28 octobre 2016

Cet obscur objet de désir



Cet après-midi en étant avec toi, j'aurais pu te baiser aux yeux de tous sur ce banc public, je nous voyais nus abandonnés dans les bras de l'un et l'autre.
J'aurais pu comme tu le souhaitais retirer ma petite culotte... Fallait-il encore que tu acceptes de me suivre, que tu cèdes à cette envie de poser tes mains sur mon corps, de glisser ta main dans ma culotte, de poser ta langue sur ma chatte, de fourrer ta bite dans le fond de ma gorge, à me retourner, me plaquer contre mur et me baiser comme je pouvais l'entrevoir dans ton regard. Ce regard qui en un instant a inondé ma culotte,  j'étais trempée, trempée comme jadis... Comme cette première fois où contre un arbre tu me rendais impudique. J'étais humide de désir... 
J'avais envie de sentir ton souffle et tes gémissements au creux de mon oreille, de contracter ma chatte autour de ton sexe. J'avais envie de balloter tant bien que mal mes reins sous l'emprise de ton corps.
J'avais envie de t'entendre dire..."Ne bouge plus"... J'avais envie de t'entendre venir encore une fois au fond de moi...
Cet après-midi, en rentrant chez moi, je me suis installée au volant de ma voiture, écarté mes jambes et j'ai caressé ma chatte en pensant à ton corps écrasant le mien. A ta bite déversant ton foutre au fond de ma gorge... Ce fut bon. Très bon.
Tu m'as manqué. Ton sourire pervers m'a manqué. Ta gourmandise m'a manqué.

3 commentaires:

PSganarel a dit…

Obscur et si clair pourtant!...

Vellini a dit…

Si clair et pourtant...

andré a dit…

me fait bander

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