30 novembre 2008

Patrick!

29 novembre 2008

Désir de sodomie


De nos jours il apparaît inimaginable qu'une jeune et jolie femme d'une trentaine d'années n'ait jamais connu le plaisir de la sodomie, alors quelques fois entre amis on feint d'être au point ou l'on préfère n'émettre aucun commentaire, et malheureusement c'est là ou ça se corse.
- Alors, Vellini, tu nous racontes ... qu'en penses-tu ?
- Ah, ah, ah ... (vous connaissez ce rire qui nous aide à trouver l'excuse parfaite). Oh ! Si vous saviez, je préfère me taire !
Ouf !

Ce n'est pas que je n'aime pas la sodomie, non, je ne sais si j'aime ou pas, je ne l'ai jamais pratiquée. Pourquoi ? Je me pose encore la question. La première fois où je l'ai sollicitée j'avais 17 ans et lui 18, alors à défaut de pénétration vaginale, je lui demandais toute hésitante si nous pouvions ... Pour réponse il m'avait regardée tout étonné (mon Dieu, que n'avais-je pas dit là ?!).
- Non ! Je n'aime pas ça.
J'en étais restée tétanisée.

Aujourd'hui, j'aimerais vous offrir ma première sodomie. J'aimerais que vous me conduisez vers la découverte de cet autre plaisir, ce plaisir différend qui ne cesse de chatouiller mon ventre. J'aimerais savoir si mon orgasme sera aussi explosif que lorsque ma chatte s'enflamme.

Alors, allons-y. Ce jour est arrivé.

Nous dînerons dans ce petit restaurant de Rueil en forme de caverne. Le charme de ce restaurant réside plus en ses patios qui isolent les clients, et qui créent un cadre très intime, à l'abri des regards. Tout le long du dîner, je vous séduirai, vous exciterai, caresserai votre membre de mes pieds. Une fois que vous serez enflammé, je décalerai ma chaise pour ne plus me retrouver face à vous mais à vos cotés, et là vous devrez me susurrer les plaisirs à venir, tout en glissant une main entre mes cuisses afin de percevoir mon désir pour vous, mon envie de vous. Dans ce sexe humide et prêt à vous accueillir, peut-être introduirez-vous délicatement un doigt. N'y tenant plus, je vous inviterai à regagner notre hôtel.

Ce soir, je serai égoïste afin que ma découverte soit parfaite, totale. Vous m'allongerez, vous me déshabillerez sous vos baisers, puis vous lècherez ma chatte comme vous savez faire, l'ondulation de mon bassin, mes gémissements vous feront comprendre que j'aimerai ça. Alors vous glisserez votre langue entre mes fesses ... humm humm, la rencontre de votre langue sur mon anus, la découverte de cette nouvelle sensation me feront crisper les fesses, mon bassin se lèvera, et là vous maintiendrez votre langue. Je me détendrai, j'apprécierai. Aussi, lorsque je serai fin prête, vous introduirez votre doigt, que vous aurez pris soin de glisser d'abord dans ma bouche pour que je le lubrifie.
- Lèche ma beauté, mouille bien ce doigt qui va te pénétrer.
Après que vous ayez encore stimulé mon clitoris et léché mon anus, vous glisserez votre doigt. Humm ... quelques mouvements de va-et-vient, et vous inviterez un second doigt à venir grandir mon plaisir naissant. Aussi incroyable que cela puisse être pour moi, je vous supplierai d'introduire votre sexe en moi.

26 novembre 2008

Torride


J'ai envie qu'il me prenne. Sans me prevenir...
J'ai envie qu'il me plaque contre mur, qu'il relève ma jupe, écarte mes cuisses, suréleve une jambe, se fraye un passage entre mes lèvres, et qu'il me prenne sans ménagement.
J'ai envie qu'il me baise.
Même si je suis sa femme
.

25 novembre 2008

Masochisme (1)


Il y a des désirs qui frôlent le masochisme. Quelquefois je me surprends à vouloir partager l'homme que j'aime avec une autre femme.

