28 juin 2009

Il en sera ainsi...

À peine était-elle descendue de sa voiture, qu'elle sentit son corps s'emprisonner dans ses bras, il l'enlaçait avec force, avec envie, une main caressant ses fesses, l'autre longeant sa cuisse, doucement il lui remonta la jambe pour se frayer un passage...

-Non, pas ici... Pas encore...

Sourd à ces propos, il remplit sa bouche de baiser, puis d'un geste brusque, il la retourna et la plaqua fermement sur le capot de la voiture...

-Non, non, il y a du passage... disait-elle on ne tentant aucune résistance.
-Chuuut...


Ses grandes mains sur ces hanches, elle sentit entre ses fesses, son sexe dur, si dur que ces propos étaient devinrent que chuchotements.
L'endroit n'était pas propice aux câlins, mais son sexe trop humide ne pouvait résister au désir de se faire pénétrer... À l'envie de sentir ses allers et retours... À l'envie d'entendre son râle.

Elle était à la fois prisonnière des mains de son amant mais aussi prisonnière de son propre désir.

Ce sexe raide ne tarda pas à se perdre en elle, si bien que ces soupirs semblaient remplir ce petit parking... Ses seins se dressaient, sa cambrure s'accentuait, elle contractait sa chatte pour le garder en elle... Un plaisir intense la remplissait, un plaisir partagé entre l'angoisse d'être vu et le plaisir intense d'oser l'interdit.

-Vas-y... Prends moi... Plus fort...

Il saisit ses fesses plus fermement, baisa plus ardemment ce cul offert... Elle appréciait, il entendait. Puis il s'arrêta net.

- Noooon...
- Si...
Disait-il en baisant ces fesses...

Il remonta sa braguette et la prit par la taille...

-Non... suppliait-elle... Non.

À son tour, elle remplit sa bouche de baiser tout en le trainant contre un mur, elle baisa sa bouche, son cou... Avant de s'accroupir face à lui...

-Non, non... Disait-il presque tétanisé à l'idée de ce qui allait venir.
-Chuuuut...


Elle, face son membre, au travers son pantalon elle percevait des petits à-coups comme si ce sexe raide frissonnait à la proche de sa bouche.
Elle baisa son pantalon, dégraffa sa braguette, baisa son caleçon et délivra le joli membre pour le faire perdre entre ses lèvres.

Délicieux! Disait-elle en son fort intérieur... Lui toujours immobile, sans défense se perdait dans ses râles. Le plaisir gagnant ses mains se posèrent sur la tête de son amante, il pouvait ainsi accompagner ses allers et retours... Il pouvait ainsi savourer le plaisir d'une belle pipe dans ce parking.

- Oui... Vas-y... Doucement... Oui comme ça...

Elle s'arrêta net.

- Noon! Disait-il.

Trop tard elle s'était relevée l'abandonnant son membre à la main... Réajustant sa robe, elle lui lança...

- Chambre 405. Hôtel Bassano.

Il en sera ainsi.