20 septembre 2012

Aussi puissant que la C***


"On ne sort pas d'une addiction, on la contrôle" Extrait de "Notre cerveau est d'un drogué" Eric Loonis.

Difficile de nous séparer sur la simple volonté de notre esprit de nos habitudes de vie... Le mois de septembre, était ce mois où je me languissais de revoir James, je m'excitais dès la fin des vacances de nos retrouvailles... Nous  faisions nos rentrées... Il y avait avant tout la rentrée des travailleurs assidus et passionnés, puis celle des parents aimants et attentionnés... Enfin celle des amants torrides. 
Cette année, la rentrée s'annonçait différente. Il n'y aurait pas de retrouvailles torrides...

Du moins avant que je ne sois emprise d'un "craving". 
Cet état est redoutable, j'avais beau me tourner et me retourner, me caresser encore et encore il me fallait absolument cette explosion d'orgasmes dans ses bras... Addict j'étais, sevrée je me pensais. Et si c'était "ma petite bonne addiction équilibrée"? Ne poussant pas plus ma réflexion, je me saisi de mon téléphone, dans ces moments là  tout est  dit au son de ma voix...J'avais craquée...Je l'imaginais souriant au bout du fil, il s'en doutait, il s'en est toujours douté...

Pour que mon shoot plaisir soit aussi intense que je le rêvais, j'ai choisi comme à mes habitudes le même distributeur lieu... Rue de la pompe. Je voulais le la même fournisseur chambre 9 où mon dealer amant viendrait m'apporter l'extase à laquelle j'aspirais.
Lorsqu'il est apparu, j'avais une folle envie de l'inspirer lui arracher ses vêtements, de baiser sa bouche, de défaire sa braguette et de le sentir bien dur dans ma bouche... Mais non, je me suis contentée de le baiser du regard, de laisser le désir grandir en moi... Ce ne fut pas la chambre 9, mais la 5 avec son jacuzzi mais peu importe... Mon envie était-elle que lui seul comptait... J'allais le sentir, le goûter, l'inspirer, le toucher... Le baiser.

Je pensais le baiser, lui avait sans doute envie de me faire savoir qu'il m'était indispensable... Lorsqu'il me prit dans ces bras, je me suis littéralement offerte profitant du frisson que m'apportait ses caresses, ses baisers... Allongée sur le dos, je fermais les yeux, me laissant transporter par les doux baiser qu'il posait sur mes jambes, lorsqu'il parvint entre mes jambes que sa langue s’immisçait entre mes lèvres intimes, je m'accrochais à sa tête... Les caresses de sa langue sur ma chatte étaient puissamment délicieux, aussi puissant que le moment où sa bite me pénétrait, ses mains sur ses fesses, je pouvais sentir chaque centimètre de son sexe se perdre en moi, j"aime ce moment, je jouissais blottis contre son corps...

Ma chatte devenue sensible, je me retirais doucement de lui, roulais sur le côté, je le sentis se rapprocher sa bite raide collée contre mes fesses, je me mis sur le ventre, je décollais mon bassin pour lui offrir mes fesses, des fesses qu'il baisa de sa bouche, lécha, son doigt tentait délicatement de s'insérer entre mes fesses...Le temps avait tellement passé que j'appréhendais ce moment... Les caresses de sa langue me détendaient peu à peu... Puis sa bite remplaça son doigt, fesses offertes, je m'accrochais à mon oreiller, il me pénétrait très lentement, pour me détendre un peu plus, son corps vint me couvrir, mes mains cramponnées aux siennes, lui, murmurant au creux de mon oreille, il réussit à me détendre complètement... Passé les quelques secondes douloureuses de la pénétration, cette chaleur brulante laissait place au plaisir de la sodomie... Nos mains se séparèrent, les siennes s'accrochaient à mes reins, les miennes à ses jambes comme pour le maintenir là... Je ne pu m'empêcher de lui dire combien ce plaisir m'avait manqué, combien j'aimais sentir son sexe serré entre mes fesses, il allait et venait de plus en plus profondément, c'était bon, très bon de sentir sa bite se durcir de plus en plus à mesure de ses allers-retours jusqu'au moment où son cri fit basculer le poids de son corps sur le mien, il m'enserrait fortement entre ses bras... Il jouit. Je jouissais encore une fois...



5 septembre 2012

En un Mot...

Débordée.