27 septembre 2011

Plaisir Quand tu me Tiens!

Dieu que j'aime ta bite!
Des fois, après un orgasme les plus démentiels,  où ma jouissance est tellement puissante que les contractions de mon utérus me font souffrir... J'aimerais pouvoir le lui dire droit dans les yeux... Petit cœur, j'aime ta bite. 
Je l'aime, je l'aime, je l'aime plus que tout. Elle est belle, forte, gourmande et tellement délicieuse entre mes jambes. 
Mais, même si je le lui disais, je doute qu'il  puisse  comprendre... Sa bite, n'est pas seulement belle, grande ou forte, sa bite est ce sexe qui me rend dingue, ce sexe qui a mit fin  à mon égoïsme. 
Très égoïste étais-je. Pendant longtemps, très longtemps, j'étais attachée à mon plaisir solitaire, je ne sais pourquoi mais j'étais persuadée que personne d'autre que moi-même n'était capable de me donner autant de plaisir...Lorsque je me masturbais, mon imaginaire était tellement fertile, tellement bon , qu'aucune forme de réalité à mon sens ne pouvait aller au delà, aucune forme de réalité ne pouvait atteindre  le paroxysme que mon  imaginaire m'apportait... J'avais donc naturellement développé une forme rejet vis à vis de la pénétration (l'acte réelle), d'ailleurs mes plaisirs solitaires étaient une forme de tantrisme durant lesquelles mes mains ne touchaient jamais mon sexe... Je me limitais à entrecroiser mes jambes appuyant fortement sur mon clitoris, mes mains caressaient mes seins, frôlaient ma bouche... Tout n'était que fantasmé, rêvé... Et terriblement bon. Je sentais nettement cette vague de plaisir monter puis exploser en moi... Je savais la réguler, la ralentir,  et en profiter le plus longtemps possible... J'en étais tellement attachée que je suis devenue égoïste, je ne laissais personne tenter de me faire jouir, trop peur d'une éventuelle déception. 
Bien entendu que je jouissais dans les bras de mes amoureux... Bien sûr que je prenais du plaisir... Un plaisir fantasmé, ils étaient là tout contre moi... Et mon imaginaire prenait le pas.
Un jour je l'ai rencontré... Bien trop fatiguée pour fantasmer, j'ai baissé les gardes, je lui ai  laissé le privilège de mon corps... Je voulais qu'il en profite, qu'il prenne du plaisir, je voulais qu'il assouvisse ses désirs... C'était sans compter que son plaisir était de me donner du plaisir... Il s'est saisi de mon corps... L'a caressé, l'a désiré... L'a baisé. Et pour la première  fois... J'ai réalisé que mon plaisir solitaire n'était rien... Rien à côté du plaisir que sa langue, ses mains, sa bite me procurait... J'ai découvert qu'une bite enfouie dans ma chatte était une source intarissable de plaisir... 
Depuis je n'ai pas un orgasme... J'ai une somme d'orgasmes qui secouent le bas de mon ventre au point de me faire souffrir. Mais putain! Dieu que c'est bon.
Alors oui... Dieu, que j'aime ta bite.