Le côté masochiste de l'histoire est lié à ma nature possessive. Je suis une femme possessive sans être envahissante, ni même vouloir posséder l'autre dans sa personnalité, non, je suis tout bonnement égoïste. Il est si bon de m'abandonner dans ses bras, ce plaisir est si intense, si fin, délicat que j'aimerais être la seule à pouvoir y goûter. Dans le même temps, l'idée que mon homme prenne du plaisir dans les bras d'une autre m'excite. Alors j'oscille dans ce fantasme entre angoisse et désir.

J'aimerais le voir prendre une autre femme, j'aimerais le voir lui donner du plaisir, j'aimerais lire dans les yeux de cette autre que j'ai bien raison de ne vouloir le partager.

J'aimerais être là en simple voyeuse, assister à leur ébats, le voir lui sous tous les angles sans rien louper. Je rêve de voir son abandon, de l'entendre apprécier être en elle, mais également d'entendre cette femme lui dire combien elle aime, combien elle apprécie le sentir en elle, j'aimerais la voir se ravir de le prendre dans sa bouche.

Je choisis donc de lui offrir cette femme. Je la souhaite entreprenante, sensuelle, féminine, pulpeuse, avec de belles formes.

Aussi vicieux que cela puisse être, je me tiendrai à l'écart, leur première rencontre se fera dans un lieu banal, un café, un restaurant, un musée, un lieu différent d'une chambre d'hôtel qui presse trop au passage à l'acte. J'aimerais percevoir leur jeu de séduction. Elle devra le séduire, l'amener à la désirer et lui devra faire naître l'envie en elle.

...

Elle est là face à moi, souriante et radieuse, j'aime ses lèvres, elle vous donne l'envie d'y mordre, de l'embrasser. Elle porte une petite robe portefeuille dont le décolleté souligne son galbe et met en évidence ses fesses généreuses. Je ne peux m'empêcher de penser que le choix de cette robe n'est pas anodin, rien de plus simple à retirer.
Sur ses jambes fuselées elle porte une paires de collants ou de bas noir, neutres, sans motifs particulier, moi qui m'attendais à quelque chose d'hyper sexy je suis surprise, mais j'aime, car je perçois un côté naturel en elle qui me trouble.

En attendant que mon homme nous rejoigne, nous nous sommes installées dans ce bar Porte Maillot, choisi quelques jours auparavant. Je ris pour cacher mon angoisse et ma gêne, elle l'a compris et pose sa main sur la mienne comme pour me rassurer. J'en suis troublée encore plus. Cette femme que j'ai choisie pour mon homme, semble également susciter un désir en moi.

- Pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
Je feins de ne comprendre, j'ai bien saisi le sens de sa question, depuis le temps qu'elle ne cesse de me la poser.
- Pourquoi vouloir le voir ?
- L'idée est excitante, j'aimerais voir un homme prendre une femme.
- Vous auriez pu faire simple, aller dans un club, d'ailleurs tu aurais pu simplement assouvir ce désir de voir un couple directement sans avoir à offrir ton homme.
- Oui ... Non, bof, je sais pas, j'ai envie de voir, de le voir ... les clubs j'aime pas, il manque quelque chose en ces lieux, cette chose que vous allez m'offrir. Vous allez le séduire.
- Ah ! Tremblez ...

Nous rions, et je l'aperçois qui entre dans le café. Il à été convenu qu'il s'installe à une autre table sur le côté opposé au nôtre avec une certaine distance de manière à ce que je puisse avoir une vue directe sur eux.

Dès qu'il est installé, notre belle me quitte. A ma grande surprise, elle retire la baguette qui retenait ce semblant de chignon qu'elle avait. Je découvre une jolie brune aux longs cheveux frisés.

Et si j'étais en train de faire une connerie ? L'heure n'est plus au doute, j'aperçois l'illumination dans les yeux de mon homme qui se levait pour saluer sa belle d'un soir. J'espère.
Elle s'est installée face à lui, tous deux rasant le mur, je pouvais de temps en temps voler un regard à mon homme qui faisait face à moi, Clara me tournait le dos.
A peine est-elle assise, que je la vois remonter délicatement sa robe, découvrant ainsi un peu plus ses jambes, ce qui ne manque pas d'attirer son regard sur ses jambes. Il sourit.
Oh ! Le salaud !! Je ne peux m'en empêcher.

