enclenche... 

Débutant par un réflexe pavlonien où mon entrejambe frémit, se remplit et mouille ma petite culotte... Puis vient le moment où je me retourne face à lui, ma bouche se jette sur ses lèvres, mes mains agrippent son pantalon, j'ouvre sa braguette... Lui me traîne vers la table, remonte ma jupe, arrache ma culotte et pose mes fesses nues sur le bord de la table... Écarte mes jambes et là... Sa bite dure et bien dressée me pénètre. Enfin, enfin  je lui réponds... 

"Oh! Oui!" 

Un oui répété plusieurs fois, un oui entrecoupé par ses profonds coups reins. Mes fesses tantôt collées sur la table tantôt se décollées à mesure qu'il recule pour reprendre un élan et me pénétrer à nouveau. Tête enfoui dans mon décolté, bouche gourmand sur mes seins, il lèche, suce, mordille... J'entends les clapotis de ma chatte et perçois les sécrétions de mon plaisir s'écouler le long de mes fesses. Relevant la tête au creux de mon oreille, il murmure cette fois-ci... "dis-le, dis-le..." Au bord de l'implosion, souffle court je lui dis...

"Baise-moi ".



*Chaque question possède une force que la réponse ne contient plus."  Élie W.

6 février 2013

D'humeur...



"...Laissez-vous aller Le temps d'un baiser... Je vais vous aimer."