Je les voient discuter, rires, Clara de temps en temps se passe les mains dans ses cheveux, semble baisser son regard. Elle joue, elle dans son mode de séduction. Puis brusquement, elle lui fait signe de se rapprocher, elle lui murmure je ne sais quoi dans le creux de l'oreille en terminant par un léger baiser sur le bas de son oreille et presque aussitôt elle se saisit de sa main la passe sous la table et la glisse entre ses cuisses.

Un instant j'ai pensé mourir, mais mon cœur qui battait si fort m'a bien fait comprendre que j'étais bien en vie, un fait qui se confirma par cette montée de chaleur envahissant tout mon corps, je sentis mon clitoris se contracter, frissonner, mon sexe s'humidifier. Mon angoisse laissait la place à mon désir.

Ce qui allait suivre, allait bien au delà de mon espérance.

Plaisir solitaire


Je m'exécute, je vous fais ce strip sensuel. Je m'applique telle une bonne élève. Je revois chacun des pas, des gestes que j'ai appris à mon cours de pole dance. Vous me voulez sensuelle, je suis sensuelle.

J'aurais aimé voir votre regard posé sur mon corps.

J'aurais aimé voir vos yeux posés sur mes seins, mes fesses, mes jambes. Dans mes déhanchés, j'aime me caresser la bouche, j'aime la sensation de mes doigts sur mes lèvres pulpeuses. J'imagine alors que ce sont vos doigts qui frôlent ma bouche, et je joue avec, j'essaie vainement de les introduire dans ma bouche sans y arriver. Ils s'échappent, reviennent puis descendent caresser mes seins. Ils les malaxent, tournoient autour des tétons, puis une main remonte chatouiller mes lèvres tandis que l'autre se perd entre mes cuisses à la découverte de ma fouine.
Et là, contrairement à ce que vous attendez, aucun doigt ne me pénètre, non. Mon plaisir solitaire se limite à comprimer, à étouffer mon clitoris avec mes mains, j'aime exercer des pressions sur mon sexe en y associant des mouvements de va-et-vient. J'aurais aimé avoir ma culotte pour pouvoir la piéger entre les lèvres de ma chatte, pour pouvoir tirer dessus.

La découverte de la masturbation fut une étape assez décisive, je ne me souviens plus très bien de la découverte de mon corps de femme, je me rappelle tout juste que lorsque j'enfilais un pantalon qui me prenait bien, j'aimais cette sensation émise par les frottements de mes cuisses lorsque je marchais, alors je me suis longtemps amusée à reproduire cette agréable sensation en croisant mes jambes lorsque j'étais assise. Et un soir, dans mon lit de petite fille, jusqu'à l'explosion. C'était bon, délicieux, mon cœur battait la chamade ... un plaisir que je ne saurais exactement décrire. Ce plaisir était si bon que je l'ai refait des milliers et de milliers de fois, et plus ça allait, plus je rajoutais d'autres caresses. Je caressais mes seins, ma bouche, mais jamais mon sexe. Au contraire je cherchais un appui, je coinçais quelquefois un oreiller ou une serviette entre mes jambes et j'exerçais une pression en tirant dessus. Puis, à l'âge où l'on s'intéresse aux garçons, mon père eut la merveilleuse idée de m'imposer un suivi mensuel chez le gynéco. Il ne faisait rien de bien particulier, il se limitait à me répéter que c'était mal d'avoir des rapports sexuels, et qu'il me fallait plutôt conserver mon hymen. Ainsi je continuais donc mes plaisirs solitaires, comme je savais le faire, et ce encore aujourd'hui.

Comme je n'ai plus de culotte, vous m'invitez à me rapprocher de vous, vous tendez votre bras et vous me demandez de poser ma chatte en feu dessus. Je m'y installe. Oh ! Hum hum, mon chéri, comme c'est bon. Vous avez compris, et vous comprimez mon sexe. Je bande ... mon clitoris est gonflé prêt à exploser, alors je me branle aisément sur votre bras, tandis que votre bouche s'aventure sur mes seins. Lorsque j'aurai joui, je me lèverai et vous constaterez que votre bras sera trempé de ma mouille.

8 novembre 2008

Jeux interdits